Tout pour toi (BxB) *En pause*

Chapitre 3

Djyne

J'ai dîné avec des filles j'étais le seule homme dans une petite pièce pourvue de deux tables. Nous étions 40 mais nous n'avions pas le droit de nous parler. 4 gardes nous surveillaient, d'armes de poing.

Je n'avais pas faim, mais je me suis forcée à manger. la nourriture me dégoûtait, Je devais avoir besoin de forces pour survivre j'avais besoin de force on nous donnait notre douche j'avais tellement honte moi qui était de nature tellement pudique , L'homme qui nous douchaient était là . Il ne me quittait pas des yeux. je me souviens de l'homme du premier jour. La même Perversion y brillait. Il me jetait des regards insistant pendant que je mangeais, qui me faisait peur songeant sûrement aux saloperies monstrueuses qu'il pourrait me faire.
J'avais envie de mourir
J'ai essayé d'entrer en contact visuel avec l'une des filles qui avait essayé de s'échapper une fois peut-être elle savait où nous allions. Elle connaissait peut-être un moyen d'évasion. Elle savait peut-être pourquoi ces hommes nous retenaient prisonnières.
Mais elle était dans le pire état que moi , ils y'avait même 3 filles qui étaient mortes d'overdose.
À observer les autres captives, j'en suis arrivée à une seule conclusion.
Ces hommes étaient des trafiquants.
Ils allaient nous vendre au plus offrant, pour être des esclave après avoir mangé on nous droguait tous c'était comme une routine...
J'avais peur qu'il n'essaye pas de me violer comme le premier jour mais rien du tout .

Dans les moments ou l'effet de la drogue passait je pensais à mon mari , j'avais de la peine pour lui , il était peut-être blessé ou Il était sans doute mort à l'heure actuelle, flottant au milieu de l'immense au salée, ou bien il avait réussi à s'échapper et était mort d'inquiétude pour moi. Il se trouvait dans un pays étranger et ne savait pas comment contacter les autorités. Il pouvait appeler aux à l'ambassade, mais en quoi cela l'aiderait-il ?
Ne pas savoir ce qui m'était arrivé devait être pire que tout
il m'avait toujours protéger et choyée . Il ignorait sans doute que je me trouvais sur un bateau. Et même s'il le savait, il ignorait à quoi il ressemblait et comment l'identifier. Alors comment la police pourrait-elle le retrouver ?
Max et peut-être mort donc ne viendra pas à ton secours.

Après 15 jours, j'étais nerveuse. J'en avais marre d'être enfermée à l'intérieur du navire. Mon estomac me faisait mal , J'avais le mal de mer et je faisais des crises d'asme heureusement qu'il y avait un docteur j'ai manqué de mourir plusieurs fois mais on faisait toujours tout pour me faire revenir parce que j'étais le plus « Précieux » de leur marchandise comme disait le con qui semblait être le chef .
J'avais peur, j'étais malade, Max n'était pas là pour me protéger cette fois ci , j'avais trop peur pour m'évader mais je ferais tout pour me sauver . Soudain , La porte s'est ouverte en grinçant derrière moi. Le bruit était si discret que personne d'autre que moi ne l'aurait entendu. Depuis mon enlèvement, je me fiais plus que jamais à mes sens, c'était un instinct de survie . Je percevais les sons de l'approche. Je pouvais détecter le danger et mais je pouvais vraiment pas m'y préparer ce que j'avais peur allait arriver aujourd'hui
Je savais qui venait me rendre visite encore cette nuit. il avait essayé plusieurs fois mais on le surveillait sans doute , Il croyait que je dormais, Il a enlevé son pantalon prestement et l'a laissé tomber au sol. Son caleçon troué a suivi le même chemin. j'ai peur des sueurs froide me coulait dans le dos ...
c'est comme ça que j'allais perdre ma virginité . Il s'est agenouillé doucement sur lit en fer qui craquait et a posé les mains de chaque côté de mon corps, prêt à me violer , il empestait l'alcool j'essayais tant bien que mal de ne pas faire de bruit .J'ai entrouvert les yeux, pour le surveiller.
Et c'est là que j'ai aperçu la seringue dans sa main.
il va me droguer , la peur me tordait les entrailles la seringue était à quelques millimètres de mon cou, des larmes dévalait de mes yeux mais prises d'un soudain courage je serrais les dent , J'ai saisi son poignet et l'ai tordu douloureusement, l'obligeant à lâcher la seringue qui a rebondi accidentellement dans son cou et s'est vidé d'un coup je tremblais..., son sexe était encore dure, dressée fièrement, luisante du lubrifiant dont il l'avait enduite.
J'ai serré les poings et crier de tout mes forces en lui donnant un coup de pied bien droit comme me l'avait appris Willy
- Ahh , Merde !!!
Il a reculé et s'est protégé le sexe avec ses mains, grimaçant de douleur
– Espèce de sale...
il s'est évanoui tout de suite et j'ai pris son arme pour le cacher
Les gardes ont entendu mes cris et sont arrivés en courant. Ils ont surgi dans la pièce et m'ont tirée loin de lui. Ils ne m'ont pas massacrée comme je m'y attendais.