chapitre 11

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      Layla....

Sérieusement je me demande si je pourrais tenir comme ça jusqu'à mon accouchement.

C'est trop ce que Rachid fait en ce moment !

Mr ne veut même pas que je me lève du lit comme quoi le docteur a dit que je dois me reposer et bien mangé. Moi qui aime tant aller au bureau travailler, mr mon mari m'a interdit d'y aller pendant ces trois premiers mois de grossesse donc je suis clouée au lit tel un enfant qu'on a puni.

Il a donné des ordres strict à  la servante depuis hier me concernant. Puff je jures que je ne pourrais pas tenir à ce rythme c'est aussi clair que ça.

Actuellement il est boulot et moi cloué au lit devant mon Pc. Ce qui est grave est que mon père le soutien dans sa folie, parlant de lui aujourd'hui il ne ce porte bien du coup il n'est pas aller au bureau.

Je crois que c'est mieux d'aller papoter un peu avec lui que de rester enfermé dans cette chambre.

Je voulais me diriger vers sa chambre mais des pleures m'ont alerter, j'ai donc reboucher chemin tout en me dirigeant vers la chambre de Raïssa vu que les pleures proviennent de là bas.

Comme la porte de sa chambre n'est pas fermée, j'ai directement foncé  à l'intérieur et je vois Raïssa dans les bras de notre chère belle mère.

Wallah je n'arrive pas à croire aux changements de cette femme.

Je me suis approché tout en leur demandant ce qu'il y a !

-( en larme) les voisins viennent de la prévenir de l'incendie qui a eu lieu hier chez sa mère

- (mains sur la bouche) bon Dieu ! Mais j'espère qu'elle va bien

-(pleure) non layla ma mère est morte a t elle dit avec difficulté

Voyant que je veux Lui prendre dans mes bras, dame hypocrite s'est détaché d'elle tout en me faisant de la place près de Raïssa..

-(la serre très fort) désolée ma belle. Je sais ce que tu ressens et c'est vraiment dure mais on y peut rien, c'est le destin.  Notre destin à nous!

- ( entre des sanglots) layla, elle est tout ce qui me restait,  je ne sais pas ce je ferai sans elle.

-(lui caresse le dos) t'inquiète pas ma belle nous sommes là

Elle s'est contenté de pleurer de plus belle et après l'arrivée de son mari, nous nous sommes rendus tous sur les lieux sauf mon père qui ne se sent pas du tout bien et franchement ça commence à m'inquiéter vu que son médecin dit que s'il son état ne s'améliore pas d'ici demain, il sera obligé de l'hosptailiser.

Juste d'y penser, j'ai le cœur qui cogne très fort dans la poitrine.

À notre arrivée, les pompiers et médecins légistes avaient déjà fini de faire leur boulot et très rapidement, ils ont procédé à son enterrement vu que le corps s'est totalement calciné.

La pauvre Raïssa est dans tous ces états et on la réconforte du mieux qu'on peut.

Mon hypocrite de belle mère a tellement pleuré qu'on était tous choqués.

Elle n'a pas arrêté de dire que c'était l'une des plus belles âmes qu'elle a connu sans oublier de se faire remarquer par tout le monde.

(.....)

Après m'être changé, je suis directement allé dans la chambre de mon père pendant que les autres étaient au salon entrain de réconforter Raïssa qui s'est un peu calmer d'ailleurs.

Quand j'ai vu l'état dans le lequel ce trouve mon père, mon sang n'a fait qu'un tour.

Il est couché sur le dos essayant de respirer du mieux qu'il peut mais il n'y arrive pas, la respiration de mon père n'arrive tout simplement à descendre dans ces poumons. Il a les yeux grandement ouverts tout en serrant très fort la couverture qui se trouve sur lui.

La famille Diall TERMINÉE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant