le bordel chez les CountryHumans/IslandHumans

07 : 2/2

*21h09 bureau de Second*

*Le soldat allemand du mordre fort ses lèvres, couvert de son propre sang laissant au passage un goût métallique, pour devoir écouter les disputes indésirables, colérique, violent et immature de ses deux fils qui avait déjà atteint l'âge adulte*

Weimar *esquive le coup de son aîné* : JE TE JURE QUE SI HOSE ENCORE UNE FOIS ME FAIRE DU MAL !!!!

Third *réussi à le mettre au sol et bloque ses bras pour qu'il ne puisse plus bouger* : qu'est-ce que tu vas faire~ ?

*le père ayant atteint ses limites, sépare ses fils qui ce comporter comme dans leurs enfance, les jeunes hommes sentirent une aura très une familière derrière la porte du bureau, une aura qui ce résumé à un être dominante et dictatrice, ne voulant que le pouvoir, la porte s'ouvrit dans un bruit sourd, dévoilant une femme portant un cache oeil avec au centre un aigle couronné sur son œil gauche, le milieu du visage sombre de cette femme été tracé horizontalement par une une bande blanche, elle faisait environ deux mètres soixante-quinze, portant une robe noire et rouge à manches longues allant jusqu'à caché ses jambes, la femme n'attendit pas l'accord de rentrer dans la pièce, elle se mit devant le deux hommes et les regardaient avec son œil, rougeatre couleur pourpre, valide, les deux jeunes hommes comprirent qu'ils étaient de trop, ils marchent jusqu'à la porte et l'aîné la ferma*

??? *Prend la chaise de devant elle et fait assoir le soldat allemand*

??? *déploie ses ailes pour reconnaître sa supériorité en vers lui * : pourrais-tu me donner des explications sur ton comportement en vers l'empire avec qui tu désormais lien ?

Second *comprends qu'il ne pouvait mentir en vers sa génitrice, il pris l'initiative de dire la vérité* : je ne veux plus plus qu'il parte comme un lâche après nos nuits, je fais tous mon possible pour qu'il reste mais il est jamais là, comme si pour lui je n'étais là que pour lui satisfaire, quand j'essaye de le parler a propos de nous, il esquive la conversation....

??? *ne dit rien pendant quelques minutes* : tu penses vraiment qu'il suffit d'enchaîner un oiseau pour qu'il se mette enfin à chanter ?

*la femme pris par le bras droit, l'oblige à se lever et sortent tous les deux du bureau pour aller jusqu'à la chambre du soldat allemand, arrivé devant la porte la femme fait en sorte de se positionner derrière sa progéniture pour qu'il ne puisse s'enfuir*

??? *se baisse à son oreille pour qu'il puisse entendre ses paroles* : libère l'oiseau de sa cage maintenant, je qu'il est entrain de mourir froid

*L'allemande regarde son fils d'une manière strict et sérieux, l'homme met sa main droite dans sa poche pour y récupérer le petit objet métallique afin le mettre dans la serrure et la tourna de manière qu'on puisse entendre un déclic, signe que la porte été ouverte,la pièce été plongée dans l'obscurité totale laissant apparaître un voile de lumière provenant de l'encadrement de la porte, l'homme tapote le mur afin de pouvoir atteindre l'interrupteur, une avoir trouvé celui-ci, il pû allumer la lumière pour mieux se repérer, l'homme entra dans la chambre prennant soin de fermer celle-ci, il s'avança vers le lit y trouvant l'homme endormi, tremblotant de froid, il part vers ses liens pour le détacher voyant les marques, causé sans doute à causer par les gigotements de l'autrichien, le soldat se leva pour se diriger vers sa commode, en l'ouvrant il pris une couverture, il ferma les portes et se dirigea vers lui pour y déposer le grand tissu pour lui donner un peu de chaleur prennant soin de ne pas le réveiller, il se mit à observer les traits de son visage de ses mèches de cheveux longs qui tombés devant ses yeux fermés à sa bouche fine et délicate, il finit par s'assoir par terre commençant par être fatigué, c'est deux heures plus tard que l'autrichien se réveilla de son sommeil, en se mettant assis, il pû découvrir qu'il n'était plus attaché et qu'il été couvert par une couverture en baisse le regard il vu les bras croisés de celui qui l'avait enfermé dans la chambre, dormant toujours par terre, l'homme sur le lit commença par se rappeler que l'allemand prenez toujours soin de lui , il le pris avec beaucoup de difficulté l'homme endormi sur le lit enlever les éléments qui pouvait le gène pour dormir confortablement, le couvrant avec la même couverture qui le réchauffé, il commença par prendre conscience petit à petit de toute les fois où il se comporter avec des actions égoïste et irresponsable sans se rendre compte de ses conséquences, il s'allongea prennant l'homme dans ses bras*

Austria-Hungary *remonte la couverture vers eux pour avoir plus de chaleur*

Austria-Hungary *l'embrasse tendrement sur la joux* : j'espère qu'un jour tu pourras me pardonner d'être celui que j'étais auparavant.... bonne nuit Second

*derrière la porte, ce trouvé la mère de l'allemand, un sourire triste aux lèvres, en re-pensant toutes les fois où son fils se faisait du mal pour lui, elle savait aussi d'ailleurs qu'il été tombé amoureux de lui, bien avant leurs mariage arrangé, à l'âge de huit ans, lors de l'une de ses visites chez son allié, Empire Austria avait fait en sorte de ramener son fils âgé de sept ans, leurs fils, juste en un seul regard par tomber amoureux l'un de l'autre inconsciemment, les deux adultes pris l'initiative de faire un mariage arrangé, quand les deux jeunes garçons auront l'âge de dix-huit/dix-neuf ans, en se souvenant de leurs rencontres, la femme ne peut s'empêcher de lâcher un rire mélancolique*

Prusse*s'éloigne de la porte de la chambre de son fils* : la prochaine fois que je rendrai visite à Austria et à Hungary, je leurs raconterai la première fois que vous vous êtes rencontrer lors de l'une visite de courtoisie et d'amitié

*dans la chambre de son fils, celui-ci serra son époux pré de lui, se souvenant que ce n'était pas la première fois qu'ils se sont rencontrés et Austria-Hungary était un petit garçon plutôt timide et réservé, la seule chose qui n'avait changé après toutes ces années été qu'il toujours plus petit que lui mais pas grave car l'allemand ne voyait en aucun cas le problème de sa taille et qu'il été fou amoureux de lui*