Pour moi les fins de semaine me transportaient vers un monde bien meilleur.
Ce monde était à ces pieds, ce monde qu'elle dirigeait était un casino où se de rendait les riches.
Tous les samedis à 22h35, elle arrivait toujours dans son peignoir écarlate. Son entrée était toujours hypnotisante. Au bout des manches il y avait toujours des perles, et ces petites mains portaient des gants en dentelles.
En regardant ces jambes je pouvais voire un collant opaque, Personne ne savait combien de billets étaient jetés sur elle pour avoir ce collant.
Ce tissu qui enfermait son odeur luxuriante.Les prix au-delà de cinq chiffres étaient le minimum.Ces riches investis leur argent de manière très raisonnable.
Je précise que je ne possède que deux de ces collants malheureusement.C'est à 22h50 que l'admiration de ses jambes prenait fin. En ce lapse de temps elle possédait déjà une quantité astronomique d'argent. Tellement que trois personnes ramassaient ce qui traîné au sol.
Ensuite vient l'exhibition du vêtement carmin. Tous cela sur un fond de musique assez sensuelle, elle l'enlevait délicatement, provoquant la frustration et l'impatience de certains hommes infidèles ou célibataires.
Dans mon cas ma vie était juste trop plate dans ce domaine.
Alors, lorsque le tissu heurta le sol un feu d'artifice de papier verts tombèrent sur la scène.
Le personnel les attrapait avec enthousiasme afin qu'elle continue sa performance.Mais tout à coup à la fin de cette avalanche, je vit une nymphe portant une robe blanche en velours. La longueur du vêtement ne couvrait même pas l'entièreté de ses cuisses charnues et assez gâtées par la nature. Ses gants décoraient la totalité de ses bras et le bas de son corps m'était exposés avec fierté.
Cependant d'un geste félin elle se leva pour être devant un micro décoré avec ces même perles.
Cette personnalisation du matériel prouvait sa présence écrasante et dominante sur cette petite scène.
Attendant le petit orchestre démarrer elle observa de ses yeux, aux couleurs des roses, la pièce remplit d'admirateurs.
Plusieurs personnes fondaient sous son regard brûlant.
Quand mon tour venu je senti comme un volcan dans mon estomac.
Elle me scrutait de haut en bas en humidifiant ces lèvres pulpeuses.
Ô ! que cette action augmenté ma température corporelle! Elle savait jouée avec son corps de sablier, elle usait de ses charmes à la perfection et cela sans aucun efforts.
Cette femme est tellement séduisante et mystérieuse.Après ce moment qui me semblait un siècle, un ange pris possession de ses cordes vocales. Une voix pure et cristalline remplissait cet endroit.
En chantant du Dean Martin, elle transformait des hommes aux cœurs de pierres en guimauves. Le silence des spectateurs montraient à quelle point cette mélodie était magnifique et angélique.Arrivant au refrain d'autres sortaient de l'espèces pour le donner aux employés qui passés.
Elle chantait avec tellement de douceur et de tendresse que les sirènes la jalouseraient.Maintenant à la fin de la chanson le calme laissa place aux applaudissements.
Des roses, des bouquets de fleurs, des lettres et même des cartes bancaires finissaient leurs trajets sur le parquet luisant. Ils sont vraiment fous de faire tous cela.
Mais je participe en jetant une boîte contenant un collier en rubis purs représentant ses pupilles charmeurs.Son moment tant attendu se termina sur ces remerciements. Elle quitta la lumière de la scène en prenant son peignoir et quelques bouquets ainsi que mon cadeau. Elle l'ouvrit et produit un cris de surprise intriguant tous le monde. Elle montra les joues rouges son nouveaux bijoux. Posant son regard sur chacun de nous elle devina avec aise le donneur du collier. Elle me sourit avec malice et gentillesse comme pour dire merci. Elle attacha autour de son cou et m'envoya un baiser volant. Plusieurs de mes voisins rageaient de cette action tellement mignonne. Et c'est ainsi que le rideau ferma sur elle.
Une demi-heure plus tard elle buvait avec des gens sûrement très fortunés. Elle rigolait, elle baladait ses bras un peu partout. Elle montrait fièrement mon cadeau aux autres femmes.
En rencontrant son regard malicieux elle cessa toute conversation et se dirigea d'un pas délicat vers moi.
Elle papillonna ces paupières telle une biche et posa sa main sur mes clavicules.« Quel bel homme vous êtes pour me donner ce beau cadeau »
Après ces paroles elle déposa un baiser aussi chaud que de la braise dans mon cou.
Je ne bougerai toujours pas, trop surpris par ce geste intime. Elle le constate et ricana en souriant sournoisement.« J'espère vous revoir Monsieur Rubis~ »
Ô qu'elle femme audacieuse.
Cette créature ne quittera jamais mon esprit.
Elle a une présence très particulière dans ma tête. Elle me rend pauvre et elle me rend fou. Quel sentiment étrange !Je crois avoir eu un coup de foudre sans découvrir sa personnalité. C'est vraiment ridicule mais c'est la vérité.
Mlle Aphrodite je vous aime.
Votre fan, M.RUBIS