Chapitre V

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le lendemain maintenant je me réveille avec un mal de tête énorme, mais heureusement pour moi c'était le weekend pas cour, je vais pouvoir me reposer resté dans mon lit à regarder des films, ( ça sonne à la porte) 


Martina : c'est qui ?


Tomas: c'est tomas.


que ce qu'il veut celui-là il se tape ma meilleure amie et il vient chez moi non mais je rêve...


Tomas : Ouvre-moi la porte s'il te plaît, faut qu'on parle. 


Martina : je n'ai rien à te dire.


Tomas : s'il te plaît ouvre cette porte. 


Martina : je te donne 5 minute. 


Tomas: d'accord, écoutes-tu m'as dit tu m'apprécies mais seulement amicalement, je ne peux pas savoir que c'était faux, tu m'as repoussé je te signale, je t'ai dit ce que je ressentais tu n'as pas voulu de moi. 


Martina : Alors tout d'abord je t'aime bien, fin je t'aimer bien, mais Tomas même si je t'ai repoussé sa change rien tu t'es tapé ma meilleure amie, la seule qui m'aidait quand tes " pote " m'insultait, me rabaisser, je pensais que c'était une blague que tu me fessais, parce que avec tes amie je ne sais pas ce qu'il peut arriver sincèrement, je me suis déjà fait avoir 1 fois j'ai peur maintenant, alors oui je t'ai repoussé mais je t'aimais bien jusqu'au moment où je t'ai vu allongé sur ma meilleure amie, enfin bref passons; de toute façon tu t'es foutue de moi comme tout le monde.


Tomas : si tu penses réellement ça on n'a plus rien à ce dire au revoir Tini.



j'y crois pas il m'a appelé Tini, il me fait totalement craquer il me fait presque oublier Jorge, à vrai dire ce n'est pas un mal qu'il me fasse oublier Jorge de toute façon il ne mérite pas que je pense à lui après ce qu'il a osé faire avec ça traîné de copine, faut que j'aille chez tomas pour lui présenter mes excuses je cours jusque chez lui.


Madame heredia : Bonjours.


Martina : Bonjours madame heredia, je pourrai parler à Tomas s'il vous plaît . 


Madame heredia : oui vas'y il est dans ça chambre.


Martina : d'accord merci beaucoup madame.


Je monte dans ça chambre mais je peur de retrouver " ma meilleure amie " j'espère qu'elle n'est pas là! bon allez faux que je toque il ne faut pas que j'aie peur. 


Tomas : c'est qui. ?


Martina: c'est martina.


Tomas : entre.


Martina : Fallait que je te parle.


Tomas : je crois qu'on sait tout dire ta l'heure je pense.


Martina : je suis désolé tomas crois-moi je voulais pas dire ça mes tu peux pas comprendre ce que je ressens quand on me rabaisse ou on m'insulte, alors oui un moment j'ai cru que tu étais méchant comme tes " amie " mais je me suis trompé tu es quelqu'un de bien, je suis désolé de ne pas t'avoir faits confiance, mes si tu vivrais la même chose que moi tu te méfierais de tout le monde.


Tomas : Je ne suis pas comme eux moi j'ai un coeur malgré ce que les gens croient, je ne suis pas insensible, je peux aimait la preuve je...je t'aime... pourquoi au vestiaire je t'aurai défendu si j'aurai été comme eux. ?


Martina : je suis désolé tomas et pour ma par je t'aime aussi... 


Tomas s'approche de moi de pat à pat, j'ai comme une boule dans le ventre il ferma la porte à clés, il me prend le bras je me retourne très vite il me regarde dans les yeux avec une intensité, il s'approche de moi petit par petit c'est lèvre colle les miennes, elle était tellement douce on s'allonge sur le lit. 


Martina : je n'ai jamais...ben...tu vois... je suis toujours vierge. 


Tomas : ça sera encore plus magnifique je serait ton premier.


il commence à enlever ma robe en commencent par les épaules, en me fessant des baisé délicieux, tout le long de mon coup en descendent, il enlève mes sous-vêtements, j'ai tellement chaud j'ai tellement envie qu'il vienne en moi, il commence à enlever son t-shirt, on s'embrasse je commence à lui déboutonner son pantalon, il le tire vers le bas, il enlève son caleçon, il commence à me pénétrait lentement, je comme à jouir, il commence à jouir à son tour, mais on a entendu les marches des escaliers quelqu'un toque à la porte, Tomas remet son caleçon et moi ma robe tomas ouvre la porte c'était Ludmilla.


Ludmilla : je vois que ça c'est réconcilier, tu n'avais pas besoin de me faire une crise, alors que tu finis dans son lit.


Martina : je n'ai rien fait Ludmilla arrête de dire n'importe quoi, on parle tout simplement. ( en tournant la tête) 


Tomas : oui on parlait de ce qu'il allait pas. 


Ludmilla : je m'en fiche vous faites ce que vous vouliez, je m'en vais de toute façon, aller à lundi.






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