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J'ai toujours considéré que les choses se passaient telles qu'elles avaient été écrites. C'est comme ci, il y avait derrière tout ça, quelqu'un qui tenait la plume qui écrivait notre histoire. La mienne était catastrophique, alors j'ose imaginer que mon écrivain devait s'ennuyer ou tous simplement me détester, au point de bousiller Le brain de bonheur que j'avais encore.

J'ai vécu mes pires moments seul. Je n'ai jamais eu quelqu'un sur qui je pouvais réellement compter à par lui. Mais c'était avant. Aujourd'hui j'ai très vite perdu espoir qu'on me comprenne un jour. Malheureusement, ce monde a beaucoup de mal à accepter ce qu'il ne comprend pas, alors j'ai du me contenter de mon seul soutient. La solitude m'as forgé autant qu'elle m'a détruit. Je me suis toujours demander ce qui arrive aux personnes comme moi, lorsqu'ils n'ont plus à force de se reconstruire eux mêmes. J'ai à mon tour arrêter d'essayer de comprendre et je me suis rendu compte avec le temps que certaines choses ne demandent finalement pas à être comprises, mais simplement acceptées. Alors j'ai accepter mon sort. Et ça depuis bien longtemps.

Mais vous savez, le pire de chez pire dans la dépression, c'est que même si on sait qu'on est dépressif, on ne peut pas empêcher cette dépression de s'aggravée. L'autre truc qu'il faut savoir sur la dépression, c'est que ça vous fait perdre la notion du temps. Je l'ai compris car aujourd'hui je serai incapable de savoir combien de temps cela fait exactement que je suis emprisonné dans mon propre esprit. Tout à coup, les journées s'enchevêtrent et forme une boucle sans fin et suffocante. Et la on se retrouve à essayer de se souvenir de ce qui nous a rendu heureux. Mais au final, on finit par se dire que la vie a toujours été comme ça. Ça continuera toujours comme ça.

Aujourd'hui je ne sais pas si je vais bien, je veux dire... parfois, je souhaite disparaître et ne jamais revenir, alors que parfois je veux juste vivre et découvrir tout ce qui m'entoure. Mais la vérité, c'est que j'en ai bien trop peur. En fait je me sens, comme si j'avais échouer. Je regarde tous les gens qui m'entourent encore réussir et avancer dans leurs vies. Ils avancent tous plus loin et moi c'est comme ci jetait toujours coincé ici.

D'un coup je heurta quelque chose et je me retrouva au sol. J'avais mis mes mains pour me retenir et empêcher mon visage de se heurter avec le sol. Alors elle me faisaient mal à l'heure qu'il était. Je m'assis par terre et frotta vivement mes mains entre elles et souffla dessus. Cependant ce qui me fit plus peur qu'autre chose, fut la main, qui n'était certainement pas la mienne, posée sur mon épaule et un corps qui n'était pas le mien poster devant moi à ma hauteur. Je leva légèrement les yeux et aperçu un homme. Un homme qui se tenait face à moi le visage traverser par l'angoisse. J'écarquilla les yeux et repoussa sa main loin de moi.

« J-je...je suis désolée je ne t'ai pas vu »cette courte phrase sortie de sa bouche. Il semblait réellement désoler mais j'étais complètement tétaniser pour répondre ou soutenir encore son regard. Je me releva un peut trop vite et ma tête tourna un court instant avant que je ne me décide à le regarder à nouveau. Nous étions là, tous les deux et j'avais l'impression d'être pris au piège, d'être la proie et lui le prédateur. Mais il ne fit rien. Il resta même encore un peut accroupi, puis se relava.

« Est ce que tu vas bien? » pourquoi? Pourquoi est ce qu'il me demandait ça? Pourquoi moi? Je baissa la tête sur mes mains rougit par la chute mais heureusement pas de sang. « Ton genoux... » quand il dit ça je regarda immédiatement mes genoux. En effet mon genoux droit était écorcher et la en revanche il y avait du sang. « J-je... » je ne savais pas quoi dire et pour être honnête je n'en avait pas envie. « Je suis vraiment désoler. Est ce que-» je mettait retourner et avait commencer à partir. « Hé! Attend! » il courut et arriva vers moi, il se mit devant moi les bras écarter. « Pourquoi tu ne parle pas, on ne t'a pas apprit que ne pas répondre était mal poli?! » il me regarda d'un air interrogateur.
« J-je...si mais... »il baissa les bras.

« Je ne vais pas te manger. Tu est tomber par ma faute. Laisse moi t'aider s'il te plaît. » je secoua la tête et recula d'un pas. Je ne voulait pas qu'il me touche. « Eh, eh calme toi je ne vais rien te faire. Je voudrais juste me faire pardonner. Donne moi ton téléphone » je fit les gros yeux. Mon téléphone ?
« Je veux juste te donner mon numéro pour que je puisse me faire pardonner d'accord. Je ne suis pas un psychopathe ou je sait quoi d'autre. » il semblait sérieux alors je finit par céder et lui tendit mon téléphone. Dans le pire des cas j'aurais juste à ne pas lui répondre ou le bloquer. « Ceux sont souvent ceux qui disent qui ne sont pas des psychopathes qui le sont »dis je tout bas, il sourit et me retendit mon téléphone.  «peut être mais en attendant tu ma donner ton téléphone et tu n'est pas parti en courant non? » il avait raison sur se point la.

« Bien, je vais te laisser alors. Au fait moi c'est Park Jimin. A la prochaine et encore désoler je saurait me faire pardonner. » il me fit signe de la main et parti tout simplement. Que venait-il de se passer au juste?

DecacolmaniaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant