Chapitre 17: en route vers la liberté

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-je vais prendre sa valise.

Mon cœur se mis a battre à la chamade. Sa faisais quelque jours que je ne l'avais pas vue seulement pourtant on aurais dit une éternité.

-pourquoi me fixe tu comme sa?

En recouvrant les yeux il étais à quelque centimètres de mon visage au point où je pouvais apercevoir chaque trait de son visage se qui confirme mes pensées.

Il est putain de beau...

Avant que je n'ai le temps de réagir il m'attrape le bras et me faisais le suivre.

-le bus ne va pas tarder à partir prend une place ou tu veux je te rejoins toute suite.

-d'accord

Je montais dans le bus et pris les places du fond évidemment. En m'installant je me fit la remarque que c'étais mon premier voyage scolaire bien que je sois un peu stressée je suis aussi très excité.
Même si je n'en ai jamais fait et que je n'ai strictement aucune amie dans ma classe tout irais bien j'en ai la certitude tant que j'aurais seijuro avec moi.

En parlant de lui, il arrivais enfin après je suppose avoir déposé ma valise dans la soute.

Mais maintenant que j'y pense un truc me saute au yeux et je me sens un peu con de ne pas l'avoir remarqué avant, surment trop stressée par le voyage.

Pourquoi il n'y a personne dans les sièges autour ?

Normalement dans ce genre de voyage les élèves on Tendance à vouloir prendre les siege du fond.
Dans n'importe quel situation d'ailleurs mais là..

IL N'Y A PERSONNES NI A CÔTÉ NI AUTOUR !!

-euh, dit, y'a pas un truc bizarre ?

-quoi dont?

-pourquoi on dirait que les places devant nous son réservé à je ne sais qui ?

-sa n'a rien de bizarre.

-comment sa?

-m'interdis toujours au autre élève de s'installer autour de moi dans ce genre de sortie.

-pourquoi !

-ils son brouillant et dérangeant.

-pourtant je suis la moi.

-c'est pas la même chose.

-développe.

-toi tu est mon impératrice.

Oh.

Sa recommence..

Sa le demenge...

L'envie irrépressible de l'embrasser..

Je ne suis pas une personne particulièrement adepte des contacts physiques ni alaise avec se genre de commentaires pourtant, malgré ma gêne mon corps de désir qu'un chose.
Sentir ses lèvres contre les miens.

Malgré tout mon manque de courage reprendre le dessus et je me rend alors compte que peu être que j'aurais dû quand même le faire. Pourtant..
J'en suis bien incapable.
Je ne le serais jamais.

Est ce que c'est normal ?

Est ce qu'il s'attend à ce genre de chose ?

Surment.

Vais je le décevoir ?

Surment.

A ce moment là un sentiment de chaleur apparu sur les mains. Je me vis directement derrière les sièges me baisé la main.

La Timidité d'une ImperatriceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant