Chapitre 1

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Cette œuvre est fictive et ne montre aucun fait réel intentionnelle.

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C'était une vaste forêt, de bois fleurissant du printemps qui laissait tomber les pétales douce des cerisiers au ras des herbes jaillissant de mille et une fleur de toute couleur et de taille. Face à cette vue, une grande façade de briques couverte de verdure qui avait pu s'installer avec le temps, ceci, était la maison d'un grand écrivain, se nommant Tojiro Hangashi, héritiers directs du grand peintre Sasaki Hangashi, son père qui avait accompli nombreux sauvetages humanitaires et peint dans son temps perdu.
Tojiro était né dans ce chalet le 1er septembre 1487, nombreux le considérant comme un enfant maudit étant né durant le jour des morts lors de l'enterrement de son ancêtre.
Son père lui disait "Deviens fort mon fils, bat toi, sert ton pays durant les futures guerres, bat toi, rend moi fier de t'avoir créé mon fils, bat toi, bas toi."
Tojiro ne savait pas manier un couteau et encore moins une lame de 30 à 50 centimètres. Il était voué à mourir planté dans le dos après quelques coups d'épée dans le vent, mais, son calme le rendait différent des autres. Seul un apprentissage acharné pouvait l'aider à manier la lame tel un grand Samouraï.
Mais il refusa de prendre en main une arme, il décida de faire des écoles de lettres et écrire des histoires en tous genres, essentiellement la connaissance de soi, car il ne se connaissait à peine.
En 1500, une grande fête se déclare pour célébrer le nouveau siècle. Tojiro avait 12 ans quand la nouvelle année avait retenti, à cet âge, il préférait rester dans le chalet à écrire des poèmes, ce jour la changea sa vie à jamais.
Le premier janvier 1500 à deux heures trente-trois, Sasaki recevra trois coups de couteau, un dans l'abdomen, l'autre dans la poitrine qui lui perfora le poumon et le dernier à la main. Il tomba net, par terre sous les yeux de sa mère qui se fit assommer et kidnapper devant le public choqué de la situation, peu après l'incident, tout le village se fit attaquer, brûlant, assassinant et pillant tous les bijoux les plus précieux du roi.
Tojiro, qui se retrouver seul à ce moment au chalet, vit le feu de loin, "Quel beau feu" se dit il "Peut-être que j'aurais dû venir avec papa et maman." Le chalet se trouvait à 3 kilomètres à pied du village, étant l'habitat le plus éloigné de la ville.
Tojiro décida d'ouvrir la porte pour sortir mais se retrouva bloqué par la serrure, ses parents avaient fermé la porte à double tour. "Tanpis, j'irai lors du prochain siècle qui suivra."
Le lendemain, un messager du roi arriva à la porte du jeune Tojiro pour lui annoncer le décès de 346 membres du village dont ces domestiques et ses parents. Une abondance de sentiment le persécutais en quelques millisecondes, une haine effroyable venait de s'abattre sur lui, le faisant pleurer à chaudes larmes. Ses dents grincé à casser un os et ses yeux couverts de sang comme une bête assoiffés de vengeance.
Tojiro se fit escorter avec les derniers survivants de l'attaque regardant la marré de cadavres déchiquetés, carbonisés et écrasés dans leur visage remplis de peur et de regret, des femmes décapitée et dénudés dont mère nature avait ouvert leur porte. Tojiro à ces douze ans observa ça a des kilomètres et des kilomètres à la ronde. Il était désormais orphelin, sans personne sur qui compter mise à part lui-même, à ce moment, il se rappela des paroles de son père "Bat toi, bat toi." Il allait se battre, remplis de regret de haine, il se leva sur le carrosse et posa des questions au gens autour de lui.
"Qui étaient ces hommes qui ont tué ces innocents ?" Une femme le regarda avec des yeux tel in chien battue à mort "C'est le clan de Gorunshi, il était en conflit depuis de nombreuses années et on décidé de nous attaquer le jour où nous étions le plus vulnérable..." Il jura sur la tête de soi-même qu'il vengerait ces innocents assassinés d'une telle cruauté.

Après 3 jours de voyage, Tojiro ce retrouva en face d'une grande porte orné de bois et de pierre polie par l'humidité et la nature, les grands porte grinçant au rythme des sabots des chevaux qui tenait le carrosse, après avoir passé le grands mur, une grande cité sous l'influence de la nature se dressa devant lui, de grands bâtiments fait à partir d'écorce et de roche poli par le temps, d'eau d'une source naturelle couler au centre de la ville le déversant dans la forêt qui nourrissent les plante et culture de carotte et de pomme de terre. De grandes voiles couvrent le ciel avec plein de pancarte écrit "MARCHÉ" autour, se trouver des commerçants vendant tous type de chose ; de la nourriture, des bijoux, des animaux, et même des armes. La ville, sembler toujours fêter la nouvelle année avec tous les drapeaux multicolore autour des façades.
Une fois la calèche enfin arrêtée, un homme a la grande moustache et au crâne toucher par la calvitie regarda les survivants. "Je prendrai les plus jeunes, ce en dessous de 18 ans par préférence et aucune fille.Une fois la calèche enfin arrêtée, un homme a la grande moustache et au crâne toucher par la calvitie regarda les survivants." Après quelques échanges l'homme, nous prîmes et nous apporta dans le bâtiment central de cette ville gargantuesque. En rentrant dans les entrailles, un grand lac d'où se verser l'eau de la ville se dressa en face de nous, un long pont nous amena en face d'un grand bâtiment comme les autres sauf qu'une grande cascade coulé au-dessus, se divisant en deux, d'où l'origine de la source d'eau du village.
Les portes grinçant et le visage d'un homme à la cinquantaine nous accueillîmes nous cinq. "Bienvenue dans mon domaine, je suis Zunetsha, mais surnommé moi maître. Vous êtes ici à la ville de Shigenshima, où se forme le plus grand Samouraï de l'armée japonaise. Si vous êtes ici pour en devenir pour cette nouvelle guerre qui approche. Vous cinq aviez déjà pu goûter aux douleurs de la guerre, vous pourrez vous venger en écoutant mon enseignement." Un jeune de 10 ans qui tremblait de peur demanda en tremblant "Mais si on ne veut pas se battre ? Je ne veux pas me battre..." Le maître souriait et s'approcha du jeune pleureur, d'un geste sec et net pointa sa lame directement vers son nez lui coupant très légèrement le bout du nez.
"Je vous tuerez." Un silence combla la salle et un rire retentit de la bouche du maître. "Ceci est votre nouveau foyer, je laisserai ma servante vous faire comprendre le fonctionnement de la maison, contrairement mon caractère intimidant, je ne vous punirez pas par votre mort. Faites comme chez vous avec le minimum de discipline sous peine de sanctions. Je vous revérai ce soir pour vous donnez votre lame qui vous suivra dans tous votre parcours." Tojiro était fasciné, la chance lui souriait, grâce à cet entraînement il pourra venger la mort de ses parents.

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⏰ Dernière mise à jour : May 11, 2023 ⏰

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