CHAPITRE UN

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INTERROGATOIRE

    — Quand j'avais quatre ans, il y avais un petit opossum qui se promenait chez moi. Mon père essayait sans cesse de l'attraper comme si sa l'obnubilai. Je n'ai jamais compris à quoi ça sert de faire attention à un petit animal sans importance. Et si c'était important pour lui pourquoi il ne le tuait pas. Il disait "ont ne doit faire souffrir personne, même pas un petit animal sauvage" et il le laissait s'échapper. C'était stupide, ses pour sa qu'il est mort, il se laissait se faire dominer. Je ne suis pas comme lui inspecteur.

    — Donc vous êtes entrain d'avouer votre crimes.

    — Non se n'est pas un crimes c'est de l'art.

    Un rires à en faire des sueur froide venais de sortir de la bouche de "l'artiste"et résonnaient dans la salle d'interrogatoire.

    — Donc vous l'avoué, reprit l'officier de police les points serrer.

    — Je n'avoue rien je dit seulement que je suis artiste, avez-vous vu mes tableaux ?

    — Oui, il sont dans la salle d'analyse, il croyait l'avoir mis au coin du mur et le faire avouer.

    — Oh vous regardez les techniques que j'ai utilisé pour l'oeuvre !, crachat-il un sourire en coin.

    — Arrête de rire, il frappa la table de plein fouet, fou de rage. PUTAIN SES PAS UN JEUX, VOUS ÊTES UN PSYCHOPATHE!!, s'exclama t-il.

    — Non je suis un artiste messieur l'officier, et puisque je vois que vous me manquer de respect je ne parlerai quand présence de mon avocat. Telle est mon droit de garder le silence, de toute manière je suis innocent. J'ai juste utilisé de la peinture brune.

    L'officier sortie de la pièce en claquent la porte. Il laissa s'échapper un cri grave qui semblait résonné de partout. Comment il pouvait être si serain du fait qu'il l'ont démasquer et qu'il est au pied du mur.

    — Reprends ton sang froid Gabriel.

    — Comment tu veux que je reprenne moi sang froid, c'est un assassin. On a que 24 heures pour prouver qu'il est vraiment coupable.

    — Les tableau son en cour d'analyse, on aura les preuves dans quelques heures.

    — Et si sa ne prouve rien.

    — Sa voudra dire qu'il n'est pas le vrai coupable.

    — Mais ta entendu comment il a parlé de son père..

    — Arêtes avec tes "si" je me fit qu'au résultat scientifique, il est peut être un psychopathe, mais sa ne prouve pas qu'il est un meurtrier. Dit l'inspecteur Jess.

    — Hum.. dit-il en grogant.

    — Bon, retournons l'interroger.

    De nouveau dans la salle, le regard de l'artiste se posa droit dans les yeux de l'inspecteur. La froideur de son visage lui donnait un air d'une confiance à toute épreuve.

    — Où on en était, dit-il.

    — Ses nous qui posons les questions Mr Timothy Garfield, Disa l'officier.

    — Je sais et moi,  mon avocat n'ai toujours pas là.

    — Votre avocat commis d'office est sur le point d'arrivée.

     Sans commentaire, Timothy attendait son commis d'office, toujours avec un sourire qui donnait envie de le frapper.

    L'avocate entra dans pièce fixé du regard de tout ceux qui attendait son arrivée.

L'artiste incompris Où les histoires vivent. Découvrez maintenant