Chapitre 20

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Une fois arrivés dans la chambre, je la dépose sur le lit, et je ne m'attendais pas du tout à ce qu'elle fasse ça...

A peine arrivés, elle se débarrasse de ses vêtements. Elle n'est plus qu'en sous-vêtements, un ensemble magnifique en dentelle bleue. Je suis entrain de la dévorer du regard, quand elle me dit :

- Bon Kaulitz, maintenant qu'est-ce que TOI tu attends pour me sauter dessus, étant donné que ton putain de chauffeur de taxi nous a interrompus toute la soirée ?!

- Hmm... Tu ne me le diras pas deux fois, princesse.

Elle passe alors ses mains autour de mon cou, rapprochant son bassin de mon corps et en m'embrassant fougueusement. Je ne reste pas insensible à ce contact, et elle ne tarde pas à le remarquer. Je pose mes mains sur ses hanches, dépose quelques baisers dans son cou et la bascule sur le lit. Je m'assure qu'elle ait réellement envie de tout ce qui va suivre, et sa réponse est bien positive. Le désir monte, je dirige ma main vers son entrejambe déjà bien humide. Bordel, cette fille me rend dingue. Surtout quand elle laisse s'évader de sa bouche des gémissements aussi sexy. J'admire une nouvelle fois ses magnifiques courbes, elle me sourit. J'embrasse et mordille sa poitrine, ce qui laisse échapper de nouveaux soupirs de plaisir. Je vois que madame s'impatiente, elle me déshabille, passe délicatement sa main douce sur mon torse, et attrape mon érection en main. Elle fait des mouvements de va-et-vient, qui s'accélèrent de plus en plus et qui me font soupirer de plaisir à mon tour. Je la débarrasse de ses sous-vêtements, et Amalia m'autorise donc à entrer en elle, ce que je ne tarde pas à faire. Je l'entends gémir un peu plus au rythme de mes coups de reins, j'en profite donc pour accélérer. Notre respiration devient de plus en plus saccadée, le plaisir monte très vite, et elle me le fait savoir en griffant mon dos. Je sens qu'elle n'en peux plus, ses muscles se contractent, et elle pousse un dernier cri de plaisir, nous atteignons le septième ciel à deux, en même temps.

*** Fin du point de vue de Tom ***

Je m'allonge à côté de lui, j'essaye de réaliser ce qu'il vient de se passer, ce plaisir qu'il m'a procuré, c'était complètement fou. Je le regarde, lui souris et dépose un baiser sur ses lèvres. Mon dieu ce que je suis essoufflée, lui de même d'ailleurs.

- Amalia tu es incroyable, m'a-t-il dit.

- Mais oui, je sais mon chou, et c'est surtout toi qui l'es, ai-je répondu de mon air sarcastique, en rigolant.

Nous étions tous les deux épuisés, alors nous décidions d'aller nous coucher, dans cette magnifique chambre d'hôtel que nous n'avions même pas pris la peine d'admirer en entrant. Je me pose sur son torse, et nous nous endormions après nous être murmuré un « Je t'aime ».

Le lendemain, vers midi, Tom me réveille en douceur pour me dire qu'il est temps de rentrer à Magdeburg. J'ai vraiment adoré cette petite escapade à Berlin, je n'y étais encore jamais allée.

- Mais la vue par la fenêtre est absolument magnifique, j'aurais aimé la voir de nuit. Seulement, j'ai été distraite par une autre vue hier soir, ai-je dit à Tom.

Nous explosons de rire ensemble, et il me prend dans ses bras pour m'embrasser. Le réveil n'a pas été dur, surtout quand on se fait réveiller par Tom Kaulitz.

Après un bon petit déjeuner, ou devrais-je dire un brunch vu l'heure, nous sommes montés dans le taxi en direction de Magdeburg. Cette fois, pas de cochonneries à l'arrière de celui-ci, on a eu notre dose hier soir ! C'était carrément bien. Excellent même. Et je pense que ça s'est fait ressentir.

Tom a dormi presque tout le long du trajet, tandis que pour moi c'était impossible : j'étais bien trop heureuse et pensive de cette soirée que j'ai passée à ses côtés, et aux côtés des garçons.

Quelques heures passent, nous sommes bien rentrés à la maison et nous avons retrouvé les garçons qui étaient rentrés hier soir. Ils étaient bien en gueule de bois après tout l'alcool qu'ils ont bu ! Heureusement qu'un taxi les a ramenés. J'en profite pour monter dans la chambre de Tom pour téléphoner à ma mère, histoire de savoir si elle va bien et si mon père s'est calmé un peu.

- Comment ça il n'a toujours pas décoléré ? ai-je demandé à ma mère.

- Il voulait seulement que tu fasse ta vie avec Anis, mais je vois bien que tu es plus heureuse avec Tom et moi ça me fait plaisir. Il l'acceptera au bout d'un moment, promis ma chérie, m'a-t-elle répondu à l'autre bout du fil.

- J'espère qu'il ne m'en voudra pas trop. J'aime pas quand il est en colère tu le sais.

- Ça ira, ne t'inquiètes pas.

Nous nous sommes saluées et avons raccroché. Ça me fait de la peine pour ma mère, de ne pas rester auprès d'elle pour ne pas la laisser seule face à mon père. De toute façon je ne l'aurais jamais fait, je ne suis pas suicidaire. L'entendre râler tous les jours, j'en ai eu assez durant mon enfance. Ça ira mieux un jour, je l'espère.

Les garçons ont prévu une petite interview aujourd'hui, et ils m'ont proposé de les accompagner. J'ai accepté avec plaisir. Avant, je leur ai distribué du paracétamol, pour calmer leurs maux de tête. En espérant que tout se passe pour le mieux dans cette interview !

A SUIVRE...

Un jeu dangereux ✨ - TOM KAULITZ FFOù les histoires vivent. Découvrez maintenant