Les dernières survivantes

Chapitre 1 : le début de la survie.

Je me réveilla par le chant des oiseaux que j'entendais à travers ma fenêtre.
Ce son m'avait toujours apaisé.
J'attrape mon téléphone posé à ma gauche sur ma table de nuit et regarde l'heure.
10h00 tout pile.
Je sors de mon lit et pousse doucement la porte de ma chambre.
Je descends les escaliers dans tout le calme que je dispose et y découvre Ève assise sur le canapé un bol de céréales dans sa main son téléphone dans l'autre.
- je comprends pas.. me dit-elle
- tu comprends pas quoi ? Demande ai-je.
- il y a plus de Wi-Fi sur mon téléphone c'est quoi ce bordel ?
J'hausse les sourcils, surprise et regarde mon propre téléphone.
Et en effet je vois que je n'ai plus de Wi-Fi.
- ben oui dis donc tu as raison c'est bizarre ça !
Elle attrape la télécommande posée devant elle et essaye d'allumer la télé mais rien n'y fait, elle ne veut pas s'allumer.
- mais p***** pourquoi il s'allume pas ce truc de merde ?
- waouh Ève t'énerve pas !
- attends attends je vais essayer d'aller voir les voisins pour leur demander si ils ont ça aussi.
J'attrape une paire de basket, une veste légère et sors dehors.
Je tourne à gauche et vais directement sonner chez mes voisins.
Pas de réponse.
Je recommence mais toujours rien.
Je décide donc de voir si leur maison est ouverte craignant qui leur soit arrivé quelque chose.
J'entre dans la maison sans souci,  apparemment il n'avait pas fermé leur maison à clé.
- C'est bizarre ça... murmure ai-je.
Je monte à l'étage et rentre dans leur chambre... ils n'y sont plus !
Je ressors de leur maison pour aller voir mes voisins de droite.
Je sonne une fois, deux fois, trois fois, toujours pas de réponse au bout de la quatrième.
Je commence a paniqué sérieusement !
Je rentre a la maison et retrouve Ève en train de remplir des sacs de nourritures.
- Mais qu'est ce que tu fou ? Demande ai-je.
- Tu ne vois pas Lana ? C'est la fin du monde !
Je l'observe de haut en bas et pose ma main sur son front.
- Tu es sur ça va bien dans ta tête ?
- bah oui !
On se pose sur le canapé et je lui dis que je préfère déjà faire un tour de reconnaissance et d'aller sonner chez les gens pour vérifier qu'il n'y a vraiment plus personne.
Elle approuve d'un signe de tête.
On sort toute les deux dehors et on monte dans notre voiture.
Il n'y a personne sur la route et honnêtement ça fais peur.
Je commence vraiment a croire que nous sommes les seules survivantes.
On fait le tour des maisons en sonnant au portes et personne nous répond.
- alors la tu dis ce que tu veux ! S'exclame Ève. Mais on est vraiment seules au monde la !
- Oui je sais n'aggrave pas la situation s'il te plaît !
On rentre a la maison, en silence, ne croisant toujours personne sur la route.
Une fois rentrer a la maison on s'assoie sur le canapé et on parle de ce qui est en train de ce passer.
- Mais c'est la fin du monde Lana tu t'en rends pas conte ??
- Mais Ève ! C'est pas possible que se soit arrivé du jour au lendemain !
- Bah je sais mais tu a une explication a ça ? Au fait qu'on soit seule au monde sans personne ?!
Les larmes me monte au yeux et aussi a ceux de Ève, façe a cette vérité.
- on va faire comment ? Me demande t'elle
- Je sais pas...j'en sais rien.
On resta longtemps assise la sans rien faire, a réfléchir a une solution.
Quand un bruit venant de dehors nous tira de nos rêveries.
- Des survivants ?
On se précipita dehors et on tomba sur un truc qu'on penser jamais voir de notre vie entière !
Des zombies a la peau blanche, au yeux  blanc et au sang qui coule de leur bouche de leur nez et de leur yeux.
- DES ZOMBIES ??
On rentre bien évidemment dans la maison et on déplace illico le canapé devant la porte.
- Cest une p***** de blague ?? Chuchote Ève.
- Ça nous apprendra a regarder des films avec des zombies ! Dit je.
Les zombies continuer a crier, des cries a glacée le sang.
- On fait quoi ? Demande ai-je.
- On monte en haut !
- Non non on monte en bas ! Dit je en levant les yeux au ciel.
On s'éloigne lentement du canapé et on monte toujours aussi lentement a l'étage.
- Heeuu c'est moi ou le ciel est jaune ?
- Ho p***** de merde ! Pourquoi il est jaune ?
- Mais j'en sais rien !
On entendait les zombies tourner autour de la maison et nos respiration s'accélérèrent lorsqu'on entendit la porte de derrière qui mène au jardin craquer dangereusement.
- Et merde !
- Quoi ?
- On a pas penser a la porte de derrière !
- Ho non !
Je sort de la salle de bain, la pièce ou on c'était enfermé et je descend lentement les escaliers vers la cuisine.
Heureusement la porte na pas encore cassé et je cours pour placé la table juste devant.
Je remonte les escaliers et me renferme dans la salle de bain.
- Re descends dans la cuisine !
- quoi ? Pourquoi ?
- Prends a manger on se tire !
- Heu...ok ok.
Je re descends encore dans la cuisine en espérant ne pas attirer encore plus de zombie.
J'attrape littéralement toute la nourritures dans le frigo et remonte, les bras qui déborde de victuailles.
- Tu te rends conte comment c'est cliché ce qui se passe ? Dit Ève tout en remplissant nos sacs de nourritures.
- Oui tellement ! Dit je en surveillant le couloir pour vérifier qu'aucun zombies de parviennent a monter.
- prends les brosse a dents et des dentifrice avec du gel douche Lana.
- ok ! Je quitte mon post de surveillante et prends tout ce quelle me dit + les bouteilles qui garde le froid remplis a rabors.
- Tes sur on aura assez de place ?
- Hum bourre un peu au pire. Dit je en reprenant mon post.
- Ok...
Elle finit de remplir les sac pile au moment ou la porte d'entrée de derrière se cassa definitivement.
- Et merde ! On sort par ou ? Demanda Ève en me passant mon sac.
Je le mis sur mes épaules en espérant qu'il ne me ralentisse pas si je dois courire.
- Heu...le toit !
J'ouvre la fenêtre et Ève me fait la courte échelle.
Je monte sur le toit. La vue du vide devant moi ne me fait pas peur étant donner mes nombreuses années d'expérience.
- Va si monte ! Dit je a Ève en lui tendant ma main.
Elle l'attrape, monte sur le lavabo pour s'aider et je l'attrape par la taille au moment ou les zombies franchissent la seuil de la salle de bain.