ChapitreII: L'ascension du prolétaire au capitaliste

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Monsieur Ridehl dorénavant, statut changé, il vit désormais avec sa grand mère dans une jolie Hacienda dans laquelle les fleurs sont ahurissantes.

Rentrer du boulot très tard, il apprend au journal télévisé, l'entrée en faillite d'une société industrielle d'eau et d'activités maraîchères.

Mais, épuisé il va s'en dormir, sans prendre l'information de pleins fouets.

Le lendemain au bureau, une de ses collègues, lui passe la revue de presse.
C'est en étant debout, qu'il fera la lecture, toujours avec sa tasse de café chaud à l'arabica.

Il apprend sidéré, la faillite totale de la société nouvellement construite dans son village, une nouvelle qui lui fait avaler de travers son café et se précipite dans le sprint...Toc..Toc...Maître Moretti.

Après leurs échanges au sujet de ladite faillite, les messieurs conviennent d'envoyer une commission d'enquête de journalistes puis saisissent le procureur de la République.

Dépêchés sur les lieux, les journalistes, prennent en reportage les villageois décriant l'appropriation illégal de leur terre natal, l'interdiction sans aucun droit de l'espace aquatique, et les menaces qu'ils essuyaient.

Dans la boîte, la vidéo est diffusée sur l'ensemble du territoire, c'est une réussite totale, les ONG sortent de leur terroirs, les hashtag pleuvent la toile, les communautés religieuses dénoncent les agissements des plus nantis, les hautes autorités de l'Etat encadrent les manifestations des populations, c'est un soulèvement populaire, en quelques heures le monde entier est consterné grâce au dévouement d'une seule personne.

Arrêter et placer en garde à vue, le Monsieur en Gillet orange A.B.O, pour ne pas citer son nom en public, a été condamné à 20 ans de prison, grâce à la comparution des villageois et de leur enfants , aujourd'hui Monsieur Ridehl est prit au dépourvu et doit gérer une affaire assez complexe.

    Pour rappel le monsieur en Gillet orange A.B.O, il y'a peu de temps a traiter Ridehl comme un moins que rien , alors qu'il n'était qu'un pauvre habitant du village,  que voilà aujourd'hui Ridehl tient son dossier entre ses mains .

Quelle sera sa réaction? En sachant que ,le monsieur en question a tout fait pour nuire sa vie , ses droits en tant qu'habitant du village.

Et c'est donc sur ces mots que le monsieur verse quelques larme,  en le suppliant de l'aider et qu'il est désolé, l'argent et la richesse ont prient le déçu sur ses émotions, et il pensait tout avoir grâce à de l'argent.

Ridehl fera-t-il preuve de maturité et de compassion?

Bah l'avenir nous le dira *************










               
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Une triste fin, nous rappelant la loi de la nature, militant contre le talion, car, un jour la colombe terrassera le faucon et personne ne pourra rien, c'est ainsi, une leçon de vie d'une pierre deux coups.

Être aisé , n'est pas synonyme de mépris ,un adage dit «l'avion atterrit toujours quelque soit la durée de son vol » ne rabaissant pas les plus faibles , ne les traitons pas comme des moins que rien, car demain es plein de surprise , et la vie peut nous surprendre à tout moment, ne prenons pas pour acquis nos richesses, mais aidons les plus faibles afin qu'ils s'intègrent dans la société.

                                      Fin

L'injustice de la vieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant