La nuit, lorsqu'on lève les yeux au ciel, on peut observer les étoiles. Ces petites lumières brillantes qui illuminent le ciel noir et sombre de la nuit. Pourtant leur beauté n'est qu'éphémère et qu'avant même que sa lumière nous parvienne cette éto...
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Bachira✩
M'expliquer quoi ? Que je devrais arrêter de croire à des chimères ?
Je venais de lâcher mon téléphone qui venait de tomber tout droit sur mon matelas. Il n'y avait rien de bien écrit clairement mais, ça se sentais qu'il était clairement en colère. C'est parce que je ne lui ai pas parlé depuis plus de 2 semaines ?
Soudain, mon téléphone se remit à vibrer, signe qu'une nouvelle notification venait d'arriver. La gorges un peu nouée je retournais mon portable pour voir l'écran. C'était un autre message de Bachira.
Je ne sais pas pourquoi, je ne veux même pas savoir j'ai juste été trop idiot de t'avoir cru. Tu m'avais semblé sincère
Hein, comment ça ? De quoi il parle ? Il s'est passé quelque chose ? C'est ma faute ? Qu'est-ce que j'ai fais de mal en faite ? Je ne comprend pas ça m'énerve.
C'était frustrant au plus au point, on est en train de me reprocher quelque chose mais je ne sais même pas ce que c'est. D'abord pourquoi ça me touche autant qu'il soit fâché contre moi ? Ma gorges semblait se tordre, j'avais mal au coeur. Je sentais même les larmes me monter aux yeux. Merde, je ne suis pas du genre à pleurer pourtant !
Je ne comprend pas de quoi tu parle. Il s'est passé quelque chose ?
Te fiche pas de moi tu sais très bien de quoi je parle. C'est toi qui a lancé cette rumeur après tout
Hein ? J'ai lancé une rumeur ? Je n'ai jamais fais ça de ma vie ! Qu'est-ce qu'il s'est passé bon sang ! C'est horrible.
Mes mains tenaient fermement mon téléphone tandis que j'essayais de retenir du mieux que je pouvais mes larmes. Cela se voyait au ton qu'il prenait en écrivant, il était vraiment en colère contre moi. Si je continue cette conversation ça pourrait tout empirer. J'ai besoin d'aide. Mais qui...
J'entendais des pas, assez frénétiques, monter les escaliers de ma maison. Ce n'était pas mes parents. Ma porte s'ouvrît assez violemment laissant la silhouette des deux seules personnes à qui je fais réellement confiance.
- Yo, meuf ! On a fait aussi vite qu'on a pu ! Lançait Léa, sur son ton toujours aussi désinvolte
- Montre nous ce fameux désastre. On va pas te laisser comme ça en train de te lamenter toute seule sur tes draps. Continuait Roxanne posant une main sur mes épaules en guise de soutien.
