Had Sex With Larry [Lemon] ∞

Rencontre ∞

En me réveillant ce matin, dans mon petit et agréable lit je réalise que c'est la rentrée. Je rentre aujourd'hui en seconde. J'attends ce moment depuis tellement longtemps. Je sais que c'est la dernière fois que je vois ma chambre avant longtemps sachant que je vais en pension. Mon envie n'était pas extraordinaire, mais ça signait le début de ma nouvelle vie. Le début de ma liberté. En descendant du grand escalier qui menait au salon, je remarque ma mère. Elle est complètement à fond dans les brochures du lycée. Étant donné que je vais dans un grand lycée, ma mère se renseigne dessus. Rien qu'en pensant au lycée, une boule de stress me monte au ventre, c'est peut-être la faim aussi. Après avoir mangé, je monte dans ma chambre, y attrape les vêtements que j'avais préparé la veille et entre dans la douche. Lorsque j'ai fini, je me maquille légèrement. Pas la peine de mettre beaucoup de maquillage, je vais juste me rendre dans ma chambre, et y découvrir ma colocataire. Sachant que les chambres ne sont pas mixtes suites à de nombreux incident qui se sont produit dans le passé à cause de la mixité des chambres, je ne risque pas d'avoir un colocataire masculin. Je me suis coiffée d'un simple chignon, enfin.. Si on peut vraiment dire que je suis coiffée.. J'ai enfilé ma chemise à carreaux et je suis allée mettre ma valise dans le coffre de la petite voiture de ma mère. Le voyage durait deux heures de temps, ma mère allait sûrement me prendre la tête pendant tout le voyage pour me dire de faire attention à moi. Heureusement que, j'ai chargé mon IPod à bloc. Je suis montée dans la voiture, ma mère a démarré et notre voyage a commencé. On devait passer chercher mon père avant de m'emmener au lycée. Il ne voulait rater ça pour rien au monde. Après l'avoir récupéré, ma mère a commencé à me parler, je voulais vraiment pas l'entendre. J'ai alors posé ma tête sur le bord de la fenêtre puis je me suis endormie. À mon réveil, on était arrivés. Je suis descendue, me dégourdir les jambes, je sentais des fourmis dans mes jambes. La petite voiture de ma mère est beaucoup trop inconfortable. Une fois les jambes dégourdies, j'ai ramassé ma valise puis je suis partie à la recherche de ma chambre en compagnie de mes parents. Après quelques minutes de recherches sans réel succès, une fille au sourire agaçant s'est avancée vers moi. Elle m'a alors demandé mon nom et ma section. Elle nous as ensuite guidés jusqu'à ma chambre. Elle m'a remit un badge, une carte de bus ,une carte pour les cabines téléphoniques du lycée ainsi qu'une carte de sortie du lycée, sans elle je ne peux pas sortir, elle m'a ensuite souhaité un bon séjour dans le lycée, je l'ai remerciée. J'ai ensuite ouvert la porte qui donnait sur ma chambre dans laquelle se trouvait deux lits impeccablement faits, sur l'un d'eux se trouvait une fille aux cheveux très longs attachés en deux tresses. Elle portait des lunettes, une chemise à carreaux, fermée pas comme la mienne, rentrée dans son Jean et elle portait des converses. Elle s'est levée puis, elle s'est présentée. Elle s'appelle Heidi, elle a mon âge et est dans ma classe, ce qui a le don de me rassurer. J'embrasse mes parents et les regarde quitter l'enceinte du lycée. Elle était relativement silencieuse, mais lorsqu'elle a commencé à parler, son seul sujet de discussion était les garçons. En même pas 10 minutes, j'ai appris qu'elle était sortie avec bien plus de garçons que moi. Au bout d'un moment, elle est partie à la salle de bains. Elle en est ressortie, 10 minutes plus tard, complètement différente. Elle était maquillée comme une poupée, ses cheveux étaient détachés et une mèche plutôt sexy lui tombait devant les yeux. Elle portait un mini short avec un débardeur et n'avait plus de lunettes. Elle était complètement changée, elle m'a tirée par le bras, puis, elle m'a trainée jusqu'à "L'Agora" qui était la place centrale du lycée où absolument tout le monde se retrouvait durant les interclasses. J'étais pas vraiment prête pour ça sérieusement, j'avais du mascara presque invisible qui coulait légèrement à cause de la transpiration, mes lèvres étaient grasses comme pas possible à cause de la double couche de Labello que j'avais étalé avant de partir, un collant noir vraiment trop "collant", un top bretelles blanc qui dévoilait largement mon soutien gris, des converses blanches plus trop blanches et ma chemise à carreaux qui était sûrement la plus belle chose que je portais sur moi. J'avais l'air de rien alors qu'Heidi est juste sublime mais non que dis-je, elle est parfaite de chez parfaite cette meuf. Nous étions à l'entrée de "L'Agora" lorsque je remarque deux garçons bruns juste magnifiques. Ils dominaient la cour et personne n'osait les approcher, j'allais me diriger vers eux lorsqu'Heidi m'a attrapée par le bras, m'a retenue et m'a bien fait comprendre qu'on «Approche pas les rois du bahut de cette façon. » Ça remarque ne me fait absolument ni chaud ni froid. J'ai attrapé Heidi par la main pour être sûre qu'elle ne s'échappe pas et j'ai foncé sur eux. Je pensais qu'ils allaient me rejeter mais, ils ont été incroyablement gentils avec moi. Un d'eux s'appelle Harry et l'autre Louis, je vais les appeler "Larry" ça sera beaucoup plus simple pour moi. Heidi était super mal à l'aise je le sentais, elle est partie au bout de quelques minutes me laissant seule avec eux. Dès qu'elle est partie, les garçons ont commencé à me parler un peu plus.
«Tu t'appelles Elsa, c'est ça ? Tu sais, on se connaît pas trop mais je trouve que tu es vraiment très attirante avec ce collant noir. Dit Harry avec son sublime sourire en coin.
- Ahah, sale pervers va ! Merci. Dis-je en rigolant.
- Bon vous deux, vous avez l'air de bien vous amuser mais, moi je dois y aller. On se voit ce soir okay?
- Ce soir? Dis-je par curiosité.
- Y'a un putain de party ce soir dans une maison à côté du bahut, y aura limite tout le lycée, tout le monde est invité.
- Ah bah d'accord.
- J'espère vraiment te voir là-bas Elsa, j'y vais.
- Ouais je serais là, bye Louis.»
Louis s'en alla ensuite après m'avoir fait la bise et avoir essayé de me toucher les fesses sans pression. Je comptais passer une petite année de seconde tranquille, mais avec eux ça risque pas. Déjà, je suis invitée à une fête alors que je viens d'arriver et que je connais personne à part eux et Heidi. J'étais tellement perdue dans mes pensées, que je n'ai pas réalisé qu'Harry me tirait par le bras. Où il m'emmène alors qu'on se connait presque pas ce con? Je le suivais malgré tout, la curiosité avait dépassé la peur. En arrivant, je remarque que le paysage est largement différent de celui du lycée. Il m'avait déjà mise hors des règles alors que je suis là depuis approximativement une heure et demi. On était sous un grand arbre, il y'avait un simple banc pas vraiment propre en dessous. On s'est assis. Tout allait bien, on discutait tranquillement. Jusqu'à ce qu'Harry commence à mettre ses mains sur mes cuisses et à les remonter sous mon tee-shirt. Je l'ai stoppé mais contre toute attente, il a sorti une phrase terriblement irrésistible.

