I : Bienvenue Victoire

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/!\ ATTENTION , je ne garantis pas que cette fiction sera sans scènes matures ;) voilà, bonnes lectures.


Une herbe verte coupée à ras, de grands bâtiments en brique. Technologie, science, littérature, histoire.... Tant de possibilités. Tant de différences et tant de similarités à la fois. J'observe le campus à travers la fenêtre boueuse du bus 89. Plein à craqué, l'air est irréspirable et de nombreux soupirs tantôt mécontents tantôt suffoquants s'élèvent autour de moi. Une odeur noséabonde de déodorants bon marché me pique le nez et je crois éternuer pas moins d'une dizaines de fois le temps du court trajet reliant la luxueuse villa dans laquelle j'ai grandit et mon futur lieu de vie, beaucoup plus rudimentaire.


Le bus freine violemment et envois mon nez rencontrer le siège rugueux qui me fais face. Je grimace et me redresse tout en caressant le bout de mon nez « meurtri ». Exagérer ? Moi ? Non, pas du tout. Le véhicule se dégorge peu à peu, tellement lentement ! Cela fait des mois que j'attends de fouler le sol de mon université ! Non parce que ormi un diplôme en histoire avec mention « Si parfait que même Dieu à pleurer » (oui,je suis devin) et un avenir professionnel assuré, l'université, c'est la promesse de fêtes grandioses ! Oulaaaaaaaaaaaaa, j'ai hâte ! Non pas que je sois une chaudasse, mais j'adore les danse colée-serrée.


Je descend, littéralement surrexitée de pouvoir enfin découvrir The University Of Florida. Les bâtiments sont absoluement superbes et parfaitement entretenus. Des centaines d'étudiants envahissent déjà les pelouses impeccables : l'année vient tout juste de débutée ! A vrai dire, j'ai bien l'impression qu'il s'agit de 2ème, 3ème, 4ème années. Je les observe tel un gépard affamé et repère quuelques petites proies...intéressantes ; surtout alléchantes. J'ai dis que je n'étais pas une chaudasse ? Bon, c'était sûrement durant un de mes nombreux moments d'égarement. Bien entendu, je chauffe discrètement. Je ne suis pas du genre vulgaire à porter des jupes ras la moule, non plus dans un genre subtile. Doucement mais sûrement comme on le dit. Je n'ai pas non plus eu des rapports avec chaque mec mignons qui passait ; je les selectionnent attentivement et les obtient toujours. Mon « tableau de chasse », comme dirait un mec franchement goujat, s'élève à un totale de six victimes. Pour une jeune fille de 20 ans, c'est acceptable non ? Non ? Ok, j'avoue, c'est un chouia excessif, mais que voulez vous ! On ne peut pas lutter contre ces petits instincts naturels qui perpétuent la vie après tout !


Mon attention est très vite captée par un petit groupe de six garçons, où pluôt hommes virils. Testosterone, testostrone... C'est le seul mot qui me vient. Ah oui et « Oh mon dieu, le panthéon des dieux grecs, sous mes yeux ! ». Malgré leur beauté extrême à tous, seul un réussit à éveillé réellement mon intérêt. Grand, des mucles saillants, de magnifiques cheveux blonds vénitiens, des yeux bleus azur à tomber à la renverse et un sourire ! Mamamia ! Ai-je evoqué son petit derrière ? Et sa barbe ! Sa barbe ! Ouais, j'adore la barbe.


Mes dents arrachent presque mes lèvres tant le désir s'impose en moi. Soudain, en une fraction de seconde à peine, il se tourne vers moi et me lance un sourire ravageur, ce qui m'oblige bien évidemment à lui renvoyé la pareille avec mon petit sourire de sédutrice farouche. Les autres « hommes virils » pose leur regards sur moi, puis sur leur ami. Des petits moues amusées se dessine sur leur visages. J'aimerais leur coller des baffes !


Alors qu'une rage sourde se dévoleppe tranquillement en moi, une voix aïgue hurle mon nom.


« - Victoire !!!!!!!!!! »


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