Kiruka Kirin est un homme froid et autoritaire, des qualités respectables quand vous êtes le manager de la plus grande star du patinage artistique: Yūkira Hanyu. Sous ses aires de dictateur impitoyable, Kirin cèle soigneusement un cœur follement amo...
Cela fait une semaine que Yūkira est parti..j'ai dû inventé une excuse à l'agence que tout le monde a parfaitement cru. La semaine à été terriblement longue et ennuyeuse, alors j'ai posé un congé et j'ai décidé de rendre visite à ma grand-mère.
Une fois arrivé, je prend une grande respiration, essayant d'oublier cette affreuse semaine. Le devant de la maison me replonge en enfance, ça me fait du bien.
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J'avance vers ma grand-mère, méditant devant le jardin. Je retire mes chaussures et viens m'asseoir à côté d'elle sans faire de bruit. Je salut le jardin puis elle pose une main sur mon épaule.
-Ça fait bien longtemps que tu n'es pas venu me voir mon petit Riki dit-elle avec sa voix paisible est calme.
Je soupire légèrement face au surnom qu'elle me donne encore.
-Désolé grand-mère, j'étais assez occupé dis-je presque en chuchotant.
Elle termine sa prière et sonne une petite clochette au son étrangement pas dérangeant. A cela, une servante arrive et me salut.
-Sakura, va nous chercher le thé s'il te plaîtdemande ma grand-mère dans le même calme qu'avant.
Sakura s'exécute.
-Alors, qu'es ce qui t'amène ici Riki ? demande-t-elle.
-Je ..je voulais simplement te voir lui répondis-je.
Sakura apporte le thé, je prend le temps de la remercier, ce que ne fait pas ma grand mère, puis elle repart.
-Mmh..ils te manquent pas vrai ? dit-elle.Sinon tu ne viendrais pas me voir elle sourit.
-Non ce n'est pas ça-
-Je plaisantais..mais quand même, tu pourrais venir plussouvent ! Je m'ennuie toute seule, je n'ai que cette godiche de Sakura..elle soupire.
-Grand-mère ! ..je suis désolé de n'être pas venu plussouvent..
-Bon allons ce n'est pas si grave, tu veux aller les voir c'estça ? Demande-t-elle.
-Oui, mais pas seulement..
-Tu m'en parleras plus tard dit-elle en ayant du mal à se relever allons leur rendre une petite visite.
Je me lève également et remet mes chaussures.
Nous marchons un moment en parlant des oiseaux qui chantent et du printemps qui laisse peu à peu place à l'été, avant d'arriver devant ma maison d'enfance. Elle est similaire à celles du quartier..
