Et je pleure souvent tard le soir,
Car mon esprit est souvent noir.
Morose de notre histoire,
Mélancolique de ce déboire.
Ainsi d'une pensée à l'autre,
Je finis seul avec ce sanglot pour être « notre ».
Je repense à tout ce que j'ai perdu,
A toi et notre amour mort qui était éperdu.
Je me dit souvent que j'aurais pus faire mieux,
Que j'aurais pus rendre tout ceci harmonieux.
Que ceci est bien probablement ma faute,
Que à cause de moi, bien souvent tout saute.
Je me dit souvent aussi, que c'est ainsi,
Que la vie continuera par là où ici.
Mais ces soirs la, je ne retient plus là douleurs,
Et je me noie, dans ces larmes de douceurs.
A ces soirs la, ou seule la tristesse, me fais sentir encore proche de toi.
Naviguant dans nostalgie et douleurs, je me peine et je m'apitoie.
Sans toi, sans, nous.