PROLOGUE - LE DÉBUT DE LA FIN...

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HORI FUJITA : Je me nomme Hori, je ne suis qu'un simple travailleur chargé de ravitailler des combattants et qu'on a malheureusement confondu avec un soldat... [Hori pouvait être perçu en train d'angoisser] Et aujourd'hui je vis mon dernier jour... sans aucun moyens de me défendre et d'issues pour m'échapper... [Des milliards de cadavres gisants sur la surface du champ de bataille]



Dans ce monde, existait 3 hommes considérés comme étant les plus puissants de ce monde surnommés les 3 légionnaires : Akira Satou, Itou Harada et Matsui Katou. Ils furent anéantis avec une armée totalisant 3 continents. Aucun ne pu rivaliser avec cette chose surnommé "Le fléau" ou encore "Garuda", nul ne sait ce que c'est...

Les seules choses que nous savons sur lui sont toutes des informations inexactes basés sur des exagérations, cette chose serait plus ténébreuse que les ténèbres elle-même, il serait capable d'effrayer des cauchemars, serait né à partir de rien, serait au-delà de l'intelligence même ! Serait en avance sur des siècles et DES SIÈCLES ET DES SIÈCLES DE CONNAISSANCES AVANT L'HOMME !!! Le mot imbattable... ne suffirait pas pour représenter ce qu'il est. Seul un homme était encore debout durant tout ce massacre...



GARUDA : [On pouvait apercevoir Garuda finissant d'étrangler un homme puis le jeter au sol en observant Hori au loin toujours en vie] TU N'ES PAS MORT TOI ! T'AS PAS L'AIR D'ÊTRE LE PLUS ROBUSTE DE LA TROUPE ! ÉCOUTE ! J'AURAIS BIEN VOULU EN PROFITER POUR M'AMUSER AVEC TOI MAIS JE DOIS AVOUER QUE J'AI MIS UN PEU TROP DE TEMPS À VOUS ÉLIMINER ! ALORS FAIS MOI LE PLAISIR DE ME LAISSER SAISIR TON ÂME !


HORI FUJITA : [Hori se retrouvait possédé par la peur, immobile, sans possibilité de bouger tout en respirant bruyamment, des larmes coulaient de ses yeux repensant à ses parents et une fille...] J'aurais dû... J'aurais dû lui faire ma demande plus tôt... Je l'aimais mais j'ai attendu par peur et maintenant je vais mourir en étant une merde du début à la fin...


GARUDA : MERDE... TA VIE DÉFILE DEVANT TES YEUX QUE MAINTENANT !



Hori releva la tête subitement, il se mit à courir vers Garuda le poing vers l'avant en hurlant puis frappa le torse rocailleux de Garuda. Hori fermait les yeux, plus aucun bruit, simplement l'écho de son hurlement et le coup reçu sur le torse. Il ne bougea pas son poing de la créature, attendant la mort d'en finir...



GARUDA : [La vision cauchemardesque de Garuda se calmait peu à peu et une voix plutôt calme en ressortait comme si sa manière de parler bien avant que Hori ne mette le coup était surjouée] Tu es plutôt brave pour quelqu'un qui a perdu tout espoir en l'humanité, je te dois bien ce respect, c'est pas tout le monde qui aurait osé se jeter tête baissée après tout ça. [Garuda dessinait un visage sérieux, il s'apprêtait à charger un coup destructeur sur Hori qui lui, laissa son poing contre le torse de Garuda, son visage fixant le sol, les dernières larmes coulaient, puis des murmures, c'était les derniers mots de Hori...]


HORI FUJITA : Je t'aime Aya... Papa... Maman...



À ces mots une brèche s'ouvrit entre le poing de Hori et le torse de Garuda, Les deux étaient pris par la confusion, et se laissèrent absorber ainsi que l'univers entier par la brèche pour n'en laisser qu'un néant total ! Plus rien existait... puis...



AYA TERUMI : Hor... iii... Hori... HORIII ! Réveille toi ! [Tape en plein dans la tronche de Hori dormant sur son lit] T'es en retaaard ! Viens te préparer !


