Chapitre 8

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PDV Leon :



BIP...BIP...BIP...



Tu passe ton bras au dessus du corps endormie ta petite amie pour éteindre le maudit réveille. Apres avoir fermé tes yeux quelque seconde profitant de chaque seconde de sommeil qui te son précieuse, tu enroule ce même bras contre la poitrine de Matilda pour rapprocher son petit corps contre le tiens, tu la serre fort appréciant sa chaleur contre toi. Tu enfouie ta tête contre son cou ne voulant pas te lever pour aller travailler. Apres un long soupire, tu te redresse dans le lit et observe le dos nue de ta petite amie, t'a main se dirige vers son visage pour pouvoir dégager les quelque mèche de cheveux qui s'y trouve, son visage est doux et paisible quand elle dors. C'est seulement après que tu trouve la motivation pour sortir du lit, tu saisit la couverture délicatement et l'a remonte sur ses épaules. 

Avec ta main tu referme la porte derrière toi en entrant dans la salle de bain, tu retire le peu de vêtement qui te reste et entre sous la douche. Quand tu ouvre le robinet tu sursaute alors que l'eau bouillante entre en contact avec ton corps, tu colle ton dos contre les parois de la douche pour éviter le liquide. Comment peut-elle se doucher avec une eau aussi chaude ? Tu baisse la température de l'eau avec précaution évitant de te bruler. 

Une fois sorti de la douche, l'eau qui reste sur ton corps tombe sur le sol de la salle de bain. Tu baisse la tête pour observer l'eau éparpillé sur le sol. Merde, Matilda ne vas pas être contente. Après t'être habillé, tu regarde ta silhouette dans le miroir et réajuste le col de ta chemise. Tu sors finalement de la salle de bain et te dirige vers la cuisine pour pouvoir prendre un petit déjeuner. Quand tu finis tu saisit ensuite d'une main t'es clé de voiture avant de sortir de l'appartement.


PDV [Matilda] :


Le bruit soudain de la porte qui se referme te réveille en sursaut, tu redresse le haut de ton corps et d'une main tu tiens fermement la couette contre ta poitrine nue. Tu tourne la tête vers le réveil, «Déjà 8 heures ?!». Tu soupire longuement et laisse tomber ton corps sur le lit, que se soit ton corps ou ton cerveau, aucun des deux ne veux que tu bouge du lit mais ton ventre en décide autrement. Tu prend alors la décision de te lever pour prendre ton petit déjeuner, tu cherche du regard t'est vêtement éparpiller sur le sol, en les voyant de la sorte tu te rappel de la soirée d'hier, pourtant ce n'est pas la première fois. Cela fait deux ans que vous êtes ensembles et vous avez déjà eu des moments intime, mais il a toujours réussi à te faire sentir aimée et désirée. Tu enroule la couette autour de ton corps et récupère tes vêtements à un à pour ensuite les enfiler.

En arrivant dans la cuisine tu baille bruyamment en arrangeant du mieux que tu peux tes cheveux, tu cherche dans le frigo de quoi te préparer un déjeuner et commence à cuisiner. Tu t'installe sur la table à manger et déguste ta nourriture, de ta main libre tu saisit la télécommande de la télévision et met une chaine d'information. Apres avoir finis ton déjeuner, tu place ton assiette dans le lavabo et commence la vaisselle. «Dans la nuit du 28 Septembre un incendie a été déclaré dans un immeuble tuant une femme et son fils de 4 ans, nous ignorons encore comment l'incendie a démarrer...». Tu tourne la tête vers la télévision en entendant la nouvelle, «Mon dieu, les pauvres... », avec la télécommande tu augmente le son de la télé et écoute attentivement , «Il y a une un incendie hier soir qui a causer deux... Morts... C'est terrible». Tu est tellement concentrée sur la télévision que quand tu entend la sonnerie retentir tu fait accidentellement tomber une tasse au sol, elle se brise en mille morceau sur le sol. Tu laisse échapper une injure avant de te précipiter à l'entrer pour ouvrir la porte. Un homme se tiens derrière la porte, il tiens plusieurs enveloppes dans ses mains. «Bonjour Madame, j'ai une enveloppe pour... », commence l'homme, il cherche sur une des nombreuse enveloppe le nom du destinataire, «Monsieur Kennedy, il est ici ? ». Tu sourit légèrement avant de lui répondre, «Je suis sa compagne». L'homme sourit et vous donne l'enveloppe avant de repartir,  tu entre dans l'appartement et examine l'enveloppe quand tu lis "Commissariat de Raccoon city ". Tu comprend instantanément que c'est la réponse que Leon attend patiemment, tu hésite à l'ouvrir mais préfère attendre Léon pour le faire. 

