(TW ! passage de : Accident voiture, viole, maltraitance sur mineure, meurtre et passage vraiment dérangeant ! TW)
Pdv Sacha :
J'étais dans la voiture avec mes parents, ma grande sœur Louna et mon grand frère Jules, ma mère était enceinte de ma petite sœur, de sept mois, il était tard, il faisait nuit dehors, j'avais douze ans, je me sentais serein, on rentré d'une soirée, d'un mariage, celui d'une amie à ma mère, je n'arriva pas à me souvenir dans son prénom mais ce n'est pas grave, ce n'est pas important, tous ce qui m'importe c'est d'être avec ma famille, je les aimes, tellement, tout le monde dors déjà sauf moi et papa, je commença somnoler mais un écart de route me réveilla brusquement en sursauta, la voiture revient rapidement sur la route :
« - Papa ça va ? Demandais-je inquiet, je savais qu'il était fatigué et il avait beaucoup bu, papa me regarda dans le rétroviseur et me souris
- Tout va bien mon grand rendors toi, ne t'inquiète pas, j'ai été distrait, répondit-il d'une voix rassurante »
Je lui fis confiance et referma les yeux je commença à m'endormir mais je réveilla brusquement en sentant la voiture voler, elle tourna brusquement et commença à faire des tonneaux, j'entendis les cris de ma famille perçait mes oreilles tellement violemment, je voulus criais mes rien ne sorti du moins je n'entendais plus rien, je fermas les yeux de peur, les larmes coulaient sur mes joues rapidement, la douleur était insupportable.
Je rouvris les yeux et j'entendis mon père appelait désespérément ma mère, je ne comprenais plus rien, tout m'était si lointain, j'avais l'impression d'avoir la tête à l'envers, j'avais chaud, quelque chose était en train de me bruler, je voulais appelais mon père mais rien ne sortais de ma bouche, je referma les yeux puis les rouvris, je vis Jules essayait de me détacher et il réussit, je tomba violemment sur quelque chose de chaud et dur, il me regarda avec les larmes aux yeux :
« - Pars, dépêche-toi, va chercher des secours, vite, dit-il en pleure »
Je ne comprenais pas ce qu'il se passait et sortit de la voiture par une fenêtre cassait, les bouts de verres coupèrent ma peau et le peu de vêtement qu'il me resta, je rampa et je vis papa sur le corp de maman, son ventre était ouvert et je ne compris pas ce qu'il en sortait c'était tout floue mais tout rouge, il hurler à en perdre sa voix, je continua de ramper sur le sol et après à peine quelque seconde une explosion retentit je tourna la tête vers cette dernière, le voiture venait d'exploser, je ferma a nouveaux les yeux.
Je me réveilla dans mon lit, dans ma chambre d'enfant, je me leva du lit et alla vers la cuisine, c'était un tout petit appartement, après l'accident et ma convalescence papa avait acheté l'appartement pour qu'on y vive, papa était assis à table, une bouteille de vodka a la main, j'avala avec difficulté ma salive, papa n'était pas gentil après avoir bu, il me vit me regarda, se leva et leva son poing, il me frappa longtemps malgré mes supplications, je ferma les yeux et les rouvris.
J'étais dans un lit, j'avais les mains et les pieds liée, j'étais nu, j'avais quinze ans, j'entendis des bruits de pas et un homme, muscler deux fois plus grand moi arriva, il était lui aussi nu, je le reconnus immédiatement, mon patron, il me regarda et s'approcha de moi, il craqua ses doigts et commença à siffloter, je essayas de me défaire des liens mais rien à faire, il sourit et monta sur le lit, il se mit à califourchon sur moi, il attrapa mes joues et les serra d'une seule main :
« - Ou est mon argent ? Demanda-t-il d'une voix suave, j'avala de travers, on me l'avait volé, ce n'était pas ma faute, sa seconde main glissa de mon torse jusqu'à mes fesses, mes yeux se remplirent dans larmes quand l'un de ses doigts rentra un moi
- On me la volée, je te le promet, pleurais-je, il sourit et déposa ses lèvres dans mon cou avant de le mordre, je lâcha un cri de douleur, je le sentis sourire, sale bâtard !
