XI

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Recroquevillée sur moi même, en pleure.

Pourquoi j'ai réagis comme ça...

Sérieusement Camilla ? Pourquoi ? Réfléchis un peu...

...mon passé.

...

«
- Lâche la ! Criais-je. Tu vas la tuer ! Dis-je en pleure.

Il exécute et elle retombe au sol, sa tête cogne violemment sur le parquet ce qui lui fit perdre connaissance.

- C'est à moi que tu parles cagna ? Dit-il en me regardant au-dessus de son épaule.

- Oui c'est à toi que je parle stronzo ! Hurlais-je en pleure.

Il pouffe de rire et se retourne vers moi puis commence à s'approcher.

- Ne t'approche pas ! Hurlais-je en sortant une arme de l'arrière de mon jean.

Il lève les mains en l'air et dit :

- Vas-y tire, principessa...dit-il en souriant.

Mes mains commencèrent à trembler et j'éclate en sanglot.

Je suis faible, je suis incapable de protéger ma mère.

Tout ça à cause de ce connard !

L'arme tombe à terre et je suis encore une fois paralysée a cause de la peur qui envahit mon corps.

Un sourire narquois se dessine sur ses lèvres et il continue de s'approcher.

Alors qu'il était plus qu'à quelques centimètres de moi une ombre apparaît derrière lui lorsqu'une main surgit.

- ELLE A DIT NE T'APPROCHE PAS STRONZO ! Hurle ma mère en le frappant à la tête avec un vase.

Il tombe au sol et du sang coule sur le parquet en bois le long de sa tête, elle se précipite vers moi et me prit dans ses bras en disant :

- Je suis tellement désolée ma chérie, désolée de ne pas t'avoir cru...je t'aime tellement...Dit-elle en pleure.

Mais avant que je ne puisse dire quoi que ce soit, mon oncle s'est relevé larme à là mains en la pointant sur ma mère.

- MAMMA ! Hurlais-je en écarquillant les yeux.
»

- CAMILLA !

Mes yeux s'ouvre à une vitesse folle, et je me redresse.

- Noah..? Demandais-je ne voyant rien à cause de l'obscurité qui règne dans la chambre.

- Je suis là, principessa...Dit-il en me prenant dans ses bras.

- Je suis désolée, tellement désolée...je...dis-je en pleurant dans son cou encore traumatisée par ce flash-back de mon enfance.

- C'est rien, c'est moi je n'aurais pas dû te parler comme ça. Dit-il en me frottant le dos pour me calmer.

- Oui mais comme à chaque fois, je me crois plus maligne que les autres alors que je ne suis rien du tout ! Hurlais-je.

- C'est faux Camilla, tu es bien plus que rien du tout. Dit-il en plaçant mes cheveux derrière mon oreille. Tu devrais aller te coucher.

𝐈 𝐜𝐚𝐫𝐭𝐞𝐥𝐥𝐢 𝐧𝐞𝐦𝐢𝐜i Où les histoires vivent. Découvrez maintenant