Pleur...
En trois mots... Tous les soirs.
En une phrase... Je ne sais pourquoi...
Ou alors si, j'y pense quand vient le noir,
Leurs visages, leurs sourires sont en moi,
Encrés tels des images inoubliables,
Tels des traumatismes.
Mais ce qui ne s'oublie qu'en temps incroyables,
C'est sans doute leurs remarques, leurs réflexions,
Pour moi, je les ai vécues comme un séisme...
Elles sont dures à pousser d'un côté, dans le fond.
C'est un tremblement dans mon coeur et mon être,
Me blessant en mon propre intérieur,
Me laissant avec un doute, un fort malheur,
Leurs phrases semblables à celles d'un prêtre,
Critiquant ce que personne ne considère,
Criant sur les toits a la grâce d'un seigneur,
Qui n'accepte que la vie d'une ancienne ère,
Une ère qui se doit d'être révolue.
Elle doit me laisser pour de bon,
Me laisser autant de temps qu'elle ne fut,
Me laisser remonter loin de ce fond,
Ce fond aussi appelé puit de peur,
Elle doit me laisser sans larmes et sans pleurs.
(2021)
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Poésie.
PoetryJe ne sais pas si cela va intéresser quelqu'un mais j'ai décidé de publier les poèmes qu'il m'est arrivé d'écrire. Même si je ne sais pas s'il s'agit vraiment du bon endroit. Je ne leur donnerai pas de contexte. Aucun nom n'y est cité. Oui cela parl...