"Laisse-toi faire, laisse-moi te montrer c'est quoi le plaisir Elsa.." 

Que pouvais-je répondre à ça? Il a vite passé sa main dans mon soutien, ce qui provoquai chez moi de petits gémissements. On va pas se cacher que toutes ces manipulations me faisaient un bien fou. Il m'embrassait délicatement tout en gardant la main dans mon soutien. Il passait ses mains sur mes seins comme un dieu, il embrassait comme un dieu, il était beau comme un dieu. En fait, ce mec est littéralement un dieu. Sa langue tournait dans ma bouche tandis que je m'aggripai à ses boucles rebelles. Après 10 minutes de plaisir, il finit par me lâcher. J'avais un sentiment de bonheur infini. Il me prit la main et me chuchota doucement:

"Ce n'était que l'entrée ma belle, c'est loin d'être fini pour toi, prépare-toi bien.."

Il m'a ensuite lâchée la main puis il est parti de la "forêt", me laissant seule sur le petit banc. C'était à peine le premier jour, que j'avais déjà laissé le premier -quoi que sexy- inconnu m'embrasser et me tripoter sous un arbre. Mon année commence vraiment bizarreement. Et encore, ce n'était que l'entrée, je présume que le plat principal va arriver à la fête de ce soir, ce qui a vraiment le don de m'inquiéter. Je ne sais pas si je veux vraiment qu'il me touche encore même si il me fait vraiment de l'effet, beaucoup trop d'effet même. J'ai peur de ce qui pourrait ce soir, vraiment.