Tout est frêle dans les bras du monde.
Un rien accroît la perte d'un tout accumulé.
Vivre dans la mort est semblable à aimer dans le chaos.
Tous les trains de la nationale,
Qui courent dans le flou hivernal.
Rattrapent à peine ta chemisette,
Et ton pantalon cintré jusqu'à la poitrine.
A croire qu'on préfère s'oublier,
Et mieux se retrouver dans quelques années.
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March in may
Poesie04:04 Début d'un tout ou la fin d'un rien Commencé le 25/06/2022 Terminé le 28/07/2023