chapitre 2

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Précédemment :

Je la plaqua sur le banc sans pour autant être violent et me plaça à califourchon sur elle.

En ce moment :

Nous n'avions pas besoin de mots pour communiquer nos regards suffisaient amplement à faire ce que nos bouches ne voulaient pas.

Elle me fit un sourire en coin auquel je répondis et je me baissais pour coller nos lèvres mais elle mis son index sur ma bouche.

Et je compris qu'elle avait envie de s'amuser voir même de me frustrer.Je me senti déstabiliser par son humour douteux.

Mon esprit était confus. Qu'avait elle réellement derrière la tête ? Suis-je devenu un objet de son bon vouloir ?

Elle me regarda fixement et dit que j'avais tout compris. J'étais encore plus confu. Arrivait-elle à lire dans mes pensées ? Je pense bien que oui vue sa manière de répondre.

Je décida de participer à son petit manège mais je  fus rapidement pris par l'envie brusque de l'embrasser.

Alors j'attrape ses poignets avec mes mains et ainsi je commence un baiser d'abord doux ensuite qui devient plus fougueux. Je lâche ses poignets et c'est ainsi qu'elle pris part à ce baiser en me tenant par les épaules.

C'est comme-ci elle attendait simplement que je le fasse. Tel un piège. Et j'y suis tombé à pied joint.  La tension qui flottait dans l'air était électrique je le sentais et elle aussi.

Je descendis mes mains sur ses hanches pendant qu'elle m’agripait les épaules.

J'avais envie de descendre mes mains plus bas mais je savais que ça serait de trop. Ses petites mains en revanche ne se gênaient pas pour se pavaner un peu partout sur moi. Ce n'était pas pour me déplaire j'étais ravie qu'elle éprouve une telle curiosité pour mon corps.

Ma langue demanda l'autorisation d'entrer dans sa bouche et elle céda aussitôt.

C'était la première fois sur j'embrasse une fille alors je croyais que je serais maladroit mais je m'en sortais plutôt bien aprioris.

Pour moi c'était un moment exquis mais étais-ce réciproque ? Nos langues dansaient dans un baiser des plus endiablé. Ses petits gémissements étouffés me donnaient  l'impression que oui.

Sois Ma ChoseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant