Je me reveillai difficilement dans une chambre noire, les pieds attachés au lit. Il me fallut bien dix minutes pour comprendre ce qu'il m'arrivait. Une fois les esprits en place, je me débâti contre la chaîne qui me retenait prisonnière mais sans succès. Soudain, une voix sombre et lugubre retentit. "𝕭𝖎𝖊𝖓 𝖛𝖊𝖓𝖚𝖊 𝖉𝖆𝖓𝖘 𝖓𝖔𝖙𝖗𝖊 𝖏𝖊𝖚. 𝖁𝖔𝖚𝖘 ê𝖙𝖊𝖘 𝖆𝖈𝖙𝖚𝖊𝖑𝖑𝖊𝖒𝖊𝖓𝖙 𝖆𝖚 𝖘𝖊𝖎𝖓 𝖉𝖚 𝖒𝖆𝖓𝖔𝖎𝖗. 𝖁𝖔𝖙𝖗𝖊 𝖇𝖚𝖙 𝖊𝖘𝖙 𝖉𝖊 𝖘𝖔𝖗𝖙𝖎𝖗 𝖉𝖊 𝖈𝖊𝖑𝖚𝖎-𝖈𝖎 𝖛𝖎𝖛𝖆𝖓𝖙. 𝕻𝖔𝖚𝖗 𝖈𝖊𝖑𝖆, 𝖛𝖔𝖚𝖘 𝖆𝖚𝖗𝖊𝖟 𝖉𝖊𝖘 é𝖓𝖎𝖌𝖓𝖊𝖘 à 𝖗é𝖘𝖔𝖚𝖉𝖗𝖊 𝖉𝖆𝖓𝖘 𝖚𝖓 𝖙𝖊𝖒𝖔𝖘 𝖎𝖒𝖕𝖆𝖗𝖙𝖎. 𝕾𝖎 𝖛𝖔𝖚𝖘 𝖓'𝖞 𝖕𝖆𝖗𝖛𝖊𝖓𝖊𝖟 𝖕𝖆𝖘, 𝖛𝖔𝖚𝖘 𝖒𝖔𝖚𝖗𝖊𝖟. 𝖁𝖔𝖚𝖘 𝖈𝖗𝖔𝖎𝖘𝖊𝖗𝖊𝖟 𝖈𝖊𝖗𝖙𝖆𝖎𝖓𝖊𝖒𝖊𝖓𝖙 𝖉𝖊𝖘 𝖒𝖔𝖓𝖘𝖙𝖗𝖊𝖘 𝖖𝖚𝖎 𝖛𝖔𝖚𝖘 𝖆𝖙𝖙𝖆𝖖𝖚𝖊𝖗𝖔𝖓𝖙. 𝕼𝖚𝖊 𝖑𝖊 𝖒𝖊𝖎𝖑𝖑𝖊𝖚𝖗 𝖌𝖆𝖌𝖓𝖊 ! ".
Dès que ce discours alarmant fût terminé, une minuterie apparut au fond de la pièce ainsi qu'une faible lumière pour éclairer la chambre. Quinze minutes. J'avais quinze minutes pour réussir une énigme dont je n'avais même pas connaissance. Voyant le chrono tourner, je m'enpressais de trouver une solution pour enlever mes menottes. Le seul moyen était de les crocheter ou de les briser. Malheureusement, je n'avais rien sous la main. Je regardai alors tout autour de moi. À l'autre bout de la pièce se trouvais une porte. Sur celle-ci, il y avait un digicode à clavier alphabétique. À l'opposé, un tableau était accroché au mur au dessus d'une commode et à ses côtés était placé un aquarium aux vitres jaunies et à l'eau sale. Mais rien de tout cela ne pouvait m'aider. Je me laissai tomber sur les oreillers sentant que mon moral commençait à se dégrader. Soudain, je ressentis une douleur