Chapitre 21 : Vol de marchandise

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NDA: petit rappel, souvenez-vous que dans les chapitres 2 et 3, j'ai fait allusion à un homme français. Il va réapparaître dans ce chapitre et dans les suivants. Mémoriser le bien !

Barcelone - le vieux port

Esteban

Je venais d'arriver au vieux port avec Tomas, j'avais ordonné à Rafael de reste à la villa des filles, pour qu'il garde un œil sur elles. J'étais parti en trombe lorsqu'un de mes hommes m'a dit qu'il y avait une urgence sur les quais.

Je devais gérer cette merde au plus vite avant de perdre le contrôle et ça, c'était impossible ! J'étais toujours le premier à garder le contrôle dans chaque situation, le meilleur moyen pour avoir des coups d'avances sur tout le monde.

Une cargaison de drogue d'un million d'euros m'attendait dans le hangar de stockage, mais un fils de pute a osé me voler et tout le monde connaît le sort que je réserve aux voleurs, c'est la torture et la mort pour m'avoir trahi et voler !

Je n'ai aucune pitié pour les voleurs, la preuve avec se traite de Pablo que j'ai torturé et tué récemment !

Il n'avait qu'à pas voler mon argent !

Ce fils de pute !

Je pénètre dans le hangar de stockage qui m'appartient pour stocker toutes mes caisses de drogue et d'armes. Sur place tous mes hommes qui entourent le bâtiment sont sur le qui-vive et au moindre problème ils ont l'ordre de tirer sur les intrus.

Je m'approche de la cargaison qui m'a été livré et j'aperçois effectivement qu'il y a peu de caisses sur ce qu'il devait y avoir. Je me tourne vers l'homme en question qui devais gérer cette livraison.

- QUI NOUS A VOLÉ ? Je lui hurle dessus en pointant mon arme sur lui

- Je.. on ne sait pas ! Bégaye-t-il

- JE VEUX SAVOIR CE QU'IL SAIT PASSER AU MOMENT DE LA LIVRAISON !

Je le fusillais du regard, mes traits de colère sur le visage était bien présent, je bouillais de rage encore une fois pour cette nuit déjà assez mouvementée, j'en avais ma claque de cette nuit de merde ! J'avais hâte que tout ça se termine et en vitesse..

L'homme qui gérait la livraison de la cargaison de drogue acquiesçait d'un signe de tête et m'expliqua le déroulement de celle-ci, jusque-là il n'y avait rien d'anormal, mais quelque chose allait pas. Le hangar est hautement sécurisé par des centaines de caméras de vidéosurveillance ainsi qu'une cinquantaine d'hommes qui surveille le lieu que ce soit extérieur comme intérieur.

J'ai ordonné à Tomas de s'occuper des caméras, de vérifier s'il ne voyait rien sur les images, vu qu'il est expert dans ce domaine au moindre problème il le découvrira et m'en informera !

Je faisais les cents pas dans le bâtiment, tel un lion dans une cage. Je fumais clope sur clope pour clamer ma rage parce que c'était vraiment pas le moment de me provoquer davantage à moins de mourir sur les champs.

Du coin de l'œil, j'aperçois Tomas qui revient avec un ordinateur portable dans les mains, il le pose sur une table près des caisses qui sert de table d'appoint.

- J'ai peut-être trouvé quelque chose ! Dit-il en faisant défiler des images sur l'écran

- Je t'écoute !

- Il y a une dizaine de caméras qui sont éteintes sur les centaines que tu as demandées de faire installer ! Répond-il, sauf que c'est impossible de les éteindre sans qu'on en soit informer par une alarme. Ajoute-t-il

Le Coeur Meurtri - Tome 1 [ EN CORRECTION ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant