UNE NUIT DANS L'OMBRE

Partie 4

Partie 4 (courte)

Moi (murmurant): Attendez !

Mais, il m’avait déjà installée de nouveau sur le sol et recouverte de son corps vigoureux. Plus rien ne s'interpose entre nous désormais et je suis stressée en sentant l’insistance de sa verge en érection contre sa jambe. Le cœur battant à se rompre je mets la main entre nous pour le repousser.

Lui: N’aie pas peur.

De sa main restée libre il me caresse pour m’apaiser et j'aperçois que ses yeux sont aussi sombres que le ciel de minuit et que ses beaux traits sont intensément contractés.

Lui : Je ne te ferai pas mal, me promit-il d’une voix rauque en m'ouvrant les jambes de son genou.

J'ouvre la bouche pour lui dire que je suis vierge, mais il me caresse déjà le sexe, il avait immédiatement retrouvé cet endroit qui m'avait fait réagir si violemment tout à l’heure. Il est encore plus sensible maintenant, il est même devenu glissant, et je sens une étrange ardeur en moi. Gênée, je tente de me dérober avant qu’il ne puisse sentir que je suis mouillée, mais ses doigts y étaient déjà, écartent mes plis et me pénètrent.

Il n’a mis que les premières phalanges de deux doigts, mais j'accuse le coup, cette sensation est nouvelle et douloureuse. Immédiatement, Hamid s’arrête et baisse les yeux vers moi.

Lui: Qu’y a-t-il ?

Il semble inquiet.

Moi: Je…

Je me sens rougir.

Moi: Je ne l’ai encore jamais fait.

Il écarquilla les yeux et pendant un bref instant je crois qu’il va me lâcher. Cependant la seconde suivante il serre la mâchoire et je le vois vibrer un muscle près de son oreille.

Hamid (demandant d'une voix rauque): Jamais ?

Je secoue la tête, trop gênée pour le répéter.

Il me fixa, son regard est étrangement insistant, et je m'aperçois que sa main est toujours sur mon sexe avec ses doigts toujours à l’entrée de mon corps.

Hamid (avec un sombre accent): Alors tu es toute à moi. Aucun homme ne t’a jamais touchée ?

Je me mords la lèvre.

Moi: Non…

Il me pénètre d’un doigt, me faisant perdre le souffle. Non, pas comme ça.

Hamid enfle les narines puis se remet à m’embrasser, ses baisers violents me consument avec avidité et son doigt s'enfonce plus profondément. C’est une sensation nouvelle, mais je ne souffre plus et la tension que je connaissais déjà revient quand son pouce appuie sur le point sensible où il m'avait déjà caressée. Comme je suis mouillée, son doigt avance plus facilement et après un moment je me sens parfaitement bien et mes hanches se mettent à suivre le rythme de Hamid.

Peut-être ai-je de la chance, peut-être que ma première fois se passerait sans me faire souffrir.

Il relève la tête, empoigne sa verge et la dirigea vers mon sexe.

Hamid (croisant mon regard) : Je suis désolé.

Et avant que je ne puisse réagir, il commence à entrer en moi.

Je crie de nouveau et le repousse, mais Hamid continue, même si ma lubrification lui facilite les choses, mais je suis encore incroyablement serrée et mon corps se contracte pour résister à sa pénétration. Il baisse la tête, me couvre de baisers en me murmurant que tout ira bien, que bientôt je n’aurais plus mal, mais il voit bien que ses paroles n'arrivent pas à me rassurer. Je pousse un nouveau cri de douleur quand il pousse plus loin et bien qu'il semble difficile pour lui, il s'arrête en sentant l'humidité apparaître sur mes joues.