Ce soir là, nous étions tous les deux à la maison. Comme tous les soirs tu allais cuisiner pendant que moi, je pris une douche. La seule différence ce soir là, fût que je te désirais plus que tout. Alors avant de prendre ma douche, je t'avais préparé une petite surprise. Mon ensemble porte-jarretelles rouge, m'avait été finalement, très utile. C'est donc avec ces images de ton corps nu contre le mien, que je fusse allée sous l'eau brûlante, espérant taire ces idées perverses naissantes dans mon esprit.
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Lorsque j'eu terminé le repas, je monta dans la chambre, voir si tu allais bien. Lorsque je te trouvai en petite tenue, m'attendant jambes écartées sur notre lit, j'ai compris que tu allais plus que bien. Je t'avais fixé d'un regard noir de désir, pendant que tu te masturbais devant moi. Tu étais à ce moment là, la réincarnation d'une déesse. Je sentis mon membre devenir dur alors que je te regardais. Te voir allongée sur ce lit m'a rendu toute chose, j'eu aimé te voir comme ça. Mais à ce moment-là, la seule chose que je souhaitais, fut de te faire l'amour avec ardeur et passion. Te voir dans tous tes états m'avais rendu affamé.
***Lorsque tu m'eus surprise, j'ai directement senti ton regard s'assombrir. À ce moment précis, j'eus été fière de moi, de t'avoir rendu aussi désireux que je ne l'étais. C'était avec tes yeux dans les miens, que je me fis du bien, appréciant être observée. Alors que j'allais jouir, tu m'arrêtas et m'embrassa fougueusement. Ta main droite m'étranglant légèrement m'avais rendue plus fiévreuse que je ne l'était déjà. Nos vêtements eurent vite disparus, et des frissons d'envie parcouraient ton corps.
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Je n'en pû plus. Je t'attrapai par les hanches et te cambrai devant moi. J'embrassai ton magnifique dos, avant de rentrer deux doigts dans ton intimité. Le son de tes gémissements grossissaient mon engin. Quand tu t'eus retournée vers moi, je sorti mes doigts et les léchai, tu étais délicieuse. Je pris sauvagement tes cheveux dans ma main, et frottai mon pénis contre ta chatte juteuse. C'est lorsque tu pris mon engin entre tes mains pour le rentrer en toi que mon cerveau a vrillé. Tu fut si serrée et si bonne que j'ai cru que je ne tiendrai pas deux minutes.
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Mes fesses claquant contre ton bassin firent un bruit merveilleux. Nos corps en symbiose en redemandèrent toujours plus. Une main fouettant mes fesses et l'autre tirant mes cheveux, m'excitèrent au plus au point. Tes coups de reins furent si bons que je ne savais plus où donner de la tête. Je senti que j'allais venir, je t'ai donc demandé d'y aller plus fort, ce que tu fis sans hésitation. Nos corps humides l'un contre l'autre, tes gémissements et les miens furent la preuve de notre plaisir partagé. Lorsque j'étais arrivée au point culminant, je te senti te retirer et finir sur mon dos. Je m'effondrai de fatigue, tandis que tu t'allongeas près de moi, profitant de ce silence agréable, suite à nos ébats bruyants et mouvementés.