Tahiti

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Une fois sorti de l'aéroport, la vue est déjà magnifique, Nathan m'attrape par la main et me mène jusqu'à son taxi qui nous mènera a l'hôtel.

Dans le taxi, le chauffeur est très discret et ne nous parle pas.

Alors Nathan en profite, il me caresse la cuisse, me murmure des phrases excitantes dans l'oreille, me mordille l'oreille.

J'aime ça, je le provoque car je l'ignore, j'entends qu'il ronronne et qu'il râle. Alors il prend ma main et la place dans son jean, choquée, je le regarde avec des gros yeux.

Lui, est fier et me sourit à pleines dents.

Il veut jouer ?
On va jouer.

Je pressa son sexe extrêmement fort, ses couilles devaient saigné.
J'ai enlevé ma main quand il a failli hurler (j'étais très fière).
Il voulait prendre sa revanche.

Nathan enfonça son annulaire dans ma chatt€ et fis des vas et viens. Il ajouta un deuxième puis un troisième doigts.
Il me doigta pendant toute la fin du trajet.

En sortant du taxi, je tremblais de tout mon corps tellement ses vas et viens étaient profonds.

La secrétaire de l'hôtel nous accompagna dans notre chambre qui se nommait "sex room".

Je demande alors à Nathan :

- mais ?? Tu avais prévu de ramener quelqu'un ici ??

- en riant il dit oui, j'ai payé une voyante

- haha très drôle. Sérieusement pourquoi cette chambre ? C'était pas ça les photos ??!

- j'ai changé la réservation puisque tu t'es joint à moi.

- mais ??! Nath...

Sans avoir le temps de finir, Nathan me jetta sur le lit et me dit "j'ai pas payé aussi cher pour ne pas user la chambre"

Alors il me retire mes habits tout en m'embrassant et me dis "j'ai payé, je suis maître. Tu m'oibeis"
J'acquiesce.

Il commenca doucement en me lechant les tétons, j'en profite alors pour enlever son tee-shirt et son boxer qui moulait son énorme sexe.

Nous étions alors entièrement nus.

Il me pris par la gorge avec sa main gauche, puis avec la droite me mis un doigt dans mon sexe.
Par surprise, je gémis puis cambre, il se tourna sur moi, tout en restant au dessus et remplaca son doigt par sa langue.

Il me léchait l'intimité avec des coups de langue incroyable, je mouillais encore plus que dans l'avion.

Moi, je pris son pénis entre les mains et je l'enfonca dans ma gorge, je lui suçais le gland, puis les boules.

Lui, donnait d'énormes coup de reins tout en continuant à entrer sa langue dans mon clito.

J'étais si excité.

Pour le provoquer d'avantage, sans prévenir, j'arreta.

Il me remis sa bite dans la bouche mais je la sorta
Surpris, il me regarda.
Je saute alors sur lui, en lui griffant les abdos et lui roula une énorme pelle.
Je m'assis sur son sexe, en fesant en sorte que celui ci entre dans le miens.

Nathan était bouche bé.

Une fois qu'il était en moi, je fesait danser mon bassin lentement, puis vite, puis lentement, et ainsi de suite.

Avec ses mains, il alternait entre mes seins et mon cul mais dans les deux cas, il les pressait.

Moi, j'étais si excité que je lui arraché la chair avec mes ongles, je m'agripper a son dos et aux draps, j'hurlais de toutes mes forces.

D'un coup, un énorme orgasme sorti de la bouche de Nathan, alors, je retire le sexe de Nathan de ma chatte qui était entrain de mouiller extrêmement fort pour la placer sur sa bouche.

Nathan se morda la lèvre inférieure puis morda mes lèvres a moi.

J'eus si mal.

Je bondis du lit pour partir dans la salle de bain prendre une douche.
Une fois sous la douche chaude, je sentis une paire de mains sur mon cul.

Bien sûr, c'etait Nathan qui sans plus attendre mis son pénis dans mon cul.

C'était si douloureux.

J'hurla a la mort ! Et lui, mis ses deux doigts dans la bouche pour me faire taire puis avec son autre main, me pris par les cheveux pour me mettre a quatre pattes.

Au bout de 15 minutes de douleur atroce, je commencais a apprécié fortement cette fellation.

Nous finissons alors cette bonne douche en nous embrassant, je le suçais, lui me doigtais

C'était très organisé, chacun son tour.

Puis quand je pris ma serviette, j'en voulais encore mais il fallait me calmer.

Nathan me plaqua contre le mur, me mis un dernier coup de langue sur le clito puis parti dans la chambre pour me laisser m'habiller tranquille.

J'étais essoufflée.



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