Après une dure et fatigante journée, Jin se dirigea vers son endroit préféré, c'est la où il touvait le calm qu'il désirait, il venait toujours ici après finir ses cours dans l'université, ce petit café ou il pouvait se reposer sans avoir besoin d'être quelqu'un d'autre pour satisfaire les normes que les autres ont imposé sur lui, ce contrôle que la société possède sur lui l'epuisa, jin étant gay, devait se cacher des autres.
les jugements qu'il a eu, de sa famille, ses camarades et tous ses proches, l'obligeait de devenir quelqu'un d'autre, il ne se connaît plus, il ne savait plus si ce qu'il faisait était son choix ou ce que les autres ont choisi pour lui. mais, dans ce petit café, il se sentit libre, il se sentit lui, la ou il fuyait chaque jour pour se libérer de la pression que des autres appliquent sur lui.
Lorsqu'il entra, il s'assoit dans son coin habituel, en attendant sa tasse de café venir, il regarda le décor du café, il était petit mait chaleureux, il était dominé par les couleurs bleu et vert pastels, il ressemblait bien à une musé, des portraits par ci et des peintures par la, ce qui reflétait le goût artistique de son propriétaire, il y avait des plantes partout, qui ajoutaient au café une ambiance confortable et une atmosphère détendue.
Le boisson de jin arriva, il était en train de lire un livre lorsqu'il entendit le bruit de deux serveurs qui rigolaient et discutaient.
« de quoi vous parlez, jimin tae, je vous paye pas pour que vous perdez le temps à discuter »
Lorsque jin entendue la voix qui arriva à prononcer ces paroles, son cœur s'empressa dans sa poitrine, il ne pu retenir sa respiration, it leva lentement ses yeux de son livre pour voir le patron du café en train de tapoter les têtes des deux serveurs avec un sourire dessiné sur son visage ce qui fut apparaitre des beaux fossettes dans ses joues.
Cet homme pour lui avait simplement une beauté tout à fait étrange, il n'est pas moche, il est trop loin de l'être, bien même qu'il ne correspond pas aux normes de beauté que la societe a choisi, il avait son propre charme, sa beauté n'est pas quelque chose d'ordinaire, quelque chose d'habituel.
Non, sa beauté ne peut être définie que par un seul mot, unique, ses traits ne son pas ce que tu trouves par tout, de point de vue exterieur, il n'était pas quelqu'un d'intéressant, mais une fois tu prends ton temps à l'observer, tu feras surpris d'abord par ses fossettes, après tu te trouveras hypnotisé par ses yeux, ces yeux qui ne se trouvent que dans les histoires anciennes, son corps bien dessiné, son sourire contagieux qui n'est jamais adressé à n'importe qui, et ce que Jin avait bien compris, après avoir passé des jours dans le café , il se trouvait sous son charme, car pour lui, La vraie beauté est si particulière, si nouvelle, qu'on ne la reconnaît pas pour la beauté.La beauté est relative. Le plaisir, la joie, ou la douleur même illumine le visage et lui donne un genre de beauté qui vient de l'intérieur, quand l'amour grandit en toi, la beauté fait de même. Car l'amour est la beauté de l'âme.
Lorsque les yeux du patron se posaient sur lui, il detendut rapidement son regard, géné, mais heureux d'avoir l'attention de son bien aimé sur lui, il pouvait sentir ses joues et son cou s'échauffer et ses mains transpiraient parce qu'il les frottait l'une contre l'autre, lorsqu'il le voyait se diriger vers son appartement qui se trouvait au dessus du café, il s'empressait à finir son boisson, il paya et se dirigea vers les escaliers pour le suivre.
Lorsqu'il entra a l' intérieur, il fût accueilli par des bras qui entouraient sa taille et un poid se posait sur ses epaules. Ils ne se parlaient pas, les coeur battants, jin se detendait en se sentant à l'aise ici, entouré par les bras protectives du patron, il sentait comme s'il y appartenait, ils restaient silencieux l'un attendant que l'autre prononce les premiérs mots, ils ne savaient par de quoi parler, ils ne savaient pas comment leur relation c'est commencée, cette relation qui avait comme début un Namjoon confus aprés avoir trouvé un Jin pleurant dans un coin dans le caffé lorsqu'il voulait fermer son café, et qui voulait pas le jeter en dehord à cette heure tardive et dans ce cas, sans hésitation , il le prit dans ses brats, lui mumurant des mots doux et reconfortantes,