Me and The Devil

Ne Tombe Pas

* Mon père m'a accepter. Je lui est montré mes canines, dents et mes ongles. Le faite d'être un démon ne néglige pas que j'ai besoin aussi de sang... Il a été stupéfait mais la seule chose qu'il m'a dit c'est que il m'aimera toujours, quoi que je devienne... Tant que je reste moi. Ses paroles ont réagi dans ma tête. Ma revenge est devenue plus forte... Positivement. Nous sommes partis de l'hôpital cette fois en prenant le train. Un taxi nous attendais à la gare de Montargis. Durant le trajet en train, j'ai expliqué à Muzan que mon frère cadet n'était pas mort. Enfin je le supposais grâce à mon instinct. Il m'a regardé avec étonnement mais il m'a suivi. Je lui est aussi expliqué la théorie avec ma mère, mais que avant de tiré des conclusions hâtives il faut absolument faire des recherches. Donc en attendant tout ses papiers à Muzan et son rdv à la banque pour sa carte bleu, on fera des recherches. Il était stupéfait de ma réflexion et de mon intelligence. *

- Donc si je te suis, ta mère aurait ta belle-mère et ton frère cadet ?

- Si ma théorie est bonne oui. Mais ce ne serait sûrement pas elle qui l'es a. Elle a du embauché des gens ou ses amis... Je ne sais pas trop, quelque chose me dit que ses gens je l'es connais bien...

- Instinctivement ?

- Oui, et même le feeling... Tout se concorde.. J'ai même quelque image ou flash.. Je n'arrive pas à distinguer mais les visages de ses gens me sont familière.... Tu y vois quelque chose avec mon bracelet ?

- Je pourrais les dessiner, j'ai simplement perçu 1 visage bien détaillé, le reste, je crois bien que cela va dépendre que de ta mémoire.

- Ha ha... Ma mémoire a déraillé depuis plus d'un an..

- Tu avais fais une tentative de suicide de mémoire.

- Oui... Avec des médicaments. *soupir *

- C'est assez cocasse quand même. Je dis pas que passer à cet acte est bien. Mais il faut un sacré cran pour s'auto tuer.

- Enfaîte.. Quand je l'es fais ou quand je me mutilais, j'étais pas moi même... C'était quelqu'un d'autre.

- Explique toi ?

- A chaque fois que je tombais au fond du gouffre, je crois que c'est la dépression elle même qui a pris le contrôle pendant quelque instant. C'est instant ont été de courte durée mais m'ont prêté préjudice.

- Je vois... Cette maladie ne t'a pas épargné.

- Oh que non, mais en France, beaucoup sont en dépression... C'est devenu si courant que cette maladie est banalisé et jugé. On est obligé de se justifier et même auprès des personnes qui nous aident... Parfois ils nous rient au nez.

- Pardon ? On t'a déjà rit au nez pour ce qui t'es arrivé ?.

- *soupir * Oui, on m'a même dit que tout était de ma faute et que je faisais semblant d'être malade.

- C'est insensé.

- Et pourtant c'est la vérité. [ Malheureusement... J'aimerais bien que ce soit un mensonge... Mais c'est bien et bel la vérité.]

- Tu sais aussi que j'ai accès à tes souvenirs. Je te l'es dit.

- Oui, mais pourquoi tu me dis ça ?

- J'ai vu que c'est un collège en particulier qui t'a fais souffrir.

- Oui mais je laisse de côté... Mais n'y va pas ! Je veux pas que tu es des ennuies.. Et puis il y'a des caméras partout.

- Ça va, tout suite les insinuations.

- Chéri, pas à moi, je penses te connaître suffisamment assez pour ça. * rigole *

- Et moi donc. Je penses aussi bien te connaître.

- J'espère bien tiens ! Ça me vexerais.

- Tu te vexe pour si peu *pouf de rire *

- Rigole rigole, tu feras moins le malin un jour.

- C'est une menace * sourit *

- Peut-être, peut-être que non.

- Tu m'agaces.

- * rigole * Je sais, c'est pour ça que je suis avec toi.

* On est arrivé à quai. On est monté dans le taxi direction la maison. Une fois rentrée, on a pris direct une douche. J'étais pas fatiguée pour une fois... Après la douche, j'ai pris ma tablette et j'ai commencé à faire des recherches sur l'attenta d'avant hier... On commence bien le moi de mai. J'ai préféré m'installer sur mon lit contre muzan. On était assis, lui sur son téléphone et moi sur ma tablette... J'ai beau chercher je n'avais rien trouvé.. Au bout de 30 min de recherche, je suis tombé sur un profil Facebook dont le visage m'est familier... *

- Je crois que j'ai trouvé une piste.

- Tu as le souvenir de quelque chose ?

- Je regarde son profil... Ses photos je reconnais, c'est dans la Nièvre... * je regarde la dernière photo publié et c'est mon frère et moi quand on était petit. La photo date de 2015.. *

- * regarde les photos avec moi * C'est ton frère et toi. Aucun doute.

- * réalise* C'est la grand mère du mari de ma mère... Le seul indice, c'est que la dernière fois qu'elle était en ligne c'était il n'y a même pas 1 heure.

- Je penses qu'ils ne sont pas dans la Nièvre.

- Je suis d'accord, ça serait trop facile... Ils ont du choisir un endroit qui m'a marqué... Un endroit qui m'a traumatisé ou je ne pourrais plus jamais y remettre les pieds.

- La pailletrie ?

- Non... Non.. Minute.. Le seul endroit où je ne pourrais pas y remettre les pieds... * regarde muzan et je réalise l'endroit. *
Ils sont à Corquilleroy.

- C'est loin d'ici ?

- Non, c'est à 30 min d'ici ! C'est sur.. Ils sont là bas mais pour y aller on va devoir y aller pas en taxi.

- Je vais enfin pouvoir conduire la moto * sourit *

- Exactement, juste par précaution, on va d'abord élaboré un plan. Là où ils sont, il y a des voisins, et mon amie d'enfance habite juste à côté.

- Elle pourra nous aider ?

- Oui. J'ai entièrement confiance en elle et sa famille. La violence aussi coule dans leur veine.

- C'est ta sœur de cœur j'imagine.

- Totalement. Demain je l'appelle et elle viendra à la maison. Elle est en vacance normalement.

- Elle a intérêt à pas déraillé.

- Ça ne risque pas, c'est elle même un demon au sens figuré.

- Je reste confus vis à vise de ton propos.

- Elle a fait les pires vengeance à ceux et celle qui l'ont fait chier. Même au professeur, elle n'a aucune pitié.

- Si tu le dis. Je le verrais de mes propres yeux. * s'allonge et me prends dans ses bras *

- Tu es fatigué ?

- Non, mais j'ai horreur de ne pas avoir un bon sommeil.

- [ Je comprends.. Je m'excuse chéri..] Je vois. * l'embrasse sur la tête et je lui fais des papouilles *

- Tu ne vas pas dormir ?

- Je penses que non. Si je venais à me lever c'est pour manger.

- Ne te fais pas prendre.

- Je connais bien mon époque chéri. Toi repose toi.

- *me sers dans ses bras *  Mmmh..