L'extase

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Le temps s'était arrêté pendant tout cet instant, tant de désir, tant de fantasme, mais je n'aurais jamais cru que ça en valait autant la peine, je glissais mes petites mains dans ta touffe de cheveux. Et je débordais d'envie de t'ôter ce maudit sweat. Mais à ce moment là tu me plaqua violemment contre ton mur et me prit par la main pour me faire rentrer. Nous dévalions les escaliers et je cru même apercevoir ta mère, mais je m'en foutais royalement je pouvais hurler comme je n'aurais jamais oser le faire auparavant, je voulais que toute la ville m'entende, que toute la ville sache que j'étais désormais à toi et à toi seul. Une fois arrivé à ta chambre tu claqua violemment la porte me jetant un regard noir et autoritaire, tu me poussas contre ton lit et je tombai raide desus, n'ayant qu'une envie, que tu retires ma robe et arrache mon string.

Elle me regardait avec un tel regard que j'eu l'impression de la faire jouir sans même l'avoir touchée. Elle riait d'excitation tout en se mordant les lèvres. Je tirai inopinément ses jambes, le centre d'entre elle arrivant tout droit à hauteur de mon sexe, saisie son cou pour l'embrasser à nouveau, la redressant pour pouvoir enfin retirer cette absurde robe, je visualisais sa superbe poitrine qui me fixait  à son tour puis retourna son corps pour que son seule équilibre soit ses quatre pattes, j'écrasais ma main gauche sur son coup la plaquant cette fois si sur le lit, la cambrure était parfaite j'entamais des vas et viens sec au rythme de mon excitation qui mourrait d'elle. J'attrapai ses longs cheveux détachés pour les tirer au reflet de mon ardeur et mon ardeur se retranscrivait par mes grognement de plaisir.

J'étais impuissante face à sa force et impressionnée face à son talent, mes gémissements incessants ne pouvant qu'en témoigner. Au final mon plus beau sortilège n'était pas fait de magie mais simplement de ma beautée et de mon regard, je n'eu même pas besoin d'ouvrir mon livre de sortilège. Ce sourire que je lui ai lancé en sortant du bus il y a de cela deux jours était ma plus grande prouesse et à chaque fois que je sentais son sexe cogner au fond de moi je pensais à toutes ces filles qui n'auront jamais la chance de connaître un tel bonheur. 

La sorcière Où les histoires vivent. Découvrez maintenant