One Shot GxG

En manque ..

1 semaine,

3 semaines,.

1 mois,..

1 mois et demie... que l'on n'as rien fais, même pas une fellation, ni des paroles trop pousser, ni des carresses qui descendent trop loin, ni se sauter dessu l'une sur l'autre pour un avant goût.. rien.

A mes yeux, tu commences à être en manque au moment où tu vois ta partenaire d'une tout autre manière. Où des choses que l'on considèrent comme basique deviennes carrément stimulant : comme quand tu te mets à accélérer en voiture, tes mains cramponner à se volant et à se vulgaire pommeau de vitesse, où ta façon de faire ton sport, ta peau luisante de sueur, ta façon de me regarder à bout de souffle.. rien que d'y penser j'en mouille déjà..

Nous sommes à un souper, tu es à mes coters à ma droite, ma main est sur ta cuisse, sous la table bien évidement. J'ai remarquer que ta famille été coincer sur l'amour que porte un couple homo, à croire que rien que de prendre ta main dans la mienne serrai un péché..

Je sens de la chaleur se glisser sous ma robe, en baissent discrètement les yeux, je remarque ta main remonter mon entre cuisse et en passent mon tissu qui a l'aire de trop me couvrir contenu de tes gestes déplacer.
Mon cœur vacille, je me sens cuir à feu-doux de l'intérieur, je ressert mes cuisses bloquant ta main entres elles. Je souffle de soulagement sans m'en rendre compte, a croire que mon corps ne supportera pas autant de plaisir.
Je mange la salade que ma belle-mère m'a servit dans mon assiette, en manquant toute fois de m'étouffer en entendent ton souffle près de mon oreille.
《 laisse toi faire baby ..~》
Que ..Quoi ?! Nan, c'est pas moi la soumises dans notre jeux de rôle, je la regarde et je compris, ces yeux me transperce de l'intérieur, je me sens rougir et mouiller.
Je ne peux refuser une tel offre après tant de temps d'attente, mes cuisses s'ouvrent, libérant sa main qui ne perda pas de temps et vien se coller à mon sexe.
Engagent des mouvements de bas en haut et titillent mon clitoris par la même occasion.
Je m'abstiens de porter des sons grossier dans une tel situation, profitant de c'est carrésses précises. Elle sait.. elle sait les endroit qui me font trembler et mouiller, et elle en veut encore plus, sa main décale mon tissu qui me protéger de ces toucher.
Elle me carresses d'une façon douce et frustrante, évitant les endroits qui me font envie, elle s'amuse, je suis son jouer à ce moment là, elle fais de moi tout ce dont elle désire.
Je mange longuement mon repas sentant que je dégouline sur ces doigts, gêner, j'espère que je ne tâcherai pas la chaise ou je suis assise, personne me regarde, ils parle de politique et des futurs lois voter ..
Si il savait à quelle point je prend mon pied quand leur fille me touche de cette façon.
Ces doigts me pénètrent, je suis un peu choquer et la regarde, comment fait-elle pour parler de son avis sur Marine tout en me faisans sentir ces doigts en moi.
Elle ne montre même pas qu'elle est déconcentrer sur autre chose, tout d'un cou je sens c'est doigts se retirer je lève la tête et remarque ma belle-mère me regarder inquiète.
《 Sa ne vas pas, tu as l'aire d'avoir de la fièvre ..?》
Son tons si inquiet me gêne sachant que ces la faute de sa fille si je suis dans cette état, je prétexte un mal de ventre et baisse ma robe, je me dirige vers les toilettes et m'enferme à l'intérieur, contre le mur soufflant d'insatisfaction..
Ma main se dirige d'elle même vers mon sexe, souhaitant que je me soulage au plus vite, mais je suis interrompu, la porte s'ouvre sur elle.
La responsable de mon envie qui me ronge, celle qui s'amuse à m'exciter quand bon lui semble, elle nous enfermes à double tour et vien ce coller contre moi.
Nos corps ondulent l'un contre l'autre, elle dépose c'est baisers langoureux dans mon cou me faisant trembler d'excitation, je glisse ma main entre nous déboutonner son bas et y plonger ma main dans son sous-vêtements.
《 bébé~.. je suis tremper.~.》
Sa voie tremble d'excitation et d'impatience, je ne la fais pas attendre plus longtemps et la pénètre de mes doigts.
Je la plaque contre le mur en face de nous et entame des vas et viens frénétiques et énergiques en elle. Elle plaque sa bouche contre mon cou étouffant ces gémissement et griffe mes épaules sont le plaisir.

A peine j'ai le temps de la faire jouir que je me reprend, je suis à table et l'on me donne mon assiette servit d'un désert.
Je la regarde et voie aucun changement, ni même les maîtres de maison on remarquer quelque chose.

Putin je suis à ce point là en manque..

Sa fais un moment que je n'ai pas écrit, en espérant que mes lignes vous ont plus, un bon dimanche à vous à à une prochaine mes lécheussssses.