- Sacha je ne te crois pas, alors dis-moi ou est mon argent, aussi non tu sais ce qu'il t'arrivera, je commence à croire que tu aimes quand je te viole le cul, dit-il d'une voix amusé, ce n'est qu'un bâtard, je te hais tellement
- Zain, je te promets je ne sais pas, on me la volée, je te rembourserai, je ferai des heures supplémentaires s'il faut ! Essayais-je de le convaincre, il me sourit et me retourna violemment et me claqua une fesse
- Toi et moi on va bien s'amuser, dit-il en rentrant en moi »
Je me réveilla violemment en vomissant tous ce que j'avais mangeais hier soir, je n'avais pas remarquer mais j'étais dans les bras de daddy Aaron qui me suppliait de me réveiller, je ne compris pas, il faut que je me cache, Zain est pas loin, et papa aussi, ha non Zain à tuer papa c'est vrai, je veux me cacher, j'essaya de me sortir des bras de daddy Aaron mais je revomis une deuxième fois, daddy Julien me caressa mes cheveux :
« - Tout va bien bébé, c'est fini, tu es en sécurité, plus personne ne te fais du mal, ni tom papa, ni ce Zain, dit doucement daddy Julien, comment il l'est connait, Zain est là ? Il vient me chercher ? Je ne veux pas repartir avec lui ! Je ne veux pas que daddy m'abandonne ! Ils n'ont pas le droit !
- NON JE NE VEUX PAS ! VOUS NE POUVEZ PAS ! PAS LE DROIT ! Je me débattis violemment dans les bras de daddy Aaron qui me lâcha, je finis au sol mais je me releva vite, je courus hors de leur chambre, j'entendis daddy Julien m'appelait mais rien à faire, s'ils ne m'attrapa pas ils ne pourront pas m'abandonner, je sentis une paire bras m'attraper, je me débattis aussi fort que possible, ne reconnaissant pas la personne
- SACHA TOUT VA BIEN ! C'EST MOI ! C'EST WALID ! CEST TON GRAND FRÈRE ! Hurla Walid »
Je me calma instantanément en pleurant chaude larmes contre lui, j'avais tellement honte de ce que j'avais fait, les daddys arrivèrent vite et me prirent à leur tour dans leur bras, ce cauchemar arrivait souvent depuis que Walid avait été adoptée officiellement par daddys, j'étais pourtant très heureux pour lui, qu'il est enfin une vie de famille calme et sans problème, qu'il ne fugue plus tous les jours, qu'il est une famille saine et une certaine stabilité.
Mais d'un autre côté, le côté de moi que je détestait le plus était jaloux et qu'es ce que j'en avais honte, son adoption avait été dévoilé le jour de son anniversaire après que Hugo ne soit repartis, je n'y avait pas crus mes oreilles et j'avais essayais de ne pas montrer a qu'elle point j'avais mal de ne pas être moi aussi adopter mais je n'avais rien dis, j'avais gardé pour moi et pis de toute façon a qui aurais-je pu me confier tout le monde m'aurait dit que j'étais égoïste alors que j'étais heureux pour lui mais d'un autre côté j'étais triste, pourquoi ils ne m'adopter pas aussi ?
Daddy Julien me porta jusqu'au canapé pendant que daddy Aaron partit se nettoyer et recoucher Walid, enfin essayait de le recoucher, il revenu peu de temps après et s'assit sur le canapé, il ouvrit grand ses bras et j'hésita à aller m'y glisser, je finis par y aller, il me serra fort dans ses bras, daddy Julien s'allongea avec nous, les larmes coulèrent toujours sur mes joues, daddy Julien me caressait doucement le ventre et daddy Aaron s'occupait de mes cheveux :
« - Et si tu nous parlais bébé ? Si tu nous parlais de ce qu'il te tracasse temps, c'est quand même la quatrième fois cette semaine que ça t'arrive et ça n'avait jamais été aussi violent, expliqua doucement daddy Julien, j'hésita mais me tus, daddy Aaron soupira fortement
- Bébé c'est en rapport avec l'adoption de Walid ? Tes cauchemars ont commencé un jours après, tu sais chérie daddy ne te jugera jamais et on comprendrait entièrement que tu sois jaloux et ça serai entièrement normal, après tout nous somme une famille pas plus l'un que l'autre, me rassura daddy Aaron »
je me laissa pleurer un peu plus fort avant de tout leur racontée, ça me prit environ une heure voir deux pour tout faire, entre les moments où je ne pouvais plus parler à cause de mes pleures incessant et les moments trop compliqué à expliquer avec des mots, à la fin j'étais épuiser et voulais juste aller dormir, daddy Julien le remarqua et embrassa ma tignasse de cheveux :
« - Daddy est là bébé, plus jamais ce Zain ne te fera du mal et bébé si ça peut te rassurer nous n'avons pas le droit d'adopter un enfant en claquant des doigts c'est une procédure très longue tu sais mais sache que ton adoption est en cours c'est juste que nous ne le sommes pas encore officiellement mais bientôt ne sauront tes vrais parents chérie, répondis daddy Julien pour me rassurer, je pleura de joie cette fois-ci et finis par m'endormir dans leur bras sur le canapé ».
VOUS LISEZ
Un camp de rééducation
Teen FictionUn nouveau camp de rééducation un peu différent des autres fait son apparition, des jeunes délinquants de 11 à 18 ans y sont envoyés dans le but de les remettre sur le droit chemin, des daddys et mommys expérimentées s'occupent de ces petits délinqu...