La fin d'une vie

Chapitre 12 : Fin des exams

- Tu dois tenir 3 minutes, c'est partie !

Et comme si il commandait des robot, un homme après l'autre se mit a lancer son couteau

Je m'accroupis et saute pour éviter la suite des armes. Je m'efforce a garder le rîtme des lancés.

Je dois remercier les garçons qui m'embêter au collège. Je n'étais pas très sociable, j'étais la fille bizarre que tout le monde éviter parce qu'on connaissait que son nom. Même si mon père gagner bien sa vie, la plus part de l'argent qu'il recevait allé dans l'alcool.
Même si m'a mère buvait le soir elle était toujours la pour moi.

La journée elle s'occupait de moi et moi je m'occuper d'elle le soir.
Ce qui me donnais une mine affreuse le matin. Je n'ai pas eu d'amis avant le lycée.

Un groupe de garçon m'harcelé, ma vie étais un enfer. Ce qu'ils aimaient par dessus tout s'etais m'isoler dans l'ancienne salle de musique et me jeter toute chose a la figure. Du morceau de papier et les restes de nourriture, ils sont passé au couteau volé a la cantine.

Au file du temps j'ai appris a les éviter ou a les attraper, en parlant d'éviter mon corp se jette en arrière et je tombe en pont. Je pousse sur mes bras pour éviter qu'ils touchent mes mains. Quand mes mains retouchent le sol, je fais une roue et me relève en quelque seconde.

Le minuteur indiquer 2 minutes 30, encore une vientaine de seconde et c'est fini.

Je bouge et tourne vers la droite pour éviter le couteau de l'homme a gauche d'Antonio. Quand je me retrouve face a Antonio son couteau est déjà lancé.

Sans réfléchir, je l'attrape de ma main droite et le jette au sol. Le sang coule sur le sol et ma respiration est saccadé. Antonio écarquille les yeux surpris par mon geste et le reste du groupe fais de même. Un silence glacial s'installe, Ivana s'approche et me soigne la main avec une compresse et des bandages.

Personne n'ose parler jusqu'à ce que Ivana ai finit de me soigner.

C'est Noah qui ose reprendre la parole.

- Tu l'as attrapé sans hésitation, normalement tu aurais essayer de l'arrêté en le pousant avec ta main et en plus tu n'as même crier ou grimacé.

- Au collège une bande de garçon m'harceler, ils s'amusaient a me lancer des choses dessus. Ils sont passé des boulettes de papier, aux cailloux et aux couteaux de la cantine. Pour moi les blessures physique sont superficielle et puis la lames n'a pas fais beaucoup de dégât. Si elle se serait planté dans ma main la il aurait fallu s'inquiéter.

Tout le monde resta silencieux puis Ivana reprit.

- Je suis désolé

Pourquoi est elle désolé ?

- Il n'y a rien, ne t'excuse pas, on peut même dire que c'est grâce a eux que j'ai réussi l'épreuve de votre diable de patron.

Je me retourne vers lui un grand sourire aux lèvres, ce qui le fais fulminer.

Le provoquer vas devenir une passion. Je ricanne a ma propre réflexion.

- On passe a la suite ?

- Tu veux cotinuer même si tu es blessé ?

- Bien sûr, je ne vais pas louper l'étape que j'attends depuis le début.

Antonio lâche un rire discret et nous emmène dans une autre salle. La salle que j'attand avec impatience.

Une grande table est placé dans la longueur a deux mettre de nous, derrière il y a des hommes en bois et des posters d'hommes que je ne connais pas.

Des boîtes remplie de balle son disposé sur des étagères.