La puissance de la prière

Mon père,Sam. Alias le combattant d'argent

Au bureau

- ( Ma femme a donc accouché. Ah Dieu,tu es grand! Waouh, comme je suis content. Un bon soldat à moi. Humm,non musiciens, voilà ! ) Pensa mon père.

Pililou,pililou, pililou,pililou

- Allô, bonjour !

- Bonjour mon bien aimé, j'espère que vous allez bien?

- (bien aimé ? ... c'est certainement le pasteur).

Allô

- Oui pasteur, désolé, j'étais submergé dans mes pensées. Je vais bien et vous?

- Bien mon frère,Dieu fait grâce. Je suppose que vous avez eu à causer avec votre femme. Alors, avez-vous trouvé un nom pour votre enfant ?

- ( On n'a pas parlé de l'enfant au pasteur pourtant) il s'appelle Francisco Sébastien.

- C'est parfait ce prénom. J'espère qu'on se verra, bonne journée à vous Mr Sam!.

- (C'est bizarre,je n'ai pas informé le pasteur pour l'enfant,ni lorsque ma femme était enceinte); Pensa mon père après avoir causé avec le Docteur.

Pililou pililou pililou

- Oui allô

- Mon chéri, où es-tu ? Faudrait qu'on nomme notre enfant; dit ma mère

- pourquoi as-tu parlé au pasteur à propos de l'enfant ?

- Pasteur ? Je n'ai rien dit au pasteur; Répondit-elle en étant effrayer à cause de la colère qui raisonna à travers les mots de mon père

- Alors, comment a-t-il su pour Sébastien, imbécile. Tu prends des décisions sans m'en parler.

- Mais de quoi parles-tu ? Qui est ce Sébastien et pourquoi me traites-tu ainsi? Demanda ma mère

- Sébastien est mon fils; coupa l'appel ensuite.
Cette femme va me tuer un jour, franchement,est c'est ça une femme soumise

- Je suis tout à toi Sam,mon lapin. Il y a longtemps que je t'ai goûté,mon petit chocolat ; retentit dans le bureau,la voix d'une femme

- Toi,tu la fermes, j'ai d'autres chats à fouetter et un tas de boulot que ton père m'a laissé. Alors,Dalila ne vient pas me distraire avec tes petits champignons de poitrine

- Sauvage,je suis ta patronne, n'oublie pas ça. S'exprima Dalila toute furieuse

- Et moi,le bras droit de ton père. Pendant que tu penses à t'amuser comme une fille à papa, j'ai du boulot.

Déçue, elle s'en alla sans rien dire.
Finalement,mon père décida d'aller voir Dalila à 23h,après avoir fini son travail.

- Sors de mon bureau et va t'en maintenant..
- Ferme là et vient là..... voilà, c'est moi le patron maintenant

23h45

- Où vas - tu comme ça?

- Je vais voir ma femme à l'hôpital,ça ne se voit pas.

- Qui suis-je pour toi finalement ? Tu sautes sur moi comme tu veux, je t'ai aidé à avoir le poste que tu as. Je t'aime et voilà comment tu me prends pour ta pute. Pleurent- elle en parlant.

- Je n'ai jamais aimé une femme,si tu veux le savoir.

- Et ta boniche de femme ?

- Oh mon hippopotame; ricane t-elle.
Je ne sais pas mais elle vaut beaucoup mieux que toi. À plus

Incroyable,que ce genre d'homme puisse exister. Talentueux qu'il est dans les affaires,les marchés, mais il n'a jamais connu l'amour,ni de ses parents,ni de sa famille.
Un bel homme mais qui a connu la mort de ses parents dès sa naissance (Pendant la deuxième guerre mondiale) et grandit dans une orphelinat.
Il a toujours su s'en sortir dans chaque difficulté et douer en séduction,toutes les femmes pouvaient être à ces pieds par un simple regard mais qu'une femme a pû avoir des enfants et vivre dans un même toit avec lui,ma mère