Deux ans se sont écoulés depuis qu'Hector est devenu un demi-dieu...
À la maison, Hector vint vers Alvaro et lui proposa :
-Tu veux te balader avec moi, mon grand ?
-Bien sûr, papa. J'accepte volontiers pour vous.
-Oh merci pour cette dévotion, mais pas besoin d'en faire autant ! Tu peux toujours me tutoyer.
-Il n'y a pas de quoi, papa. Même si tu es le Servant du Seigneur, tu seras toujours mon papa chéri !
-Merci fiston. Tu es toujours très gentil. Dit Hector.Ils sortirent de la maison et prirent le métro, direction Reyanea. Ils sortirent du transport et Hector eut moins envie de vomir que la fois dernière en passant dans les locaux. Une fois sortis, ils prirent d'abord un verre au bar "El Viajero Feliz", et après ils s'assirent sur un banc, pour contempler le paysage urbain. Hector, entendant la voiture de police, se retourna et les policiers sortirent de la voiture. Un policier prit l'avant-bras d'Alvaro et le conduisit dans la voiture, alors qu'un autre menotta Hector pour lui aussi le mettre dans la voiture.
-Bande d'enfoirés, vous ne savez pas qui je suis ? Hurla Hector, en colère.
-Eh ! Ne nous parlez pas comme ça ! On vous connait, Servant du Seigneur. Hurla à son tour une policière autre qu'Ana.
Alvaro, qui ne voulait pas entendre la dispute, se boucha les oreilles et pleura, par peur d'être séparé d'Hector.
-Votre gueule. Fermez votre gueule ! Vous, les deux, voulez-vous vivre ou mourir ?
-C'est à vous de fermer votre gueule, monsieur. Hop hop hop ! On enlève gentiment sa boule de magie, et doucement ! Dit un policier, autre que Victor. Hector obéit aux ordres du policier et se tut. Arrivés au poste de police, Hector suivit les policiers, sans rien dire. Alvaro s'enfuit de la voiture mais il fut rattrapé par la policière.Hector put enfin enlever ses menottes mais il fut conduit à une cellule de prison, il y entra et fut enfermé dedans. Il s'agenouilla par terre et pria à son maître pour un miracle. Le Seigneur des Démons s'approcha d'Hector et lui dit :
-C'est toi, le miracle. Tes pouvoirs n'ont aucune limite, mon Servant. Vas-y, déchaîne toi contre eux.
-Oh que oui, mon Seigneur !
Hector se transforma et à plusieurs fois, il défonça la porte qui le retenait prisonnier. En sortant de sa cellule, il se dirigea tout en appellant un de ses pires ennemis, toujours en vie.
-Victor ! Où te caches-tu ? Et surtout, où es-tu ? Dit-il.Il explora toute la prison. Les prisonniers qui le croisaient étaient impressionnés voire ils avaient peur de lui. Le Seigneur des Démons était aux côtes d'Hector et le suivait. Ils trouvèrent l'endroit où les gardes de prison sirotaient leurs cafés et ils s'enfuirent, par peur de mourir sous les coups du Servant du Seigneur. Quelques policiers se mobilisaient pour neutraliser Hector mais ils ne purent réussir, vu qu'ils sont morts une nouvelle fois...
Le dernier des policiers s'enfuit mais Hector annula sa transformation et lui fit une petite course-poursuite pour au final, le rattraper.
-S'il... S'il-te-plaît ! Ne me tue pas ! Sanglota Victor, pour ne pas mourir à cause d'Hector.
-Victor ? Et bah tiens, en parlant du loup !
-Sale con ! Tu as osé faire disparaitre mon cœur adoré !? Hein ?! Je compte jusqu'à trois ! Un, deux... Trois ! Tu veux crever, Petit Faible !?
Hector retourna le pistolet contre Victor et le fit se suicider par balles. Victor s'écroula sur le sol.
-Hahahah. T'es mort, salopard ! Et tu sais quoi ? Impossible de crever pour moi ! Mouahahahah !
Hector, qui fut fier de lui, s'en alla directement.
-Libérez-moi ! Cria une voix féminine familière.
-Juanita ? Oh mon amour, viens ! Dit Hector, lui promettant de la sauver.
Hector se transforma à nouveau et défonça la porte enfermant Juanita.
-Merci, mi amor ! Dit-elle en haletant.Le couple quitta la prison et heureusement, il n'y avait pas de policiers pour les neutraliser.
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Presque oublié : Tome 2
FanfikceTW : Violence, sang, ambiances sombres, langage grossier Hector, qui a évolué et calmé sa folie pour de bon, devra faire face à de multiples épreuves et ne reculer devant rien. Il rencontrera ses premiers ennemis et devra perdre un être cher. Désol...