Tu pose l'enveloppe précieusement sur un meuble et décide de te détendre devant un bon film. Quand tu retourne dans la cuisine tu retrouve les bouts de verres éparpillé sur le sols, tu ferme les yeux et soupire intérieurement avant de nettoyer ton bazar. En ramassant les gros morceau tu te coupe sans le vouloir la main, ta main saigne légèrement, «Merde, qu'elle idiote». Tu marche vers la salle de bain pour faire rapidement un bandage de fortune et fini de nettoyer le sol. Tu pose l'enveloppe précieusement sur un meuble et décide de te détendre devant un bon film, tu te pose dans le canaper et lance ton film préféré : Le Seigneur des Anneaux. Apres quelque instant de visionnage tu sent tes paupière devenir lourde jusqu'à...

Quand tu ouvre les yeux la première chose que tu voit est Elrond organiser le fameux Conseil secret avec Gandalf et des ambassadeurs. Ils prennent la décision de détruire l'anneaux dans le feu de la Montagne du destin. Tu lève les bras pour te frotter les yeux quand tu sent quelque chose ou plutôt quelqu'un te caresser les cheveux, tu te positionne sur le dos et regarde le coupable qui n'est autre que ton petit ami. «Leon, tu est rentré ? ». Tu te redresse et te jette dans les bras de Léon qui enroule ses bras puissant autour de ta silhouette. «Je ne t'ai même pas entendu rentrer», Leon rigole légèrement avant de te répondre, «Quand je suis rentrer tu étais affaler dans le canaper comme un bébé». Tu rigole au commentaire de l'homme quand tu te rappel de l'enveloppe, tu te lève sans rien dire et ramène l'enveloppe à Leon, «Le facteur a ramener ça dans la journée». Leon prend lentement l'enveloppe et lit les inscriptions, il ouvre silencieusement l'enveloppe et lit le papier, tu regarde son visage à la recherche de la moindre émotions. Il tourne soudainement la tête dans ta direction et te donne le papier sans rien dire, tu fronce les sourcils inquiète, «Quoi ? C'est négatif ? ». Tu n'attend pas sa réponse et lis attentivement le papier, tes yeux glisse sur les mots quand ils s'arrêtent sur une phares en particulier "Monsieur Kennedy, nous avant le plaisir d'accepter votre demande en tant que policer au poste de police de Raccoon city". 

Quand tu lève les yeux vers lui, l'homme sourit et se lève du canaper t'entrainant avec lui pour te serrer dans ces bras et te soulève, il tourne sur lui même toujours avec toi dans les bras. «J'ai été accepter à Raccoon ! », dit-il avec joie, tu n'a pas le temps de dire quelque chose qu'il presse rapidement ses lèvres sur les tiennent. Malgré la brutalité du geste, le baiser est doux et passionné, tu rigole à son geste soudain. «S'il te plait Leon, pose moi par terre », le supplie-tu en rigolant, il obéit et te pose au sol. Tu réajuste le col de sa chemise avant de lui annoncer, «J'ai reçu un mail ce matin, j'ai trouvé un travail a Raccoon ». Leon te regarde avec les yeux qui pétille, une lueur que tu n'avais jamais vraiment vu auparavant dans ces yeux. Il dépose pleins de petit baiser sur ton visage en passant par tes joues, ton nez, ton front ou même ton menton. «Même au travail je te garde prêt de moi », dit l'homme en te serrant une nouvelle fois dans les bras. «Je t'aime tellement ma chérie», tu rigole légèrement en l'embrassant, «Je t'aime aussi mon policier». Leon sourit avant de te serrer encore dans ces bras en poussant un crie de victoire.

Vous êtes tout deux dans la chambre, tu rassemble quelque affaire pendant que Léon est allonger sur le lit t'observant. Tu remarque en mettant quelque objet dans ton sac que ton bandage de fortune a été remplacé par un bandage propre, tu regarde ta main confuse avant de tourner la tête vers ton petit ami qui t'observe silencieusement. «Qu'est ce qu'il t'est arrivé ? », demande t'il calmement,  tu ne répond pas toute suite un peut honteuse de t'être blessé de manière idiote. «J'ai fait tomber une tasse... », l'homme se lève et s'approche de toi pour t'embrasser le front, il te saisit par les épaules, «Tu devrait faire attention à toi ». «Oui Monsieur», répond tu à la manière d'un enfant en serrant Leon dans tes bras. Il pose son menton sur ta tête et te rapproche de lui. 

Tu regarde l'horloge impatiemment, «Leon, c'est l'heure ! ». crie-tu dans l'appartement, Leon arrive prêt a partir. «On peut y aller», dit-il en secouant les clés de la voiture devant lui. Tu descend rapidement les escaliers de l'immeuble avec Leon qui te suit derrière, quand vous arrivez à l'extérieur vous vous dirigez vers la voiture de Leon, vous entrez dans le voiture. Tu attache ta ceinture et te retourne vers Léon qui démarre le moteur du véhicule, il te regarde avant de dire, «En route pour Raccoon city », l'homme s'approche de toi et t'embrasse la joue avec amour.


Lui et MoiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant