Les Chroniques de Arthur (EN RÉ ÉCRITURE)

Le lycée

"Ma bouche sera la bouche des malheurs, qui non point de bouche, ma voix la liberté de ceux qui s'affaissent au cachot du désespoir." Aimé Césaire

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Suis-je vraiment heureux ? Un jour, pourrais je trouvé mon bonheur comme monsieur Césaire ? Ça, je ne sais pas, mais ce qui est sûr, c'est que si je ne monte pas dans ce bus, je serai en retard. Dans le bus, une situation intéressante se produisit. Une vielle dame était entré juste après Arthur, elle était resté debout faute de place. Face à cette situation,les uns étaient assez gênées. Alors une courageuse...... Line debout elle aussi, décida d'attirer l'attention des jeunes assis.

——————Tyar——————

Line : S'il vous plaît quelqu'un pourrait t'il laissé sa place à cette vieille dame ?

Aucune réaction dans le bus, malgré sa réclamation. Cela était vraiment pénible pour la vielle Mylène, âgé de 67ans.

Line : Personne ?

Mylène : Ne t'inquiète pas ma chérie, ça ne me dérange pas de resté debout.

Line : Francis, toi tu ne pourrais laisser ta place s'il te plaît ?

Francis : Hum non désolé.

Line : Mais pourquoi ?

Francis : Si je ne me trompes pas, il n'y a pas de loi qui m'oblige à me lever.

Line : T'es qu'un abrutis et en plus......

Les deux jeunes fréquentait le même lycée que notre ami Arthur. Toujours en première comme notre héro, mais dans des salles différentes.

Arthur (C'est là une situation plus que embarrassante, bon il faut bien un héro dans l'histoire, alors.....).

Natacha : Madame moi je veux bien vous laisser ma place.

Notre ami, venait d'être prise de court. Natacha, une fille dont il n'avait encore presque rien comme information mis à part son nom et sa classe.

Line : Oh je te remercie Natacha, tu mérites un cadeau.

Arthur (Ma voisine ! Bah disons que j'ai pas mal tardé à réagir).

Mylène : Je t'en remercie ma grande.

Natacha : Oh ne vous inquiété pas madame c'est normal ; nous nous devons d'aider les personnes âgées, ce n'est peut-être pas marqué dans la loi comme certains le savent, mais c'est un acte qui compte pour soit, avant de compter pour les autres. C'est ainsi que l'on fait preuve de bonne moralité n'est-ce pas Francis ?

Francis : Si tu le dis.

Plus tard à l'école, Arthur patientait cette Natacha qui avait réussi à attirer son attention.

Arthur (J'ai remarqué que lorsque la rentrée arrive, c'est chaque élève qui décide de sa rentrée. Bizarre mais bon, lorsque l'on va à l'école pour la première fois, on doit s'attendre à tout. La salle est rempli à craquer, après une semaine que l'école a recommencé au niveau national. Oh ! On dirait la fille du bus.).

Ses yeux l'avaient remarqués, cette fille au long cheveux lissé.

Gilbert : Bonjour Natacha !

Anaïs : Bonjour Natacha !

Loïse : Mademoiselle Natacha !

Arthur (Humm, je me disais bien, vue son élégance et sa grande beauté, elle doit appartenir à une belle famille bourgeoise du coin.).