16- The last words.

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On fait de même car on savait pas quoi faire.

???: Survivants confirmés.

Ils nous emmènent dans le camps de réfugiés et nous attribue nos cellules de confinement.

???: t/p.
- Maman ? *pleure de joie* Maman tu es vivante !
Maman: Ma fille *me caresse les joues* Tu n'es pas blessé ?!
- Non t'en fais pas ! *sourit* Et papa ?
Maman: Aucune nouvelle. Et Nam-ra ?
- *hoche la tête* Elle est pas avec nous. Mais elle va bien aussi *sourit timidement*

J'étais déjà consciente de la souffrance qui accablait les survivants. Mais je n'avais pas imaginé que cette souffrance m'accablerait autant à ce moment là.

Interrogatrice: Connais-tu le professeur Lee Byeong-chan ?
Ha-ri: Je n'avais pas cours le matin à cause de l'entraînement. Non, je ne le connais pas.

Interrogatrice: Il n'a jamais rien dit d'étrange ni agi bizarrement ?
Mi-jin: Ce n'est pas ce qui importe tout de suite. Je suis en terminale, et je dois passer mon suneung. (un test pour l'admission des universités)

Interrogatrice: Il était comment physiquement ?
- Il avait l'air d'un mec normal, mais suspicieux c'est tout. Il puait me cadavre des fois en rentrant dans la salle de cours. Hyeon-ju a été vu en cours de SVT une fois après on l'a plus jamais revu. Je suppose que c'est à cause d'elle qu'on en arrive à la maintenant.

Interrogatrice: Si tu a quelque chose à dire, dit le.
Hyo-ryung: *lâche une larme*

Dae-su: Je vous l'ai déjà dit. Il a enlevé Hyeon-ju, une élève de notre classe même t/p l'a dit.

Interrogatrice: Il aurait fait une injection à Kim Hyeon-ju.
Su-hyeok: Pourquoi...nous avoir abandonné. Vous nous avez abandonné.

Interrogatrice: Si tu coopères...
On-jo: Non. Je ne demanderai plus jamais rien, au adultes. Alors, ne me demandez pas de coopérer avec vous.

Interrogatrice: Êtes-vous traumatisé ?
Gwi-nam: Moi ? Tu me demandes à moi si je suis traumatisé ? Bah non je vais bien. Toujours aussi beau, costaud-
-Ferme la soit sérieux.
Gwi-nam: Bon..Oui je vais bien.

4 mois se sont écoulés, que nous sommes toujours dans ce camp de réfugiés. Nous sommes donc en janvier, si la rentrée était en septembre.

Voici un rappel des heures du couvre-feu. Le couvre-feu commence à minuit et se termine à 6h du matin. Durant cette période, veuillez rester dans vos quartiers afin de contribuer au bon fonctionnement de la communauté. Cette période sera utilisée pour inspecter les installations, nettoyer et désinfecter le camp. Ces mesures on été mises en place pour vous protéger de l'infection et nous assurer que les installations publiques restent propres.

Madame: Ma pauvre. Ma fille est aussi en terminale. *pose sa main sur Mi-jin*
Mi-jin: *sourit* Merde.

Je m'assoie par terre ne sachant pas quoi faire.

On-jo: t/p.
- *sourit* Tu étais passée où ? Je ne te trouvais pas. J'ai vu les autres quelques fois.
On-jo: Je voulais les voir, mais je n'y arrivais pas. Par peur que ça me fasse penser.
- Tu penses pouvoir oublier ?
On-jo: Je suis sortie hier et j'ai vu un feu de camp.
- Quoi ?
On-jo: Quelqu'un a fait un feu sur le toit du l'école.
- Le toit ? Tu es sûre ?
On-jo: Je peux me tromper, mais j'en suis presque sûre. Nam-ra m'avait parlé de refaire un feu de camp, si jamais on se revoyait. J'irais ce soir.
- Je viens avec toi.
Gwi-nam: Moi aussi je viens alors ! *sort de nulle part*
- Putain tu m'as fais peur t'écoutait notre discussion sérieux ?
Gwi-nam: Oui bon. Je viens avec vous.
On-jo: D'accord.

All of us are dead: nous sommes morts, ne sois pas si conOù les histoires vivent. Découvrez maintenant