HORI FUJITA : [Se réveille en sursaut] Qu'est-ce qu'il m'est arrivé !? (Aya !? Que fait-elle ici !? Où suis-je !?)


AYA TERUMI : J'aurais peut-être dû taper moins fort... Bon viens prendre ton petit-déj' ! Tu vas être en retard à ton job. Et... Ne me demande pas comment je suis rentré chez toi... La porte était ouverte... [Dit-elle en rougissant et en mentant, elle avait forcé l'ouverture de la porte du salon]


HORI FUJITA : [Pris par la confusion, il murmura comme pour se parler à lui même] Il y avait mon poing... et une brèche... je ne comprends pas...


AYA TERUMI : T'as l'air bizarre aujourd'hui, combien de fois je dois te le dire de dormir la nuit, va falloir que tu sois un peu plus responsable, tu t'imagines, je suiiis toujours obligé d'être derrière toi sinon tu fais toujours tout de travers ! Et maintenant je suis obl... HÉÉÉ TU M'ENTENDS QUAND JE TE PARLE ! [Hori continuait de marmonner, absolument pas conscient de ce qu'il se passait autour de lui]


HORI FUJITA : [Releva la tête et réagit enfin à la présence d'Aya, des larmes apparaissaient petit-à-petit sur ses yeux] Aya... pardonne moi... j'ai foiré... [Il prit Aya dans ses bras]


AYA TERUMI : [Rouge comme une tomate] Aaaah ! Euuuh... pas comme ça aussi subitement ! Qu'est-ce qui t'arrive enfin... t'aurais pu me le dire que tu voulais un câlin (Il a l'air pâle... qu'est-ce qui t'arrives Hori...) ! Si c'est pour l'engueulade que je t'ai fais, t'en fais pas... oui je te pardonne... c'était pas la peine de pleurer quand même ! (Est-ce que j'y serais allé trop fort ?) BON ! Tu me rejoins en bas ! Je t'attends ! ET MANGE QUELQUE CHOSE ! [Elle quitta la pièce toute rouge]


HORI FUJITA : [Se retrouve seul dans la chambre essayant de comprendre la situation] On dirait qu'elle était plus jeune que la dernière fois... tout me paraît ancien... comme si j'étais propulsé en arrière... tout ça n'était qu'un rêve ? [Une voix se fit entendre par la fenêtre avec une posture familière juste derrière lui, Hori pris peur à nouveau, paralysé, impossible de crier, d'émettre le moindre son]


GARUDA : Tout ça n'était qu'un rêve ? Blablablaaa... Regarde moi ça ! Transporté plus tôt dans le passé, qui l'eût cru, que toi, l'homme le plus faible du bataillon arriverait à sauver l'humanité... PLUS SÉRIEUSEMENT ! JE NE SAIS PAS COMMENT TU AS FAIT POUR OUVRIR UNE BRÈCHE AUSSI ÉNORME POUR AVOIR RÉUSSI À ME VAINCRE MAIS TU PEUX ÊTRE SÛR QUE JE VAIS M'OCCUPER DE TON CAS ! Malgré tout... ça m'apprendra à prendre du temps pour tuer mes cibles. Je sais qui tu es Hori... et cette fois, je prendrais un malin plaisir de m'amuser avec vous avec ce corps plus jeune et plus fort ! À bientôt Hori, tu tomberas comme les autres que j'ai tué avant toi, profite bien de cette nouvelle chance qui t'a été accordé, j'en ferais de même... [Garuda avait disparu à la seconde même où Hori se retournait pour le voir]


HORI FUJITA : [Tourmenté par la peur, il ne dit rien et ne pensa plus à rien d'autre que la mort certaine, une mort capable de venir de nul part, une mort pleine de souffrance parsemé de hantises et de cauchemars] Je ferais... mieux de rejoindre Aya...



À SUIVRE...

HORI STRIKES BACKOù les histoires vivent. Découvrez maintenant