Mes six dernières lettres (CL16/LN4/CS55/DR3/MV1/PG10)

6 - Interminable

06 Avril, 2023. 

Lando et Charles étaient tous les deux, cote a cote, dans le taxi, ils n'avaient pas vraiment décider qu'ils le prendraient ensemble mais les choses ont fait qu'ils étaient la tous les deux, Max et Pierre dans un autre et Daniel avaient préférer voyager seule. 

Ça ne les déranger pas, ils avaient finit par apprécier la compagnie l'un de l'autre. 

Charles : J'ai le track. Il rougit. Comme a un premier rendez-vous.

Lando : C'est pour sa que tu as mis ton plus beau pull ? Il esquisse un sourire. 

Charles : Je me suis surpris ce matin a réfléchir pendant des heures sur quel tenue mettre. Ridicule. Son visage se ferme. J'ai même...j'ai mis de la cire dans mes cheveux, je sais pas, j'ai essayé de me faire un semblant de coupe de cheveux. 

Lando : C'est réussis, t'es beau gosse. 

Il reste dans le silence les quelques minutes suivantes. Chacun la tête remplit d'interrogation. Quelques voiture plus loin Max et Pierre discuter a l'arrière de leurs taxi. 

Max : Tu m'en veux toujours ? Il lève ces yeux vers Pierre. 

Pierre : Je crois qu'on s'en veux tous un peu, non ? On est tous jaloux des autres, enfin, de leurs relations avec Lilya. Pierre lève a son tour les yeux vers Max. En tous cas moi je suis furieux, je déteste qu'elle est eu des relations secrètes, qu'elle est battit quelque chose de fort avec chacun de vous, ca me rend malade, parce que... je me rend juste compte que je suis pas spécial. 

Max : Aucun de nous n'est "spécial" a ces yeux. Je suis sûre que dix milles autres personnes te trouve "spécial" a leurs yeux. 

Pierre : Je veux juste me regarder a travers ces yeux, ceux de personnes d'autres. Pierre déglutit. 

Max : Attend... Pierre, qu'es-ce que tu essaye de me dire la ? 

Pierre lui tend sa lettre. Max la récupère fermement et commence a la lire. 

Pierre,

Je ne saurais comment nous décrire, 

Je t'aime,

Mes rires n'étaient que mensonge, mes gestes restreint. 

Je t'aime, et je sais que tu m'aime, 

Un jour nous trouverons la force de le faire, plus seulement de se le dire : "je t'aime".

Nous mettons ce voile sur nos yeux, on ne veux pas voir, pas comprendre, pas imaginer ce que l'ont ressens l'un pour l'autre. 

Alors on se fuis, tous en ce cherchant. 

Je suis épuisé de fuir, je veux te retrouvé. 

Je ne veux plus jamais avoir a te repousser, je veux passer ma vie a t'aimer. 

Peut être es-ce la le problème, le sentiment m'apaise, il me guide, mais peut être n'es t'il qu'illusoire. 

Ce voile sur nos yeux, peut être n'es t'il pas la pour nous empêcher de vivre, mais pour nous préserver de la mort.