SUBLIME VENGEANCE :un destin a deux

CHAPITRE 1:rencontre

Voila que je me retrouve encore dehors en pleine nuit, je suis glacer je n'ai même pas eu le temps de mettre mes chaussure a cause de se con de PHILL se gros blaireau qui pu la bière, le tabac, et la sueur a plein nez. On le sens a 3 kilomètres je ne comprend pas comment BETTY fait pour supporter cette puanteur il et vieux, moche, et gros. Il porte le même pantalon depuis au moins 3 mois et on lui voie la raie du cul. Sont t-shirt XXL tout sale et trouer n'est pas assez grand pour cacher sont énorme ventre poilu tout sa est dégoutant.

Le vent et si froid qu'il me tétanise les membres je doigt me forcer a avancer. Mes pied eux me font terriblement mal et peine a mettre un pied devant l'autre, je ne sens plus mes orteils quand au cailloux il me transperce la peau se qui fait atrocement mal.

Je ne suis plus très loin de l'épicerie du cartier qui ouvre ses porte 24h/24 nous sommes vendredi se qui veut dire que ses TEDDY qui tiens la caisse cette nuit. J'ai l'habitude de mi rendre ses l'endroit ou je me rend les nuit ou je ne peut pas dormir a la maison se qui doigt arriver au moins 3 fois par semaine sur tout ses temps si. Mais bon ses n'est pas si grave je doigt dire que je me sens mieux la bas que dans cette maison sinistre et délabrer, qui de toute façons ressemble a presque toute les autres vue que l'ont vie dans le cartier le plus pourri de la ville par se que évidement nous somme faucher comme les blés.

La neige fondante commence à tomber se qui me fait hésiter à prendre le raccourci au prochain coin de rue, se n'est pas un chemin que j'emprunte d'ordinaire car il et sordide, sa ruelle sombre n'inspire pas tellement confiance et ses éclats de bouteilles briser ainsi que son effluve de vieilles pisses me retourne l'estomac. Mais si je marche vite que je ne m'arrête pas que je baisse la tête et que j'arrête de respirer sa peut le faire, puis l'épicerie n'est que de l'autre coté de la rue et au moins je n'aurais pas à faire le tourd complet pour y arriver par se que maintenant avec la neige en plus je vais finir en hypothermie et je vais attraper une pneumonie.

Mon choix et vite fait, même si j'ai peur de me couper les pieds je me lance en priant pour ne croiser personne et ne pas me faire trop mal. L'odeur et insupportable les yeux me pique,soudain des miaulements m'interpelle venant d'un des conteneurs poubelles sur ma droite je regarde de tout les cotés d'un coup d'il furtif et ne voie personne. Je me dirige donc vers la poubelle pour constater qu'un chat et bien a l'intérieur et en m'approchant d'avantage j'aperçoit bien que les miaulements proviennent de l'intérieur. Je me hisse sur la pointes des pieds, et en ouvrant le couvercle l'odeur qui s'émane de la poubelle me fait un haut le cur et je sens de l'acide remonter dans ma gorge. Le chaton jeter la au milieux de sacs poubelles et tout sale et maigrichon, tremblent de froid je me hisse pour l'atteindre mais au même moment un claquement de porte raisonne et des voix graves me fond sursauter je me tourne si vite que la tête me tourne et plaque mon dos sur le métal froid du conteneur.

Devant moi se trouve deux hommes un tenant une bière dans une main et une cigarette dans l'autre, les deux sont saoul que l'un d'entres eux manque la marche par laquelle il sorte et manque de peut de se casser royalement la figure. Le second toujours sur la marche se mets a rire tellement fort que sa voix fait écho dans la ruelle entière, quand sont regard se pause sur moi il se stoppe instantanément se qui me coupe la respiration et me fait monter l'angoisse aussitôt.

-Ho..! Ho!! mais qu'avons-nous là regarde. dit l'un deux en faisant un signe du menton vers moi pour que sont ami me regarde. La peur me prend au tripe mais je ne bouge pas d'un poil mes long cheveux blond vole a cause du vent mais se trempe rapidement avec les flocons de neige qui tombe sur ma tête

-Ho mais dis donc ses t'une belle petite plante que fait tu ici ma jolie? me questionne le second qui ma repérer aussi.Je ne répond rien et les observes attentivement me devisager de la tete aux pieds.