vive à l'arrière du crâne en me cognant contre un objet se trouvant sous mon coussin. Je le soulevait et et je decouvris une petite pince coupante. C'était un véritable bonheur ! Je la pris vite pour couper le lien reliant le lit aux menottes. Je dis ensuite le même en sectionnant la chaine entre mes deux pieds. Même si je gardais les baleines des menottes aux chevilles, j'étais contente. Dès qu'elles furent cassées, les lames de la cisaille se fendirent. Ce petit sécateur ne m'etais plus d'aucune utilité. Je me réjouissais d'avoir pu me libérer dans le temps imparti jusqu'à ce que la voix profondément noir et quelque peu métallique reapparaisde. "𝕭𝖗𝖆𝖛𝖔, 𝖛𝖔𝖚𝖘 𝖆𝖛𝖊𝖟 𝖕𝖚 𝖛𝖔𝖚𝖘 𝖑𝖎𝖇é𝖗𝖊𝖗. 𝕮'𝖊𝖘𝖙 𝖒𝖆𝖎𝖓𝖙𝖊𝖓𝖆𝖓𝖙 𝖖𝖚𝖊 𝖑𝖆 𝖕𝖆𝖗𝖙𝖎𝖊 𝖑𝖆 𝖕𝖑𝖚𝖘 𝖉𝖗ô𝖑𝖊 𝖛𝖆 𝖈𝖔𝖒𝖒𝖊𝖓𝖈𝖊𝖗. 𝖁𝖔𝖚𝖘 𝖓𝖊 𝖛𝖊𝖗𝖗𝖊𝖟 𝖕𝖑𝖚𝖘 𝖉𝖊 𝖈𝖔𝖒𝖕𝖙𝖊 à 𝖗𝖊𝖇𝖔𝖚𝖗𝖘 𝖑𝖔𝖗𝖘 𝖉𝖊𝖘 𝖕𝖗𝖔𝖈𝖍𝖆𝖎𝖓𝖊𝖘 é𝖓𝖎𝖌𝖒𝖊𝖘. 𝕮𝖊 𝖘𝖊𝖗𝖆 à 𝖛𝖔𝖚𝖘 𝖉𝖊 𝖗é𝖚𝖘𝖘𝖎𝖗 𝖑𝖊 𝖕𝖑𝖚𝖘 𝖛𝖎𝖙𝖊 𝖕𝖔𝖘𝖘𝖎𝖇𝖑𝖊 𝖆𝖛𝖆𝖓𝖙 𝖖𝖚𝖊 𝖑𝖊 𝖙𝖊𝖒𝖕𝖘 𝖓𝖊 𝖘𝖔𝖎𝖙 é𝖈𝖔𝖚𝖑é. 𝕮𝖊𝖑𝖚𝖎-𝖈𝖎 𝖛𝖆𝖗𝖎𝖊𝖗𝖆 𝖉𝖊 𝖑𝖔𝖌𝖔𝖌𝖗𝖎𝖕𝖍𝖊 𝖊𝖓 𝖑𝖔𝖌𝖔𝖌𝖗𝖎𝖕𝖍𝖊. "
C'est pile à ce moment-là que le minuteur explosa.
"𝕸𝖆𝖎𝖓𝖙𝖊𝖓𝖆𝖓𝖙, 𝖏𝖊 𝖛𝖔𝖚𝖘 𝖑𝖆𝖎𝖘𝖘𝖊 𝖉é𝖋𝖎𝖓𝖎𝖙𝖎𝖛𝖊𝖒𝖊𝖓𝖙 𝖕𝖗𝖔𝖋𝖎𝖙𝖊𝖗 𝖉𝖊 𝖈𝖊𝖙𝖙𝖊 𝖆𝖛𝖊𝖓𝖙𝖚𝖗𝖊. 𝕼𝖚𝖊 𝖛𝖔𝖙𝖗𝖊 𝖒𝖔𝖗𝖙 𝖓𝖊 𝖘𝖔𝖎𝖙 𝖕𝖆𝖘 𝖙𝖗𝖔𝖕 𝖉𝖔𝖚𝖑𝖔𝖚𝖗𝖊𝖚𝖘𝖊 ! ".
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Bonjour ! Et voilà le premier chapitre ! Qu'en pensez- vous ?
445 mots
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Horror𝚄𝚗 𝚓𝚎𝚞 𝚌𝚘𝚖𝚙𝚘𝚜é 𝚍'é𝚗𝚒𝚐𝚗𝚎𝚜 à 𝚛é𝚜𝚘𝚞𝚍𝚛𝚎 𝚙𝚕𝚞𝚜 𝚏𝚘𝚕𝚕𝚎 𝚕𝚎𝚜 𝚞𝚗𝚎𝚜 𝚚𝚞𝚎 𝚕𝚎𝚜 𝚊𝚞𝚝𝚛𝚎𝚜 𝚙𝚘𝚞𝚛 𝚙𝚊𝚜𝚜𝚎𝚛 à 𝚕𝚊 𝚌𝚑𝚊𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚜𝚞𝚒𝚟𝚊𝚗𝚝𝚎. 𝙿𝚘𝚞𝚛𝚚𝚞𝚘𝚒 𝚖'𝚊𝚟𝚘𝚒𝚛 𝚏𝚊𝚒𝚝 𝚎𝚗𝚝𝚛𝚎𝚛 𝚍𝚊𝚗𝚜 �...
