Poeme 4 : L'amour

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L'amour.
Il commence avec l'humour.
Il fait du bien, tout en éloignant la peur
En passant par le plaisir, l'envie et le bonheur.

Le coeur s'accélère et bat à la chamade.
Apres une dose, vient la deuxième, puis plus rien n'est fade.
Les pupilles se dilatent.
Le voyage commence avec hâte.

Le sentiment de puissance s'installe.
Rien ne peut arriver à présent dans cette salle.
Le vide comblé.
Ce sentiment ne cesse d'augmenter.

Il passe a son maximum,
Bien trop grand pour l'Homme.
La jalousie entre en jeu et tout déraille.
L'amour c'est à deux mais pas sans failles.

C'est vertigineux de passer du bonheur aux pleurs,
L'amour pique comme les épines d'une certaine fleur.
Symbole de l'amour qui saigne,
La rose transperce et rien ne la freine.

Paradoxe des sentiments,
Passer des « je t'aime » à « tu me mens ».
S'éloigner mais pas se retrouver,
L'espoir de se pardonner mais sans trop y arriver.

Le déclin arrive tout en redoutant le pire,
La fin est là et les coeurs se brisent.

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