Chez Pedri

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Putain qu'est ce qui fout avec ce gars !
J'ouvre la portière et le voit embrasser le gars, Pablo le repousse immédiatement et lui en met une.
Je cris.

Moi: Dégage de la pauvre con ! Touche pas à mon mec !
Inconnu: Tranquille, tranquille je savais pas qu'il étais en couple moi.
Moi: Attends ? Tu nous connais pas ?
Inconnu: Pourquoi je devrais ?
Moi: On est un minimum connu oui.
Inconnu: Dans quel milieu ?
Moi: Le foot.
Inconnu: C'est quoi vos pseudonymes ?
Moi: Pedri.
Gavi: Gavi.
Inconnu: Ah si je vous connais ! Mais que de noms, je ne suis pas trop les matchs de Barcelone ni de l'Espagne a vrai dire. Et désolé d'avoir essayé d'embrasser ton mec, j'étais pas au courant qu'il sortais déjà avec un gars.
Moi: C'est pas très grave mais la prochaine fois demande avant d'embrasser.
Inconnu: Merci du conseil mec.
Moi: Pas de soucis.
Inconnu: C'est cool des homo dans le football. Ça change et je trouve ça génial.

Si seulement tout le monde avait le même point de vue, tout serait beaucoup plus facile dans ma vie et celle de Pablo.

Gavi: Ça va ?
Moi: Oui oui chaton, tout va pour le mieux.
Gavi: Je savais pas que t'étais jaloux.
Moi: Faut croire que tu as encore des parties de moi à découvrir.
Gavi: J'ai hâte !

Je souris et on va directement à la voiture.

Moi: On va chez toi ou chez moi ?
Gavi: Mmh allons chez toi.

J'hoche la tête et nous roulons en silence.

Pdv Gavi:

Pendant que Pedri conduit jusqu'à chez lui je repense à son expression de visage qu'il avait quand il a vu que le gars m'avait embrassé. Il était déjà énervé dans le bar mais la ça ressemblait a de la colère mélangé a de la jalousie et honnêtement le voir jaloux me fait me rendre compte qu'il m'aime vraiment.

Je pose ma main sur la sienne qui est posé sur le levier de vitesse, il tourne le regard en ma direction, il sourit et je lui adresse un sourire en retour et il se re concentre sur la route.

Quand on arrive chez lui j'aimerais lui sauter dessus et le recouvrir de baiser pour montrer a quel point je l'aime mais je ne peux pas faire ça mais je le vois venir vers moi et me prendre dans ses bras le plus fort qu'il peut et je joins mes bras autour de sa taille.

Pedri: Je sais que je me suis montré compréhensif avec le gars tout a l'heure mais si je m'étais écouté je l'aurais frappé. Je supporte pas qu'une autre personne que moi puisse te toucher ou t'embrasse. Ça me met hors de moi je te jure.
Moi: Toi seul peut me toucher et m'embrasser. Tu le sais ça ?

Il ne répond. Je lève son menton pour que ses yeux soient ancrés dans les miens.

Moi: Je veux que personne d'autres que toi ne m'embrasse ou ne me touche. Il y que toi qui compte, seulement toi. C'est toi que j'aime, pas quelqu'un d'autre. T'es le seul qui compte vraiment.

Il m'embrasse sans que je m'y attende. Il y met tellement de puissance qu'on dirait qu'il sort toute la rage qu'il a en lui pendant se baiser.

Pedri: Je t'aime plus que tout au monde.
Moi: Je t'aime aussi Pepi.

On continue de s'embrasser et il enlève son t-shirt m'incitant a aller plus loin. J'en ai très envie mais la fatigue prend le dessus.

Moi: J'en ai envie je te jure mais j'ai jamais été autant crevé de ma vie.
Pedri: C'est pas grave. On a tout le temps du monde pour faire ce genre de chose.

Je me dirige vers la salle de bain pour prendre une douche.
« Je t'aime plus que tout au monde »
C'est la seule chose a laquelle je pense. Les mots de Pedri ont eu tellement d'impact en moi et ils étaient vraiment sincères je l'ai senti. J'espère qu'il sait que je l'aime autant voir plus que lui.

Je sors enfin de la douche et j'enfile juste un boxer et sort de la salle de bain.

Pedri: Déjà que c'est compliqué de me retenir, tu mets juste un petit boxer moulant pour dormir ?
Moi: C'est pas ma faute si t'es excité comme une puce. Moi je suis crevé.
Pedri: Hé !

Il se lève et pars prendre une douche. Je me couche sur le côté en attendant qu'il sorte de la douche.
Il s'installe contre moi et enroule ses bras autour de moi sauf que...

Moi: Je sens ton erection a travers ton caleçon.
Pedri: J'ai pas de caleçon.

Putain de merde il va me faire craquer.
Il se met sur le dos et je ne le sens plus contre moi. Je me met dans la même position que lui et commence a toucher sa cuisse et je descends jusqu'à son erection. Rien qu'a mon toucher j'entends un léger bruit sortir de sa bouche.

Pedri: Qu'est-ce que tu fais ?
Moi: Je vais pas te laisser dormir dans cet état là.

Je commence a le m@sturb€r et j'entends des gémissements qui se répètent jusqu'à que je sente son liquide sortir.

Je me remet sur le dos et c'est la que je m'aperçois que je b@nde aussi.
Pedri commencer a me toucher comme je lui ai fait.
Des gémissements sortent de ma bouche.

Pedri: Je vais pas te laisser dormir dans cet état là.

Au bout de quelques minutes j'ej@cule a mon tour.

Pedri: Bonne nuit chaton.
Moi: Bonne nuit Pepi

Je pensais pas que ça prendrait une telle tournureOù les histoires vivent. Découvrez maintenant