Faiblesse

Prologue

Posée à un café, j'attendais les hommes de Nyle. Déjà 3 mois que j'étais sa prisonnière et il n'arrêtais pas de vouloir me tuer.
Ce gars étais dérangé, des pulsions meurtrières toutes les heures. C'en étais épuisant.

J'habite, enfin habitais, au Mexique. Et la où je vivais, la mort vous toquait à la porte tout les jours.
J'ai toujours su me défendre. A mes 15 ans, j'ai même faillis tuer quelqu'un. Seulement, il s'est enfuit avant que j'ai pu appuyer sur la gâchette. Pauvre con.

J'approchais la tasse a ma bouche et m'abreuvais de ce délicieux chocolat. J'ai jamais aimé le café, ça a un goût de chiotte, c'est vraiment degeulasse.
Finalement, la porte s'ouvrît et la clochette retentit. C'était l'heure de s'amuser un peu.

Quatre hommes armés et trois garde- corps entrèrent, pistolets chargés devant eux. Les gens prirent peur, hurlant dans tous les sens animé par la peur et la crainte de mourir. Fermez vos gueule merci. Vous me faites saignez les oreilles.

Je me suis levée, m'étira le dos et fini par m'avancer. La seule information dont mon kidnappeur n'étais pas au courant, est qu'au Mexique, j'avais été embaucher par la mafia mexicaine. Je devais faire tomber le cœur des hommes en échange de quelques billets. J'ai appris à vivre dans ce milieux, à y survivre.

Je sais me battre, je sais tuer, mais je n'ai encore jamais atteint ce stade.
Le premier homme a me voir tira avec son arme mais me rata de loin. Je m'approchai de lui tout en esquivant ces attaques au point et lui asséna une forte frappe au niveau du cou. Sous le choc il s'est évanoui, s'écroulant à mes pieds.
Je recommença cette opération 5 fois.

Les tables volaient et j'achevas bientôt mon travail. Je ramassa quelques armes qui étaient au sol, et poussa la porte.

Sortant du café, je longeais la rue et fini par entrée dans un immeuble abandonnée, rongés par les mythes, tenant à peine debout.
J'aurais pu m'enfuir mais cet encule de Kyle m'a foutu un gps accompagné d'une décharge électrique puissante dans le cou. Le message est clair, je pars, je meurs.

Remarque, la mort étais une option intéressante. Je finis par gravir les marches, évitant au préalable les trous dans le béton, et monta au dernier étage. Du moins ce qu'il en restait.
Je déposa les flingues sur une ancienne table et m'avança.

Appuyer dans l'ombre, le sourire aux lèvres, il finit par lever ses mains devant lui et à m'applaudir.

- Tes hommes sont vraiment nul. Tu devrais remettre ta sécurité en question.

Silence.

-C'était fait exprès.

-Bien sur, dis-je en levant les yeux au ciel, en tous cas ils sont tous évanouis, tu devrais aller t'en occuper.

- J'ai plus important à faire.

Je m'assis sur le rebord de la fenêtre, et sentis son regard sur moi. Il fini par s'approcher.

- Tu finira par mourir Camone, je te tuerai d'une manière ou d'une autre

- J'espère que ce moment arrivera vite... j'en peux plus de voir ta gueule.

Malgré la pénombre, je le vis agrandir son sourire. Sans m'y attendre, il finit par poser sa main sur mon épaule et de me chuchoter :

- Bien.

Il me poussa dans le vide. J'essaya de m'accrocher à quelque chose mais rien n'était autour de moi. La panique fini par exploser dans mon corps.

-AAAAAA ESPÈCE DE MALADE !!!!

Je tombais littéralement du 8e étage à une vitesse impressionnante. La peur m'a agrippée les tripes et à la chute, trou noir.