Dimanche 24 mars. . .
4 HEURES DU MATIN. . .
PARIS . . .
La noirceur de la nuit c'etait imposée dans le ciel . Dans les rues de Paris , y restait que des dealeurs accompagner des âmes en état d'ébriété dû au taux d'alcool qui circule dans leurs veines.
Dans ma villes, Les couloirs menants aux boîtes en bas de chez moi, étaient toutes bondée de personnes Soul, riant aux éclats et d'autres ce bagarrant pour des futilités. Les bruits qui étaient sources de colère ou de stress pour les autre étaient pour nous un quotidien, après tout c'était le prix à payer pour vivre dans un appartement abordable situé près d'un quartier branché même s'il nous devions ardemment travail pour nous le permettre.
Mais dans mon esprit résignait le calme et la tranquillité, de ne pas avoir à penser aux factures non payée et au déroulement de ce mois car manque de moyen financier signifie également survivre en priant que l'on ne nous met pas dehors faute d'un loyer impayé.
Il m'arrive parfois de penser que j'en fais trop, que je devrais abandonner cette mission et cette vie aussi avoir un train de vie adéquate à mes moyens financiers et que je devrais renouer les liens avec ma famille, et surtout me concentré sur les études.
Peut-être ?
Mais pas aujourd'hui. Car plane dans mon esprit une tranquillité que je ne saurai expliquer. Une tranquillité qui n'aura surement pas existé sans l'apparition de cette mission et je compte bien la terminer avec brio car j'ai des charges et des dettes à rembourser.
Cette tranquillité là, aurai pu perdurer avec l'accompagnement de silence, de calme mais c'est sans compter sur les humeurs envahissantes de mon voisin du haut qui a decider en plein quatre heures du matin de me faire chier avec sa putain de musique à fonds. Maudit soit -il d'avoir mi-fin à ma quiétude si pourtant rare et précieuse.
D'un pas précipité et énerver je me retire de mon lit en entrainant avec moi ma couverture et mes oreillers qui au d'ailleur se retrouve à même le sol , je me suis couverte d'un peignoir rapidement sans meme voir pris le temps de me débarbouiller prête à en découdre avec lui et lui hurler tous les insulte inimaginables au monde jusqu'à faire baisser ma colère.
Au même moment, je croise Méve dans le couloir qui elle aussi était visiblement agacé par tout ce refuge, nous nous échangeons un regard complice avant que celle-ci se dirige frénétiquement vers la porte pour toucher deux mots a se fouteur de trouble.
-MAIS C'EST PAS BIEN Tôt FINI CE RAFUGE BORDEL !?. dit-elle en rentrant en fureur dans des escaliers, je la suivi immédiatement lorsque j'arrive vers elle, elle est déjà entraine de frapper violement à la porte de celui ci en se plaignant du bruit qu'il fessait.
Arrête là sur son palier à attendre qu'il est là bonne volonté de nous ouvrir pour qu'on puisse le démarrer aussi vite qu'il nous ouvre, moi et Méve continuons d'assener sa porte de coups plus forts les uns que les autres.
Au bout de plusieurs minutes son corps apparu devant nous et la tête dépéiser se demandant sûrement pourquoi deux jeunes filles l'air hystériques frappent à sa pour comme des malades, il passa sont regard de Méve à moi en arquant un sourcil un visage bercé d'incompréhension.- savez vous que l'on peut porter plainte contre vous pour nuisances sonores ?. Dit meve en soutenant son regard confus. Vous et vos bruits nous empêche tous de nous reposer car chez monsieur si vous n'avez pas la notion de l'heure moi je vais vous la donner. Elle pris son téléphone dans la poche de son peignoir l'alluma et le posa devant le visage de celui ci.
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Run for your life
ActionIsabelle une jeune fille belle et intelligente en fac de droit qui malheureusement aime bien vivre au dessus de ses moyens. Un soir son meilleur ami la convaincra de participer à une mission qui consiste à soutirer de l'argent à un homme d'affaires...