→ 𝗚𝗢𝗟𝗗𝗘𝗡 𝗟𝗜𝗚𝗛𝗧 [ 𝗗𝗘𝗡𝗞𝗜× ʀ ᴇ ᴀ ᴅ ᴇ ʀ ] ⛔

17) 𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐗𝐕𝐈𝐈

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Il était désormais 19 heures. Denki lui avait proposé de dîner avec lui et ses parents en plus de Kyoka. Malheureusement elle dû accepter. Pour cette soirée elle n'allait pas porté des vêtements chics ni même remarquables, elle allait se mettre à l'aise et laisser la place du premier rang à Kyoka. La jeune fille trouvait ça un peu oser qu'elle se fasse inviter à dîner chez Denki alors que sa petite amie sera présente.

Elle ne se prend pas trop la tête sur ça et enfile son pull trop grand pour elle. Elle décide de porté un jean bleu clair avec un t-shirt noir à manche courte malheureusement trop  grand pour elle. Elle détache ses cheveux et refait son maquillage au coin de ses yeux. Tant qu'elle ne saura pas si c'est une menace ou non., elle préfère les cacher. Elle finit de se préparer et sort de l'appartement en fermant à clé la porte. Avant qu'ils se séparent, Denki lui a donné son adresse. L'heure du "rendez-vous" était 20h15, mais elle voulait tout de même arriver en avance. Non pour faire bonne impression, mais pour une raison assez délicate. Elle passe par la rue commerçante, étant l'opposé de la maison de la famille Kaminari, et entre dans une pâtisserie. Aussitôt devant les vitrines que le vendeur vient vers elle.

-" Bonjour, avez-vous des spécialisés françaises?" demande t-elle avec un sourire.

-" Évidemment, ils ce trouvent à votre droite. Lorsque vous aurez choisi, faites le moi savoir" répond t-il en indiquant la vitrine.

-" Merci beaucoup"

Elle se dirige vers la vitrine où se trouve des spécialités françaises. Une fois elle a vu Denki bavé sur un gâteau de ce pays, elle lui avait demandé si il aime ce genre de gâteau et il lui avait avoué qu'il en raffoler. Elle fixe les différentes pâtisseries avant d'appeler le vendeur.

-" Je vais vous prend dix Mille-feuilles, cinq Meringues et cinq Charlottes aux framboises" annonce t-elle au vendeur.

-" Je prépare votre commande tous de suite!" s'exclame t-il avant de commencer.

Elle sourit et en peu de temps il lui fait les boîtes de gâteaux. Il met le tout dans deux poches en plastique et il arrive à la caisse.

-" Cela vous fait un total de 58 238,17¥ (410€)"

-" Par carte bancaire"

Une fois payé elle range sa carte dans son téléphone et prend les deux sacs. Elle dit au revoir au pâtissier et prend la direction de la maison des Kaminari. Elle marche assez vite pour pas que les gâteaux ne fondent, ou même, se décongèle. Elle arrive devant la maison après quelques temps et sonne la sonnette. Pendant que quelqu'un vient lui ouvrir, elle détaille la façade. Simple et basique comme celle qui l'entoure. Elle sourit faiblement avant d'entendre la porte d'entrée s'ouvrir. Un pikachu arrive à grand pas devant elle et vient lui ouvrir le portillon.

-" Désolé, j'aurais dû te dire que le portillon était déjà ouvert" dit-il gêné en refermant ce dernier derrière elle.

-" Tu n'as pas à t'excuser. Je suis passé au pâtissier du centre ville, j'espère qu'il y a en aura assez" répond t-elle avec un sourire avant de désigner les sacs.

-" Tu n'aurais pas dû!" s'exclame t-il énervé et toujours gêné.

Elle rit de bon cœur et il lui prend les deux sacs de ses mains. Il lui ébouriffe ses cheveux et part vers l'intérieur de chez lui. Elle le suivi de près tout en fixant le jardin assez impressionnant au hu de la qualité des fleurs étant magnifique.

-" Et puis Denki, je devrais dire la même chose que toi. Je dois te rappeler que lorsque tu es venu me chercher ce matin à l'hôpital, tu n'avais pas besoin de m'offrir un bouquet de rose" dit-elle toujours en le suivant alors qu'il allait à la cuisine.

-" Sauf que là c'est différents t/p-" répond t-il avec les joues roses honteux de cet événement passé.

Il se fait couper par un rire moqueur. Les deux adolescents se retrouvent et vis une femme identique à Denki. La jeune fille était même bouche à la ressemblance. La femme avait un sourire scotché à ses lèvres.

-" Qu'est-ce que j'entends! Mon fils a offert un bouquet de rose à une jeune fille!" s'exclame t-elle en entrant dans la cuisine.

-" Maman! Tu vas pas rajouter un plat!" s'exclame le garçon énervé.

Il dit des mots incompréhensibles se qui fait sourire sa mère.

-" Enchanté jeune fille! Je suis Yumi Kaminari, la mère de cet abrutis garçon" dit-elle en prenant les mains de la c/c.

-" Ravie de vous rencontrer, t/p la meilleure amie de votre fils" répond la jeune fille en essayant d'être la plus polie qui soit.

-" Merci beaucoup de prendre soin et de supporter mon fils à longueurs de journée. Et vous pouvez me tutoyer et m'appeler par mon prénom"

-" Faites de même pour moi alors"

Elle sourit faiblement à Yumi avant de voir au coin de l'œil sur Denki galérer à mettre les boîtes dans le frigo. Elle vient l'aider en essayant de faire de la place avec l'accord de Yumi.

-" Tu n'aurais pas dû apporter autant de gâteaux t/p. On aurait pu survivre sans!" s'exclame la mère de Denki.

-" Je ne voulais pas venir les mains vides, alors je me suis dis que des gâteaux feront l'affaire" répond t-elle avec un sourire gênée.

La blonde sourit avant de regarder l'heure.

-" Denki, il est bientôt 19h45, tu ne devait pas aller chercher Kyoka?" dit-elle en pointant du pouce l'horloge.

Le garçon lève les yeux avant d'être en panique.

-" Ah merde! C'est vrai que je dois aller la chercher! J'y vais alors, à tout à l'heure!" s'exclame t-il paniquer.

Il sort en grand pas de la cuisine et la porte s'ouvre puis claque. Les deux femmes soupire.

-" Comment est-ce que j'ai pu élever un enfant pareil!" s'exclame Yumi moqueuse.

-" Et comment je fais moi pour le supporter h24!" Ajoute t/p désespérée.

Elles se fixent avant de rire de bons coeurs.

-" Nous avons déjà trouvé un point commun: Kaminari Denki" dit Yumi en se calmant.

-" Oui. Je suis heureuse qu'il soit en couple, il me colle moins" répond la jeune fille avec un sourire.

-" Moins collant?" répète la blonde maintenant curieuse.

-" Il me collé sans arrêt, je ne dis pas que c'est agaçant mais quelques fois c'est assez fatiguant d'avoir un pot de colle. De jour comme de nuit!"

Elle avait fait une gaffe, et ce n'est que maintenant qu'elle s'en rend compte. Elle lève les yeux vers l'héroïne et vis dans ses yeux de la curiosité intensive. Fait-il vraiment lui dire?

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