Chapitre 5: À la découverte de la ville

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Marianne : Qu'est-il arrivé au salon?!

Je descends les escaliers et me rend au salon. J'ai mangé comme une cochonne juste pour en mettre partout et pour me venger. Je sais je suis nul, mais je sentais le besoin de le faire. J'ai aussi tout déplacé pour faire un gros gâchis j'ai descendu des couvertures et laisser des déchets un peu partout. Oups...

Moi : Moi!

Marianne : Quoi? Dit-elle confuse.

Moi : Il est arrivé au salon moi, il a dû me supporté et il n'a pas réussi. Dis-je le plus naturellement du monde.

Marianne : Et ça ne te tentais pas de ranger? Dit-elle choquer.

Moi : Bof mon truc c'est plus de faire du bordel.

Marianne : Et ben ça va changer!

Je pars dans un fou rire.

Moi en arrêtant de rire : Oh t'es sérieuse?!

Marianne : Évidement, tu ne vas pas passé ton temps à détruire ma maison!

Moi : Elle tient encore debout non? Alors elle n'est pas détruite! Dis-je l'aire baveuse.

Marianne : Tu vas changer d'attitude tout de suite! Je n'accepterais pas se comportement une minute de plus dans ma maison! Dit-elle fâcher

Moi : Ah parce que tu crois que parce que j'ai changé de maison, de vie, d'amis, d'école je vais changer moi? Non tu ne me changeras pas, cette nouvelle vie de merde ne me changera pas car je vais toujours rester la même! Ce n'est pas tes petits caprices de diva qui vont changer sa! Dis-je hors de moi.

Marianne : Je ne veux pas te changer mais je ne veux pas me faire parler comme sa chez moi j'en ai assez du bureau alors je veux que tu me respecte! Dit-elle sévère

Moi : Comment veux-tu que je te respect quand tu ne te donne même pas la peine de venir me chercher alors que je débarque dans un monde inconnu? Que tu me laisse venir à toi sans que tu fasses le moindre effort pour me connaitre? Ou pour qu'on s'entende!? Tu ne crois pas que tu me vaux au moins sa après m'avoir arraché à ma ville, à mes amis, à mes routines, à mon école, au lieu où repose mes parent ET ma meilleure amie? Tu m'as arraché à tout ce que je connais pour m'emmener vivre à l'autre bout du pays et tu ne te donne même pas la peine d'être là pour moi, pour mon arrivé! Comment veux-tu que je te respecte? Dis-je hors de moi puis triste.

Je monte dans ma chambre et m'y enferme à double tours en pleure. Elle ne vient même pas me voir pour s'excuser ou s'expliquer! Bon Alex on va se calmer et arrêter de pleurer ça va faire 1 mois que tu te morfonds alors on va se relever et bien aller. On est samedi sa veux dire que j'ai jusqu'à demain soir pour connaitre les environs, trouver un bus, des cahiers, et à l'idéal des amis... Je me change et je me couche, je sais je suis pathétique j'ai dormi près de 12 heures dans le train et sa fait quatre heure que je suis réveillé mais je suis quand même fatigué! Je pense et je me prépare un plan mental pour demain, ouais je vais être prête et découvrir ce monde, que je n'ai aucune envie d'explorer. Je fini par m'endormir après avoir tout organisé.

*****LE LENDEMAIN MATIN*****

Je me lève à l'aube et enfile mes vêtements de course. Je n'ai même pas regardé si Marianne était là je m'en fou. Je mets mes écouteurs et je suis partie. Je cours toujours tout droit pour ne pas me perdre. Sauf que je me retrouve face à la mer, à la plage, je longe donc celle-ci et admire le paysage. Je reviens «chez moi» environ une heure et demie plus tard. Je rentre et génial c'est barré! Je cogne et toujours rien, Marianne doit encore travailler. Bon je n'ai pas le choix, je me retourne et je vais sonner à la maison d'en face où Nicolas habite. Je cogne et c'est une dame en habit qui me répond, elle a l'aire vraiment haut placer.

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