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|| 𝐓𝐨𝐮𝐭 𝐚̀ 𝐫𝐞𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐜𝐞́ 𝐥𝐚̀

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|| 𝐓𝐨𝐮𝐭 𝐚̀ 𝐫𝐞𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐜𝐞́ 𝐥𝐚̀... ||

009 :: Tactile ::

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*PDV: Point De Vue
*✆✆: appelle
*☓✆: Fin appelle

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13:34
PDV- Tessa
Dimanche 14 Février 2021
Chez Marine:Toulouse: France

Je remplis un grand verre entièrement d'eau avant de saisir le Doliprane que j'étais partis chercher juste avant dans mon sac situé à l'entrée de l'appartement, je me dirige ensuite, dans le salon, vers le canapé ou son posé Sidjil, Marceau, Marine et Sacha.

Marine: Depuis quand tu prends des médicaments toi ?

Tessa: Depuis jamais, c'est pas pour moi, c'est pour Marceau.

Sidjil: Que c'est mignon !

Je le regarde, en essayant d'adopter le regard le plus sérieux que je puisse pour lui dire clairement de se la fermer, il détourne alors ses yeux vers la télé signe qu'il capitule. Depuis que Sacha a envoyé cette fameuse photo à Sidjil, il n'arrête pas de faire des allusions sur nous, pire que Sacha, et j'avoue que ça m'a soûle un peu, mais, j'ai du second degré donc mon agacement ne reste jamais très longtemps dans mon esprit.

Je m'associe donc à côté de Marceau et lui donne le verre ainsi que le Doliprane, pour me remercier il me fait un bisou sur la joue, ce geste de sa part me vaut en plus de mes joues rosées, un regard interrogateur de Marine, je lui réponds alors en haussant un peu les épaules, ce qui signifie que comme elle je ne sais absolument pas ce qu'il se passe.

Depuis quelques jours Marceau est très tactile avec moi, ce qui n'est étonnamment, pas pour me déplaire, je suis une personne très tactile de nature mais seulement, avec les femmes de mon entourage, très proche. Alors que mon corps accepte, tout, c'est petit geste, aussi insignifiant soit-il pour certain, me surprend énormément. En plus de ça, je n'arrive pas du tout à cerner la signification de toutes c'est intention pour lui, et même pour moi a vrai dire. Ces gestes se font justes très naturellement, alors je ne calcule pas trop au moment où ils se font, mais la nuit tombée pendant l'une de mes nombreuses insomnies je sais pertinemment, que je cogiteraient dessus pendant des heures et des heures me demandant ce qu'il se passe entre lui et moi.

Je chasse très vite tout ça de mon esprit me rendant compte que le temps n'étais pas du tout au rendez-vous, des goute d'eau tapée sur la baie vitrée du salon, dont le bruit retentissait dans la pièce partiellement silencieuse, qui ne logeait que le bruit de fond de la télévision allumer par Sidjil à son réveille, on pouvait constater par la fenêtre les rues mi-inondées de la ville où nous nous trouvions.

Tout à recommencer là... | MarceauOù les histoires vivent. Découvrez maintenant