chapitre 21 <3

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Aziz en freinent limite en pleure : Pour le baiser je le savais mais il à essayé de te violer ce n'est pas possible ... (il faisait des prières en arabe et implorer dieu de le pardonner  

Moi : pleure pas je suis triste aussi non il à pas réussi pleure pas Aziz s'il te plait

Aziz :...

Moi : pour quoi tu demande pardon ce n'est pas toi qui à fait sa

Aziz : non mais c'est ma faute.

Moi : non ne dit pas sa tu ne savais pas ou j'étais

Aziz : amélia

Moi : ton ex ?? Pour quoi tu me parle d'elle la ?

Aziz : soyons clair ce n'est pas mon ex mais tout sa c'est de ma faute sa fait des semaines que je te cherche des semaines que je m'inquiète je te promets que je te vengerai promis tout leurs famille je vais les enterré

Je voyais qu'il était fatigué en colère...

Moi : ne t'inquiète pas tout va s'arranger ... explique moi tranquillement

Aziz en pleurant : Hugo est le frère d'Amélia ! Amélia à dit à son frère de t'éloigné de moi mais Hugo est un violeur il à déjà fait des allés en prison plus jeune... Tu comprends c'est ma faute !! J'ai dit à Amélia que j'en avais marre de toi et c'est pour sa que elle à fait sa

Moi : non ce n'est pas vrai tout sa c'est de ta faute alors (je m'éloignai de lui de plus en plus) pour quoi tu lui à dit que tu en avais marre de moi ?

Aziz : tu vas trouver sa horrible mais pour coucher avec elle 

Je pleurai encore et encore la tête dans mes mains je me demander pour quoi dieu me m'était autant d'épreuve dans la vie. Aziz lui avait la tête complètement sur le volant et ne faisais que pleurer. A un moment il me prit la main, j'aurais du la repoussé mais n'ayant plus de force pour rien ni foi en la vie je l'ai laissé me prendre dans ces bras ...

Moi : je veux rentrer chez moi !

Aziz : d'accord je vais te ramené Louna excuse moi !!

Moi : ce qui ai fait est fait je ne peux pas oublier mais je peux te pardonner si dieux pardonne qui je suis pour ne pas accepte tes excuse...

Nous prenons la route dans une telle tristesse que sa me fendait le cœur !

Moi : tu as des nouvelles de ma famille

Aziz : tes frères sont mort de trouilles qu'il te soi arriver quelque chose ton père se soigne doucement mais ta mère à souffert énormément de ton absence.

Moi : je vais me faire tuer

Aziz : non je ne pense pas toute ta famille sont inquiet mais ne t'en veulent pas tout les jours je l'ai vois pleurer prier ton retour. Je ne pense pas que tu te feras frapper

Moi : j'ai vraiment fait souffrir tout le monde...

Aziz : eux aussi on prit conscience qu'ils t'ont fait souffrir et que si tu es partie ce n'est pas pour rien.

Moi : j'espère...

Je m'endormis sur le chemin car j'étais vraiment trop fatigué.

Je me réveillai en sursaut en sentant une main se poser sur moi. C'était Aziz qui était en train de me réveiller avec une douceur incomparable !

Aziz : on est arrivée chez toi Louna.

Je regardai par la vitre et je vis ma cité, ces grands bâtiments grisé et Sali par la vieillesse, les courants d'air qui passé entre les portes cassées, cette voiture entièrement brûlé qui était la depuis mon arrivée. Bizarrement j'étais heureuse de revoir mon cartier. Parce que vous savez quoi ? Ici c'est chez moi je me suis habitué et j'ai appris à aimer les choses simple de la vie. Comme regarder par la fenêtre et voir tous ces jeunes pleins d'espoirs assis sur leurs murs, la cité c'est aussi vivre en communauté en quelques sortes. C'est partagé sa nourriture  avec les voisins c'est aussi tout simplement de belles amitiés qui se crée sur un banc un peu bancale. Beaucoup de personnes pensent que cette vie c'est horrible mais ils ont tord la cité nous apprend la vie, c'est elle qui nous vois grandir. Ce sont des moments passés dans ces bâtiments qui seront gravé dans nos mémoires !     La boule au ventre je sors avec Aziz de la voiture et nous nous avançons vers la porte du hall avant de pousser la porte je plonge mes grands yeux dans les siens, en quelque sorte pour me donner la force d'aller jusqu'au bout. Je montai vous n'allez pas y croire par ASCENCEUR oui oui il fallait que je parte pour qu'il soi enfin réparé !!!  Une foi devant la porte Aziz me fit un bisou sur la joue et j'ouvris la porte car j'avais encore les clefs. Une fois dedans j'entre et ouvre la porte du salon et la je vois Abdel et Yassine foncé sur moi les larmes aux yeux, ils ce sont jeté sur moi et ont pleuré dans mes bras. Leurs bisous sur mon front me rassuré de plus en plus. J'aime ma famille et je regrette de l'avoir fait tant de souci. Mon ainé Yassine me dit !

je ne regretterais jamais de t'avoir rencontréOù les histoires vivent. Découvrez maintenant