Vous êtes doux. Et pointu. Et le mien. Le mien, le mien, le mien.
Parfait.
Je t'embrasse et tout semble flou et réel, si cela a un sens.
Je m'en fous. Je ne peux pas, quand tu m'embrasses comme ça et que je sens que des gémissements respirants (dans le besoin!) Jaillissent de ta gorge, me faisant frissonner. Je n'ai même pas le temps de me sentir gêné parce que ton putain de rire heureux me fait te pousser contre le mur derrière toi pour que je puisse effacer ce sourire arrogant de ton visage.
À travers la faible lumière, je vois vos yeux devenir blancs alors que vous les roulez derrière vos paupières sombres et regardez comment vous formez ce charmant «O» avec votre bouche dont je suis tellement fier avant de vous mordre le cou assez fort pour le faire une note.
"James ..." tu me grondes et il est temps pour moi de rire parce que ta voix est si pleine de tout sauf de colère.
Je t'embrasse fort, te tire en moi, mes mains sont remplies de toi.
J'en place un sur ta poitrine et soudain, tu ouvres les yeux. Les lèvres se séparèrent de surprise et les élèves grands et accueillants.
Mais la seule chose à laquelle je peux penser pour le moment, c'est à quelle vitesse ton cœur bat et à quel point tu es putain de vie. Vous êtes présent. Tu es là.
Je me sens émerveillé parce que tu es brillant, Severus. Tu es léger. Toi, que tu te fais petit et sombre; qui cache et échappe à tout et à tout le monde. Vous êtes pur. Collision et explosion. Tu brille.
Je te vois, Severus. Vous ne pouvez plus me cacher.
Je tiens à vous dire. J'ai besoin de. Moi aussi
