「Naughty Boy」

Chap 16

Pdv William

J'entendis la porte d'entrée s'ouvrir pendant que les intrus montaient les escaliers, oui, les, ils faisait beaucoup de bruits en plus, j'avais crus entendre le jappement d'un chien d'ailleurs, j'espère qu'ils ne sont pas entrain de faire du mal a un pauvre animal qui n'a rien demander, j'entendis quelqu'un renifler la porte mais pas un reniflement humains, d'autres personnes montèrent les escaliers, les choses devant la porte de Léo partirent rapidement à l'entente des bruits de pas que je suppose être de la police, quelqu'un y toqua doucement mais je ne répondis rien, je reçus un message venant de David comme quoi il était devant la porte de Léo et que c'était lui qui avait toquer :

« - David ? Appelais-je en murmurant, des personnes partirent de la portes pour continuer à surement explorer

- Oui ? Tu n'es pas blessé ? Le petit va bien ? Demanda-t-il rapidement, la voix inquiète, je souris en entendant sa voix, mon stress s'envolât, qu'es ce que c'est cool d'avoir un ami policier !

- Oui ça va, je vais bien et le petit dort encore, je crois avoir entendus un chien tout à l'heure, peut-être qu'ils ont ramener un chien avec eux dans tout les cas ils sont plusieurs, informais-je, il eut l'air de parler à l'un de ses collègues

- Ok, merci pour les infos William, surtout tu ne sorts pas le temps que je te ne le dis pas même si c'est l'un de mes collègues tu ne sors pas, juste si c'est moi qui te dis tu peux sortir tu sors aussi non tu reste dans la chambre avec le petit, c'est bien s'il dort, ça évitera un possible traumatisme, m'expliqua-t-il, je l'entendis repartir avec son collègue, oui, ça lui évitera sa au moins, j'attendis quelques secondes avant d'entendre des aboiements et des bruits de pas revénèrent rapidement, sa toqua

- Oui ? Demandais-je sans être sûr de qui c'était derrière la porte, j'entendis un gloussement que je reconnus comme celui de David

- On a trouver les intrus mon gars ! Deux beaux chiens, enfin, beau, façon de parler, je ne sais pas si tu te rappelles de l'élevage qui n'avait pas très loin, je ne sais pas si t'es au-courant mais il a fermer plutôt dans la semaine, je pense qu'ils viennent de là-haut, ils ont bien maigre en tout cas, tu peux sortir mais ils ont l'air un peu agressifs, on va essayer de les calmer, m'expliqua-t-il rapidement, je souris, deux chiens, je vais aller voir ça et pis je verrai avec Léo mais pourquoi pas les adopter

- Ok, j'arrive, le petit dort encore, je peux voir les chiens tu penses ? Demandais-je, je me levas et m'approchas de la porte, j'enlevas la chaise, je l'entendis parler avec ses collègues

- Pst ! William ! T'es long ! T'es tombé dans le trou ? Demanda-ta-il ironiquement, je pouffa de rire et lui aussi, il reprit la parole, oui tu peux les voir mais reste loin, ils ont peur et essaie de se défendre par conséquent, m'expliqua-t-il, je déverrouillas la porte et l'ouvrit, je tombas nez a nez avec David, il me sourit et je lui sourit

- Alors comme ça tu lances de la peinture à mon bébé crado et après je suis obliger de lui laver les cheveux alors qui déteste ça ? Nan mais t'a pas honte d'embêter mon bébé crado ? Dis-je humoristiquement, il me regarda sans comprendre puis eu une illumination et explosa de rire, je rigolas avec lui

- Allez viens, ils sont dans ton bureau, sous le bureau d'ailleurs, veuillez me suivre monsieur, je vais vous faire visiter mon humble demeure, annonça-t-il en imitant la voix d'un de ces riches coincée dans les films, je pouffa de rire et je le suivis, on arriva rapidement devant le bureau, je salua ses collègues, je tournas la tête vers le bureau et oui, deux magnifiques chiens mal en point était dessous, un berger allemand et un doberman blanc, ils étaient énormément maigres

- Oh putain, attends, je vais leur chercher à manger, ça les calmera peut-être un peu, dis-je en partant vers la cuisine, David me suivit, on prit du jambon dans le frigo puis on remonta rapidement, je pris une tranche de jambon dans une de mes mains, je repris la parole, hey tout les deux, bonjour, je ne vous veux aucun mal, regardez, j'ai étais vous chercher à manger, vous en voulez ? demandais-je en douceur, je parlais doucement, on aurai pu me prendre pour un fou mais je m'en fiche, ils me regardèrent puis leur regards tomba sur la tranche de jambon, je la coupa en deux puis leur lança, je repris une autre tranche, ils reniflèrent puis mangèrent chacun de leur côté